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Un gynécologue refuse d’examiner un homme, le militant local Hervé Suaudeau le condamne pour transphobie

Nous ne sommes pas dans un épisode de South Park : à Pau, un gynécologue a refusé de recevoir et d’examiner une femme trans, c’est à dire un homme qui a changé de sexe :

 

Ce qui aurait fait sourire voire rire il y a 15 ans est devenu une triste réalité. Une homme qui se sent mal dans sa peau et qui se « transforme » pour devenir une femme a aujourd’hui les mêmes droits qu’un autre citoyen (attention, les personnes trans sont traquées et tuées dans de nombreux pays du globe. On n’imagine mal la liberté des trans en Afghanistan, en Iran, en Ouganda ou encore en Irak). Mais qu’en est-il de la science et de la biologie ?

Toute personne sensée reconnait qu’un homme est physiologiquement différent d’une femme. Un homme sécrète de la testostérone en grande quantité, a un pénis, est capable de générer du sperme, est aussi bien souvent plus agressif (aidé par la testostérone), et est bien plus fort physiquement (si bien qu’en athlétisme, il existe des  tables de quotation spécifiques pour les hommes et d’autres pour les femmes. Du fait de l’écartement du bassin, les femmes sont physiquement moins rapides que les hommes sur du sprint, par exemple). D’ailleurs, les athlètes hommes qui se « transforment » en femme et qui étaient dans le bas du classement dans leurs compétitions masculines deviennent les favoris dans les épreuves féminines. Changer de sexe, d’un point de vue genre, ne modifie en rien les capacités physiques.

Mais le militant woke Hervé Suaudeau, qui lui est parfaitement hétéro, père de famille, roulait en diesel il n’y a pas si longtemps et habite dans un quartier sympa de la ville d’Aulnay-sous-Bois, voit cela d’un oeil différent :

Et de rajouter :

En tant que scientifique, Hervé Suaudeau joue sur les mots et confonds sciemment homme trans et femme trans. En effet, un homme trans, c’est une femme qui, pour des raisons psychologiques, se sent plus homme, et souhaite devenir un homme. Mais biologiquement, elle reste une femme. Elle dispose d’un utérus, de trompes, d’ovaires et peut donc produire des ovules qui, s’ils sont fécondés, peuvent se transformer en embryon. Ce gynécologue serait donc pénalement responsable si cet homme trans – biologiquement femme – souhaitait avoir une consultation pour voir comment son foetus se développe. Mais ce n’est pas cela que l’on comprend dans cette histoire.

Pour simplifier, mieux vaut consulter cette vidéo de South Park qui explique pourquoi un homme ne peut pas être « enceint », à moins bien sûr que biologiquement, cet homme soit en fait une femme :

Enfin, ce nouveau dérapage montre à quel point le cancer du wokisme commence en ronger nos institutions et nos esprits. Issu des universités bourgeoises Américaines, ce mouvement prône la théorie du genre (qui était apparenté à du complotisme il y a moins de 10 ans), les théories raciales les plus dangereuses (les hommes et femmes noirs étant d’éternels victimes incapables de se défendre par leurs propres moyens selon les wokistes, et les blancs des êtres malfaisants et racistes quels qu’ils soient). Des théories raciales qui rappellent les heures les plus sombres de notre histoire. Comme le soulignait la conseillère municipale indépendante Sylvie Billard à Aulnay-sous-Bois, le wokisme est, comme le fut à l’époque le nazisme ou le bolchevisme, une idéologie à combattre de toutes nos forces pour éviter que nos enfants et petits-enfants ne tombent dans le joug de ce nouvel obscurantisme…

Source : Twitter