Vincent Pavan et Emmanuelle Darles dénoncent une omerta sur les effets indésirables.

NDLR : Suite au signalement du commentateur Harry, les extraits collectés de l’article ci-dessous proviennent à l’origine du travail du media Epoch Time ainsi que de France soir. Je les ai trouvé pour la plus grande partie sur » Réseau international » qui les a relayé depuis » le libre penseur » qui cite à son tour Epoch Time. Pour ceux que cela intéresse, voici les liens, dont celui de la vidéo de 45 minutes et 52 secondes où Emmanuelle Darlan et Vincent Pavan s’expriment :
Que ce qui appartient à César soit rendu à César. Merci à Epoch Time pour le travail d’information qu’il réalise pour ouvrir les yeux de nos contemporains. Merci aux deux chercheurs de braver la censure et le discrédit pour nous donner le résultat de leurs recherches, et merci à Harry pour sa vigilance et son signalement.
Vincent Pavan est maître de conférences et chercheur en mathématiques à l’université d’Aix-Marseille. Emmanuelle Darles est docteur d’État en informatique et enseignante-chercheuse à l’université de Poitiers.
Le 29 avril dernier, ils avaient remis à l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) un rapport concernant le calcul d’indicateurs statistiques sur les effets indésirables liés aux injections ARNm (ARN messager) depuis les bases de données de pharmacovigilance européenne (EudraVigilance) et américaine (VAERS). Des systèmes de pharmacovigilance qui ne sont pas exempts de défaut, mais qui sont les seules bases à partir desquelles ces scientifiques peuvent effectuer leur travail. Par conséquent, c’est à partir des chiffres de cette pharmacovigilance, dont ils ont conscience qu’elle a ses limites, que les enseignants-chercheurs détaillent leur rapport.
Il y a un vrai problème de transparence et d’accès aux données en France car comme le fait remarquer Emmanuelle Darles, « les chercheurs n’ont pas accès aux données françaises et les organismes d’État, les institutions ne veulent pas communiquer ces données, qui sont totalement fermées. Donc, on n’a aucun moyen aujourd’hui de vérifier les statistiques qui sont apportées par les rapports de l’ANSM ou CRPV ».
Lors de leurs interventions respectives, Emmanuelle Darles et Vincent Pavan ont détaillé les modalités d’exercice de la corruption dans les champs informatique, mathématique et épidémiologique. Selon les deux universitaires, la science et les mathématiques ont en effet pu être dévoyées pour justifier la mise en place de mesures politiques au nom d’un impératif de santé publique. « Il y a une crise scientifique, une crise de l’intégrité, une crise des bonnes pratiques. Quand on affiche un résultat, quand on émet une théorie, on la prouve et on la rend reproductible. Ça n’a jamais été fait. On a par exemple imposé le passe sanitaire sur la base d’un article scientifique dont nous n’avions pas le code de calcul. Vincent Pavan a démontré par la suite qu’il s’agissait d’une tromperie », souligne Emmanuelle Darles.
D’après Vincent Pavan, l’usage frauduleux de la science et du langage mathématique par des responsables politiques est particulièrement inquiétant.
Auteurs d’une étude critique du rapport sur les effets indésirables des vaccins produit par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) au mois de juin, Emmanuelle Darles et Vincent Pavan pointent également du doigt « un défaut de vigilance » de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) et de l’Agence européenne des médicaments (EMA) dans le cadre du dispositif de pharmacovigilance passive relatif aux vaccins. « On sait qu’il y a une sous-déclaration des effets indésirables de l’ordre de 90 à 95%.
Si nous voulons une estimation raisonnable des effets indésirables totaux à partir des effets indésirables remontés en pharmacovigilance passive, il faut en général multiplier les chiffres par un facteur 10 ou un facteur 20 », observe Vincent Pavan. « Nous avons compris que les chiffres distribués par l’EMA et par l’ANSM étaient sous-estimés du facteur de pharmacovigilance passif, c’est-à-dire d’un facteur 10 à 20 », poursuit-il. Et l’enseignant-chercheur d’ajouter : « Il y a beaucoup d’interrogations sur les alertes de vigilance qui n’ont manifestement pas été produites. […] Je tiens à rappeler que l’ANSM a été condamnée dans l’affaire du Mediator pour défaut de vigilance. Depuis, rien n’a vraiment changé. […] Il y a une faillite des agences de santé, qu’il s’agisse des Centres régionaux de pharmacovigilance ou de l’Agence nationale de sécurité du médicament. »
Pour Emmanuelle Darles, il est urgent que les victimes d’effets indésirables soient reconnues, indemnisées et accompagnées.
Propos collectés le 19 Novembre 2022 par Catherine Medioni
Publié le 19 novembre 2022, dans Non classé, et tagué Corruption de la science et des politiques, Omerta sur les effets indésirables. Bookmarquez ce permalien. 16 Commentaires.
Il s’agit d’un article très largement « inspiré », pour ne pas employer un autre terme, de l’article publié par le journal Epoch Times France à la suite de son interview d’Emmanuelle Darles et Vincent Pavan : https://www.epochtimes.fr/effets-secondaires-il-y-a-une-sous-declaration-de-90-a-95-emmanuelle-darles-et-vincent-pavan-2161457.html
Merci d’indiquer la source et de mettre un lien vers la vidéo de l’interview.
@ Harry | 19 novembre 2022 à 16 h 14 min
Plusieurs médias et supports rapportent les travaux et les propos de ces deux chercheurs. Le journal Epoch Time n’en a pas l’exclusivité et en tous les cas ce n’est pas sur ce média que j’ai trouvé les informations. Il existe d’autre part quantité de vidéos où ces deux chercheurs s’expriment et alertent depuis les débuts de la vaccination de masse.
Vous plaisantez ? De nombreux passages du texte produit ici sont un vulgaire copier-coller de l’article d’Epoch Times ! Cela s’appelle du plagiat pur et simple. Pas uniquement les citations de Mme Darles et de M. Pavan issus de l’entretien réalisé par Epoch Times publié le 16 novembre sur leur site et leur chaîne Youtube, mais aussi des phrases entières de l’article rédigé par Epoch Times. Et en plus vous vous permettez d’écrire « Propos collectés par Catherine Medioni » à la fin ! Force est de constater que ce n’est pas la déontologie qui vous étouffe. Je contacte immédiatement le journal, Mme Darles et M. Pavan pour leur faire part de vos pratiques et leur signaler ce plagiat éhonté. Votre mauvaise fois ne vous honore pas.
@ Harry | 19 novembre 2022 à 18 h 39 min
@ Harry | 19 novembre 2022 à 18 h 55 min
Comme je vous l’ai déjà mentionné, ce n’est pas sur Epoch Time que j’ai collecté ces informations. Et comme précisé à la fin de l’article, j’ai précisé » collecté » et non point » rédigé. ». Il semble que les mêmes informations soient reprises par différents médias et aucun ne semble avoir l’exclusivité. Les propos de Vincent Pavant et Emmanuelle Darles sont cités comme étant les leurs. Il n’y a pas d’action malintentionnée dans le fait de rapporter leurs propos qui doivent et méritent d’être relayés.
Vous avez beau avoir supprimé ma réponse à votre commentaire, j’ai alerté le journal Epoch Times, Mme Darles et M. Pavan sur ce plagiat avec copie de l’article.
@ Harry | 19 novembre 2022 à 18 h 55 min
Je n’ai pas supprimé votre réponse à votre commentaire. Simplement il faut me laisser le temps de le publier car je ne suis pas toujours derrière mon ordinateur.
Mais nous nous éloignons de l’objet de cet article qui porte sur la négation des effets indésirables des vaccins et sur la corruption de la science bien dénoncés par les deux auteurs cités.
Quand bien même vous auriez récupéré ces citations et une partie du texte plagié ailleurs, il n’en reste pas moins que ces citations et les parties du texte plagiées sont issues de l’entretien et de l’article afférent réalisés par Epoch Times.
Une fois alertée, vous auriez dû immédiatement vérifier en consultant l’article d’Epoch Times (https://www.epochtimes.fr/effets-secondaires-il-y-a-une-sous-declaration-de-90-a-95-emmanuelle-darles-et-vincent-pavan-2161457.html) et ensuite apporter une correction en précisant la source et en incluant un lien vers la vidéo de l’entretien concerné.
D’ailleurs, plusieurs sites ont agi loyalement et relayé la vidéo de cet entretien ainsi que l’article afférent d’Epoch Times en mentionnant la source. C’est notamment le cas de Jean-Dominique Michel sur son blog : https://anthropo-logiques.org/omerta-sur-les-effets-indesirables-e-darles-et-v-pavan/
En plus des citations issues de l’entretien, vous avez notamment recopié telles quelles les phrases suivantes de l’article rédigé par Epoch Times :
Lors de leurs interventions respectives, Emmanuelle Darles et Vincent Pavan ont détaillé les modalités d’exercice de la corruption dans les champs informatique, mathématique et épidémiologique. Selon les deux universitaires, la science et les mathématiques ont en effet pu être dévoyées pour justifier la mise en place de mesures politiques au nom d’un impératif de santé publique.
Auteurs d’une étude critique du rapport sur les effets indésirables des vaccins produit par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) au mois de juin, Emmanuelle Darles et Vincent Pavan pointent également du doigt « un défaut de vigilance » de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) et de l’Agence européenne des médicaments (EMA) dans le cadre du dispositif de pharmacovigilance passive relatif aux vaccins.
Pour Emmanuelle Darles, il est urgent que les victimes d’effets indésirables soient reconnues, indemnisées et accompagnées.
Outre les questions d’éthique et de déontologie que soulèvent le plagiat, il s’agit également d’un délit puni par l’article L. 335-2 du Code de la propriété intellectuelle.
@ Harry | 19 novembre 2022 à 19 h 52 min
Je n’ai pas trouvé ces propos sur Epoch Time et il ne s’agit pas d’un plagiat puisque j’ai précisé au bas de l’article » collecté » et non pas » rédigé » comme je le fait lorsque je rédige des articles. Je ne me suis pas approprié leurs propos et je considère que si les chercheurs diffusent leurs point de vue sur les données de l’ANSM, c’est pour qu’ils soient relayés et diffusés ! Pas pour que cela reste confidentiel. C’est ce que j’ai fait : porter à la connaissance des gens les conclusions de leur travail.
Les auteurs- chercheurs sont nommément cités et dans le titre et dans le corps de l’article. Maintenant si vous affirmez que des parties de l’article ont été originellement écrits par Epoch time, je veux bien vous croire, mais dans ce cas c’est relayé tel quel par plusieurs médias.
A aucun moment je n’ai cherché à faire passer pour ma production un article que je n’ai pas écrit mais dont j’ai rassemblé différents extraits sur le sujet des effets indésirables niés et censurés, et sur le dévoiement de la science et la corruption des politiques, dénoncés par les deux auteurs depuis les tous débuts de leurs interventions dans les différentes vidéos sur la pandémie. Ils ont même affirmé suite à leurs analyses que la létalité vaccinale était plus importante que la létalité covidienne.
Et je remarque à l’instant que vous avez aussi plagié un paragraphe entier récupéré sur un article de France Soir (cet article : https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/emmanuelle-darles-vincent-pavan-rapport-opesct)
Il s’agit du paragraphe ci-dessous, qui est mot pour mot le même que celui de l’article de France Soir paru le 13/05/22 :
Le 29 avril dernier, ils avaient remis à l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) un rapport concernant le calcul d’indicateurs statistiques sur les effets indésirables liés aux injections ARNm (ARN messager) depuis les bases de données de pharmacovigilance européenne (EudraVigilance) et américaine (VAERS). Des systèmes de pharmacovigilance qui ne sont pas exempts de défaut, mais qui sont les seules bases à partir desquelles ces scientifiques peuvent effectuer leur travail. Par conséquent, c’est à partir des chiffres de cette pharmacovigilance, dont ils ont conscience qu’elle a ses limites, que les enseignants-chercheurs détaillent leur rapport
Reproduire même partiellement un texte sans l’accord de son auteur, en l’occurence le journaliste d’Epoch Times, sans même indiquer la source renvoyant vers l’article original, constitue un plagiat au sens de l’article L. 335-2 du Code de la propriété intellectuelle, peu importe que vous ayez fait du « recel » de plagiat en recopiant un texte à partir d’un site ayant déjà lui-même plagié les propos concernés.
En outre, maintenant que vous en avez été dûment informée, que vous avez pu vérifier que les parties plagiées sont bien issues de l’article d’Epoch Times, je ne comprends pas pourquoi vous n’incluez pas un lien vers l’article d’Epoch Times en question.
Tout le monde peut se tromper, mais il faut savoir reconnaître une erreur et la corriger.
D’autant que le sujet des effets indésirables et de la corruption de la science semble vous tenir à coeur et que le journal Epoch Times publie régulièrement des articles et des entretiens à ce sujet.
@ Harry | 19 novembre 2022 à 20 h 15 min
@ Harry | 19 novembre 2022 à 20 h 42 min
Mais puisque je vous dis que je n’ai pas trouvé ces informations sur Epoch Time, mais sur d’autres médias, comment aurai-je pu les citer ? Vous même avez donné le lien. J’ignorais sa provenance puisque si cet article est originaire du média que vous citez, c’est que d’autres médias l’ont relayé sans préciser la source. Dans l’information qui est donnée, n’est-ce pas le contenu qui importe ? A savoir l’omerta sur les effets indésirables qui sont niés et censurés et qui visent à induire en erreur et à violer le consentement des gens qui se sont fait vacciner sans connaitre les nombreux problèmes sanitaires posés par ces injections expérimentales ?
Je ne pense pas avoir trahi l’esprit des travaux de Vincent Pavan et Emmanuelle Darles en citant leurs conclusions et j’ai bien précisé à la fin de l’article que les propos rapportés avaient été collectés, donc ils n’étaient clairement pas de moi. Vous m’avez appris que ce que j’ai trouvé sur d’autres médias provenait D’Epoch Time, ce que j’ignorais, et en effet, des extraits ont été également collectés sur le média France soir.
Oui, le sujet des effets indésirables des injections me tient particulièrement à cœur parce que de nombreuses personnes ont accordé leur confiance à nos autorités qui non seulement n’ont pas été honnêtes dans leur propagande appuyée, mais ont mis en place des mesures coercitives pour qu’ils se fassent inoculer contre leur gré ! De nombreuses victimes ont porté témoignages de leurs déboires sanitaires consécutifs à leurs injections alors qu’avant ces dernières, ils n’avaient aucun problème de santé.
Je consulterai dorénavant Epoch Time s’ils abordent ces sujets qui me tiennent effectivement à cœur. Je vérifierai demain la provenance des parties que j’ai collectées sur d’autres médias qui se sont inspirés d’Epoch Time sans citer la source. Merci d’avoir éclairé ma lanterne.
Enfin, d’autres s’aperçoivent que la rédactrice fait du photocopillage d’articles sortis des poubelles nauséabondes de l’internet!
Il faut agir Mr Kubacki et cesser ce vol systématique par la rédactrice!
@ Lola | 20 novembre 2022 à 9 h 57 min
@ Lola | 20 novembre 2022 à 10 h 34 min
Vous êtes absolument insupportable, vous le troll aux multiples adresses IP qui ne faites que dénigrer et médire des gens qui ne vont pas dans le sens de vos théories fumeuses. Dans le triangle de Karpman, vous êtes assurément le bourreau et vous venez troller et polluer ce blog de vos rancœurs revanchardes.
Emmanuelle Darles et Vincent Pavan sont chercheurs et experts dans leurs domaines respectifs et ne méritent absolument pas que vous crachiez publiquement sur eux et que vous les calomniez sous prétexte que vous voulez que tout le monde adhère aux mandats de vaccination.
Vous n’êtes qu’un troll minable qui a tellement conscience d’être systématiquement médisant et calomniateur envers tout le monde et plus particulièrement ceux qui ne pensent pas comme vous, que vous officiez sous pseudo et des adresses IP multiples pour préserver votre anonymat. Vous êtes lâche et faiseuse d’embrouilles. Vous êtes dangereusement totalitaire et intolérante.
Il n’y a pas eu de vol puisqu’au bas de l’article est clairement indiqué que les propos ont été collectés et non point rédigés.
mais arrêtez d’aller chercher de pseudo-experts incompétents sur le sujet! ce ne sont pas des professionnels de santé, ils n’ont pas accès aux bases de l’assurance maladie, ni à aucune donnée médicale. Ce sont des gens engagés dans une croisade d’incompétence. Que peuvent trouver un prof de math et une informaticienne de fac dans une une université non médicale! un peu de sérieux, Vincent pavan est un spécialiste de la théorie cinétique des gaz, et c’est vrai qu’il fait beaucoup de vent et montre bien son incompétence!
Un peu de sérieux, merci dans les posts et le photocopillage!
@ Lola | 20 novembre 2022 à 10 h 34 min
N’essayez surtout pas d’accuser les autres d’incompétence car c’est vous qui en réalité l’êtes, et de façon récurrente ! Dans tous les cas c’est au lectorat de décider ce qui est plausible ou pas, vrai ou pas. Chacun est libre de penser ce qu’il veut dans son for intérieur. Et il n’y a aucun dictateur qui aura le pouvoir d’empêcher cela !
Les gens ne sont pas fous et beaucoup d’entre eux ont compris qu’on leur avait menti sur les faux bienfaits de ce vaccin qui n’empêche pas de contracter le virus et qui ne réduit même pas sa contagiosité ! Ils ont mesuré à quel point on les avaient manipulés avec le concours des médias corrompus et grassement subventionnés.
Il est très symptomatique que sur nos chaines et nos journaux , on occulte et censure les travaux de chercheurs courageux, de scientifiques et de médecins qui ne veulent pas hurler avec les loups de la propagande mensongère, et qui s’efforcent envers et contre tout de donner un autre son de cloche de la même réalité ! Le principe du contradictoire n’étant même plus respecté chez ceux qui prétendent nous informer que nous avons collectivement perdu toute confiance et que nous doutons de tout ce qui nous est servi.
Toutes les personnes triples vaccinées autour de moi ont toutes attrapé le covid, certaines deux fois et d’autres dans des formes longues et pénibles. Alors désolé mais je n’ai aucune confiance dans les pseudo performances de ces injections qui ont la fâcheuse tendance en plus à engendrer des effets plus qu’indésirables que les personnes piquées n’avaient pas auparavant.
Je suis fermement pour le principe de précaution et le respect absolu du consentement libre et éclairé, et je considère que forcer les gens par du chantage et des mesures coercitives est contraire à toutes les lois nationales et internationales sur les actes médicaux qui ont le droit de ne pas être consentis !
Je pense que derrière tout cela il y a une machination machiavélique et des intentions malfaisantes visant à réduire la population en altérant sa santé et même en provoquant la mort. En tous les cas je revendique le droit de le penser et de l’exprimer haut et fort.
Je ne suis pas vaccinée et j’ai traversé cette » pandémie » sans jamais avoir contracté le virus et donc sans jamais l’avoir transmis. Pourtant j’ai côtoyé de très près mes proches qui en ont été affecté par trois fois. Mon immunité est excellente et je n’ai strictement rien à gagner à m’inoculer des produits dangereux et frauduleux !
Je viens d’essayer de lire le rapport des 2 chercheurs.
Je résume ce que j’ai cru comprendre de leur analyse :
– Ils cherchent à comparer le nombre d’effets secondaires déclarées aux Etats Unis après une vaccination.
Les 2 périodes observées ne sont pas les mêmes (2 ans d’un côté, contre 30 ans de l’autre ?)
– Ils trouvent une augmentations très forte. OK.
Dommage qu’à aucun moment ils n’affichent le nombre de vaccinations effectuées dans les 2 échantillons ?
Ne serait-il pas plus judicieux de comparer le rapport Signalement/Vaccination sur les 2 périodes plutôt que le seul nombre de signalement ?
Si le nombre de vaccinations sur les 2 dernières années est très élevés, il ne serait pas anormal que le nombre de signalement soit lui aussi plus élevés.
Comparer non pas le nombre de signalement mais le rapport Signalement/Vaccination serait peut-être plus pertinent ?
Ce n’est qu’une question, mais c’est sûr que si je suis lecteur, je ne suis ni chercheur en mathématique ni chercheur en informatique.
Bonne réflexion.
Patrice