Quels accords la France a-t-elle signé à Oviedo en 1997 ?

Ces accords proclament entre autres que :
Article 1 : « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.
Article 2 : Primauté de l’être humain L’intérêt et le bien de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science.
Article 5 : Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. »
Il est à noter que la convention d’Oviedo, signée par la France en 1997 a été transposée dans le droit national français par le Décret no 2012-855 du 5 juillet 2012, portant publication de la convention pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine.
Vous conviendrez qu’Emmanuel Macron, son premier ministre, son » sinistre » de la santé et le gouvernement violent les articles de ce traité…
Article rédigé le 4 Février 2022 par Catherine Medioni
Publié le 4 février 2022, dans Histoire, et tagué éthique et biologie, éthique et medecine, Convention d'Oviédo, ethique et science, serment d'hippocrate piétiné. Bookmarquez ce permalien. 1 Commentaire.
Comme d’habitude, vous détournez un texte sans chercher à le comprendre. Que dit le Comité de bioéthique du Conseil de l’Europe au sujet de la vaccination et de la déclaration d’Oviedo: « Une chance équitable à des soins de santé
( NDLR : Il n’y a aucune habitude dans mes publications, mais une volonté de présenter l’envers du décors, les coulisses auxquelles les gueux, la populace méprisée de leurs élites et les sans dents n’ont pas accès ! Vous défendez l’indéfendable mais vous ne parviendrez pas à nous faire prendre des vessies pour des lanternes. En revanche, comme d’habitude vous squattez et trollez les commentaires de ce blog alors que vous avez été invitée à aller déposer vos multiples commentaires ailleurs, sur des blogs plus en correspondance avec vos thèses sulfureuses. Le traité d’Oviédo n’est pas détourné mais reproduit et la teneur des articles reproduits met en évidence les violations et les transgressions de ce gouvernement ! )
La Convention sur les droits de l’homme et la biomédecine (Convention d’Oviedo) – qui est le seul instrument juridiquement contraignant à l’échelle internationale dans ce domaine -, impose aux États membres de « prendre des mesures en vue d’assurer un accès équitable à des soins de santé de qualité appropriée, compte tenu des besoins de santé et des ressources disponibles « . Les gouvernements ont la responsabilité de gérer les crises de santé publique dans le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales.
( NDLR : Assurer un accès équitable à des soins de santé ne signifie pas obliger les gens à les subir sans leur consentement. les proposer, oui, les contraindre, non ! Et prendre des mesures coercitives détournées pour les y obliger est une violation des lois et de l’ esprit des lois.
En matière de vaccination, cela signifie qu’il faut veiller à ce que chacun, sans discrimination, ait une chance équitable de recevoir un vaccin sûr et efficace. »
( NDLR : le vaccin contre la covid n’est ni sur ni efficace. Et il est interdit d’obliger les gens à subir un acte médical auquel ils ne consentent pas, ce que la plupart des dirigeants de la planète contournent et violent ! )
Face à la rareté des vaccins, il est nécessaire d’établir un ordre de priorité dans l’accès à la vaccination, afin de réduire le plus possible le nombre de morts et de formes graves de la maladie et de limiter la transmission, conclut le Comité de Bioéthique du Conseil de l’Europe. Mais il est aussi nécessaire que, dans chacun des groupes définis par ce processus de priorisation, toutes les personnes puissent être vaccinées.«
( Pas toutes les personnes, uniquement celles qui le veulent ! Et celles qui ne veulent pas de cette vaccination doivent être respectées, non discriminées, non maltraitées ni persécutées ! )
Dans sa déclaration en 37 points, le Comité de bioéthique soutient l’Organisation mondiale de la santé et d’autres organes dans les efforts qu’ils déploient pour promouvoir l’équité entre les pays et pour établir des mécanismes de coopération internationale. » (https://fpi-asso.com/lutte-contre-la-covid-19-assurer-un-acces-equitable-a-la-vaccination/
Après 10 milliards d’injections dans le monde, la balance bénéfice/risques des vaccins est largement favorable aux vaccins malgré les posts bidonnés publiés sur ce blog
( NDLR : Les publications ne sont pas » bidonnées » mais présentent un autre versant de la même réalité. On se contrefiche de votre point de vue qui est très peu partagé sur ce blog. alors n’insistez pas ! Je ne partage pas votre point de vue et je considère même qu’il participe aux manœuvres dolosives mises en place par nos dirigeants pour que les effets indésirables soient minimisés au maximum et censurés. La balance bénéfices / Risques laisse à désirer et le service médical rendu de ces injections est insuffisant. C’est une raison majeure pour ne pas l’imposer aux citoyens qui ne la veulent pas ! )