Olympisme et transgenrisme : qu’en pensez-vous ?
Chères Aulnaysiennes, chers Aulnaysiens,
Depuis la grande parade des athlètes du samedi 14 septembre, les jeux olympiques et paralympiques sont bel et bien terminés. C’est l’occasion de s’en remémorer les faits marquants.
Il convient tout d’abord de saluer les remarquables performances de nos athlètes et de ceux du monde entier. J’ai une pensée particulière pour les délégations des pays et régions en conflit et notamment pour la sprinteuse afghane, Kimia Yousofi, qui a dénoncé les conditions des femmes de son pays aux mains de talibans. « Education, Sports, Our rights » (« Éducation, sports, nos droits ») a-t-on pu lire sur sa pancarte écrite aux couleurs du drapeau afghan.

La qualité des affrontements sportifs n’efface cependant pas les controverses nées essentiellement des cérémonies d’ouverture et de fermeture, dont la cérémonie d’ouverture, le 26 juillet 2024. Je ne voulais pas les regarder, car j’avais déjà trouvé la fête de la musique 2018 de l’Elysée vulgaire et dépravée et m’attendais à la même propagande wokiste et transgenriste.
Je les ai tout compte fait regardées pour prendre la mesure des dégâts.
Concernant la cérémonie d’ouverture, j’ai aimé le nuage tricolore sur le pont d’Austerlitz, le défilé des équipes sur la Seine, l’hommage rendu aux artisans qui rénovent Notre-Dame, le cœur réalisé dans le ciel de Paris par la patrouille de France, l’interprétation de la Marseillaise depuis le toit du Grand Palais par la mezzo-soprano montbéliardaise Axelle Saint-Cirel, l’interprétation d’Image sur une embarcation avec à son bord la chanteuse Juliette Armanet et le pianiste classique Sofiane Pamart jouant sur un piano en flammes, le passage de la torche olympique de Charles Coste, 100 ans, doyen des médaillés français depuis son fauteuil à Marie-José Pérec et Teddy Riner, la vasque olympique, l’interprétation de Céline Dion du haut de la Tour Eiffel et beaucoup de choses encore.

Mais noyer dans un grand tout, des parties particulièrement contestables, pour dire au final ce n’était pas si mal est un procédé manipulatoire que je n’accepte pas.
Voici ce que je n’ai pas du tout aimé :
- L’omniprésence des marques du groupe LVMH, en particulier de Louis Vuitton, transformant la cérémonie d’ouverture de cet événement sportif mondial en une grossière exploitation commerciale,
- Aya Nakamura chantant « je ne suis pas ta catin » ! et se touchant le sexe devant la garde républicaine, la rencontre devant le monde entier entre les univers de la banlieue et de cette prestigieuse institution sur la passerelle des Arts, avec l’Académie française en toile de fond méritait mieux que cette vulgarité,
- la séquence gore sur la Révolution française avec l’explosion finale de sang. À destination du monde entier, j’aurais préféré une exaltation des idéaux de la Révolution française plutôt que de celle de la Terreur et ses tueries de masse. En cette période de lutte contre les féminicides, je trouve cela condamnable,
- le long passage sur le trouple dont l’un des protagonistes portait sur sa tunique les chiffres 666 à la connotation sataniste,
- l’interminable défilé de queers aux gesticulations pornographiques,
- les danses finales brutales, vulgaires dont on peut se demander si elles ne simulaient pas des morts subites https://x.com/i/status/1818021265816408354,
- les innombrables références sataniques : le 666 déjà évoqué, le chevalier dont on peut se demander s’il n’est pas celui de l’apocalypse, le veau d’or, le sang…
Je n’ai pas non plus aimé les mensonges autour de la Cène après que des croyants du monde entier aient crié au blasphème.
La Cène n’était « pas mon inspiration », expliqua Thomas Jolly, metteur en scène de la cérémonie d’ouverture des JO : « Je crois que c’était assez clair, il y a Dionysos qui arrive sur cette table… » (BFMTV).
Pourtant, dans un tweet supprimé depuis, le diffuseur officiel, France Télévisions, avait célébré « une mise en Cène légendaire » (sic).
La drag queen Piche, présente sur le pont ce soir-là, avait reconnu qu’il s’agissait de la Cène et évoqué une « représentation biblique » (BFMTV).
La DJ et activiste LGBT Barbara Butch, jouant Jésus Christ, avait loué sur Instagram un « Nouveau testament gay », photo comparative à l’appui.
Un des auteurs du récit de la cérémonie, Damien Gabriac, avait acquiescé quand une journaliste l’avait interrogé sur cette « Cène avec des queers » (France Inter).
La planète entière ou presque y avait vu la Cène, la presse – y compris Le Monde, et même Jean Luc Mélenchon – mais Thomas Jolly et les sectateurs de la presse aux ordres de la secte woke prétendirent le contraire.
Non, ce n’était pas une représentation de la Cène de Léonard de Vinci, mais du festin des dieux du peintre hollandais Jan Van Bijlert, alors que :
- Le festin des dieux représente la dernière Cène sous couvert de mythologie grecque pour contourner la censure de la réforme protestante hollandaise : Apollon auréolé rappelle le Christ entouré de ses apôtres, Vulcain occupe la place de Jean, Mars, celle de Judas ;
- Les deux tableaux ont été montrés, la Cène pendant 44 minutes ! avant l’arrivée de Dionysos joué par Philippe Katerine aussi schtroumfesque qu’obscène.

Prétendre quelque chose de faux en donnant comme argument des choses vraies alors qu’elles ne se contredisent pas, prétendre que les gens du monde entier n’ont pas vu ce qu’ils ont vu relève de la manipulation planétaire.

Lorsque nier que c’était la Cène n’a plus été possible face au tollé mondial, les sectateurs nous a dit : oui c’est la Cène, mais ce n’était pas contre les croyants, c’était une référence à la pop culture et cela dérange uniquement parce que la Cène est jouée par des Drag Queens. Ceux que cela dérange sont donc d’extrême droite, intégristes, racistes, intolérants, contre l’inclusivité …
« Un manipulateur ment, nie la réalité et crée délibérément les conflits dont il se nourrit. Pire, le manipulateur vous ligote dans vos valeurs humanistes et les détourne à son profit », affirme au sujet de cette cérémonie Christel Petitcollin, spécialiste de la Programmation Neuro-Linguistique (PNL), analyse du fonctionnement psychologique, émotionnel, comportemental et relationnel de l’être humain.

Mais où sont l’inclusivité et la diversité dans cette séquence, où sont les hommes sans robe et les femmes sans barbe que l’on croise dans la vraie vie. Pourquoi sont-ils exclus de cette séquence si elle est inclusive ?

Que les spectateurs soient croyants ou non, des drag queens aux gesticulations pornographiques et un trouple aux tenues satanistes étaient inadmissibles dans le cadre d’un événement planétaire à vocation familiale.
Au de-là de ces provocations obscènes, l’un des passages les plus révoltants de cette « Cène » profanée est celui où l’un des performers «queer» fait le signe d’égorger l’enfant juste à côté.
Mais qui sont les responsables et acteurs de ce scandale planétaire financé par les contribuables ? Des menteurs, sectateurs dépravés de la secte woke !
- Thomas Jolly, Directeur artistique des cérémonies des jeux de Paris 2024, n’en est pas à son premier détournement morbide des symboles chrétiens, comme l’illustre son interprétation de Richard III au TNT en 2016.
- Patrick Boucheron, co-auteur de la cérémonie, après avoir prétendu qu’«Il n’a jamais été question du Christ» a fini par admettre «je ne peux prétendre que les gens ont tort de voir ce qu’ils ont vu». Patrick Boucheron revendique de s’attaquer au « roman national », préférant « prôner le métissage planétaire ».
- Daphné Bürki directrice stylisme et costumes des cérémonies #JOParis2024 est comme par hasard l’animatrice de dragrace sur @FranceTV.
- Barbara Butch, le « Christ » de cette Cène profanée, se décrit elle-même comme lesbienne, grosse et juive et écrit sur son corps des mots comme « chienne, vicieuse, bitch ».
Qui sont les commanditaires de ce scandale planétaire financé par les contribuables ? Des menteurs, sectateurs dépravés de la secte woke !
En premier lieu, leur gourou, Emmanuel Macron. Mais beaucoup y voit l’influence de Brigitte Macron, qui après ce scandale répugnant aura de plus en plus de mal à faire taire la rumeur sur son transgenrisme.
Ce scandale planétaire s’étant traduit par de vives critiques voire de la colère envers Thomas Jolly et Barbara Butch, Emmanuel Macron a confirmé que le wokisme était la nouvelle religion d’État : « Les Français ont été très fiers de cette cérémonie. La France a donné le visage de ce qu’elle est. Elle a montré son audace et après elle l’a fait avec la liberté artistique qui convient ». « Son audace a fait du bien à beaucoup de gens », a ajouté le chef de l’État à propos de Thomas Jolly. Emmanuel Macron s’est dit « scandalisé » et « triste » du cyberharcèlement subi par Thomas Jolly, estimant que « rien ne justifie qu’on menace un artiste ».
Bref, nous connaissons tous les procédés de Macron et de ses sectateurs wokistes :
- Humilier et insulter volontairement les gens (souvenez-vous de ses « j’ai très envie de les emmerder jusqu’au bout », « ceux qui ne sont rien »…),
- Se poser en victime s’ils osent se plaindre.
Mais grâce aux Jeux olympiques de Paris et à la complicité zélée des médias subventionnés, le monde entier connaît désormais l’existence de la doctrine occidentale :
- décadence des mœurs des élites,
- science politisée,
- sexualisation et stérilisation de la jeunesse.
Plus les restrictions de liberté augmentent, plus les sectateurs wokistes imposent leur orientation sexuelle et leur transgenrisme notamment aux enfants.
Comme l’explique Alexandre del Valle, Professeur de géopolitique à l’IPAG, Institut de préparation à l’administration générale, « Les médias d’Occident soumettent leurs peuples aux canons wokistes de l’industrie du divertissement. Mais sur Netflix l’ironie est que cet uniformisme épargne les productions extérieures à l’Occident, les séries turques par exemple, qui cartonnent en véhiculant un message identitaire, romantique traditionnel et très pudique. Bref, les productions occidentales non wokistes sont rejetées ou non financées, mais celles d’Inde ou du monde islamique ont le droit d’être identitaires, preuves que le wokisme est avant tout un autoracisme. »

Cet autoracisme woke s’attaque à tous les pans de la société et à l’espace public. Les enfants sont la principale cible.
Le wokisme transgenriste et pédocriminel s’exhibe dans les musées sous couvert de liberté artistique comme l’illustre ce tableau répugnant de « l’artiste » suisse Miriam Cahn, exposé au Palais de Tokyo de paris.

Le wokisme pédocriminel s’exhibe dans des spectacles pour enfants comme cette Simulation sexuelle du réalisateur Milo Rau.

La pornographie est imposée à tous jusque dans l’espace public avec une parfaite duplicité.
Le militantisme woke est tellement exubérant et décomplexé que de plus en plus de LGBT considèrent qu’il nuit à leur cause.
La bonne nouvelle de ce tollé mondial est que la cérémonie de clôture a été expurgée de ces aspects les plus contestables.
Alexandre Billard, Thomas Jolly et Thierry Reboul, les organisateurs de la cérémonie d’ouverture, ont déclaré que ces scandales et menaces qu’ils ont engendrées « nous obligent à devoir relire une énième fois la totalité du spectacle pour être sûrs qu’il n’y ait pas de mauvaise interprétation possible, qu’on ne nous fasse pas dire ce que nous ne voulons pas dire [1]».
Lors de la cérémonie de clôture, nous avons quand même eu droit à Lucifer descendant du ciel et ses danseurs terreux. Lors de la cérémonie d’ouverture des jeux paralympiques, nous avons eu le concert non plus de Christine, mais de Chris and the Queens, l’artiste ayant changé de sexe. Quant à la cérémonie de clôture, je n’ai pas eu le courage de m’infliger son visionnage. Dommage, j’aurais vu Emmanuel Macron se faire copieusement huer, tout comme lors de la cérémonie d’ouverture. Comme quoi, il y a encore un semblant de normalité dans ce pays.
Je voulais vous proposer de répondre à cette propagande écœurante par un peu d’humour :
Mais voilà que Thomas Jolly remet cela avec Jeanne d’Arc, « une des plus grandes travesties de notre Histoire ».
Comment ne pas penser à Patrick Boucheron revendiquant de s’attaquer au « roman national » et préférant « prôner le métissage planétaire ».
Comment mieux s’y prendre qu’en salissant l’une des figures historiques préférées des Français ?
Rien n’arrête leur propagande dépravée. Vous savez probablement que Brigitte Macron apparaît dans la saison 4 d’Emily in Paris… qui met en scène un défilé de « pénis pants », des costumes pour hommes nantis de sexes masculins, apparents sous toutes les formes.
Même si ma voix ne vaut rien face à la propagande d’État en faveur de la pornographie et du transgenrisme, moi je leur dis stop, vous êtes écœurants et dépravés !
Et vous, qu’en pensez-vous ?
Cordialement,
Sylvie Billard
Votre élue citoyenne
[1] https://rmcsport.bfmtv.com/jeux-olympiques/jo-2024-la-ceremonie-de-cloture-revue-une-enieme-fois-apres-les-polemiques-de-la-ceremonie-d-ouverture_AV-202408090385.html
Publié le 17 septembre 2024, dans Non classé. Bookmarquez ce permalien. 4 Commentaires.








Nombrilisme et droitisation
Là, c’est la totale!
Et si cette élue…. grave d’ailleurs ….nous parlait d’Aulnay sous bois?
Pour rappel, Sylvie Billard a été dans la liste « Aulnay Bien Commun », une liste plutôt à gauche dont elle s’est éloignée. Elle était aussi membre du CADA, qui avait d’anciens élus du temps de Ségura. Son article qui, je pense, personne n’a lu dans son intégrité montre un revirement difficilement compréhensible. Mais, après tout, c’est pinust, même au niveau local