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La douleur d’un père qui a perdu son fils unique de 16 ans 5 jours après son vaccin Pfizer

Le sénateur Ron Johnson a pris l’initiative d’organiser une table ronde au Capitol Hill à Washington le 2 novembre 2021, pour recueillir les témoignages de personnes vaccinées qui ont eu à déplorer des effets indésirables ou même des décès. Le témoignage ici rapporté est celui d’Ernest Ramirez, cet habitant d’Edinburg au Texas, dévasté d’avoir fait confiance aux autorités de santé et au gouvernement américain qui affirmaient qu’il n’y avait pas de danger à faire vacciner les adolescents.
Ernesto Junior a reçu sa première injection Pfizer le 19 avril 2021 et en est malheureusement décédé subitement à 16 ans seulement 5 jours après son injection. L’autopsie réalisée a révélé une hypertrophie cardiaque. Pour le moment, il n’y a pas eu de confirmation d’un expert sur le fait qu’il y ait eu un lien direct entre la vaccination et son décès, bien que la question du lien de causalité entre le vaccin et le décès se pose pour le père.
Le papa inconsolable et en larmes explique qu’il était : « père d’un fils de 16 ans, un parent célibataire. J’ai élevé mon garçon depuis qu’il était tout bébé. Il était tout pour moi. Il était mon meilleur ami. Nous avons reçu le vaccin Pfizer parce que je pensais que cela le protégerait. Je pensais que c’était la bonne chose à faire. En mars-avril, ils annonçaient que c’était sans danger pour les adolescents. Je pensais que c’était la bonne chose à faire, mais c’était comme jouer à la roulette russe. Mon gouvernement m’a menti. Ils ont dit que c’était sûr, et maintenant… Je rentre chez moi dans une maison vide. C’était mon petit garçon. »

Certificat de vaccination contre le Covid d’Ernesto Ramirez Junior daté du 19 avril 2021
Depuis le décès de son fils, vivre dans une maison vide est insoutenable et atroce pour le père endeuillé ! Il explique tout ce qu’il ne pourra plus jamais connaitre :
» Au réveil je lui faisais un câlin, un bisou. Quand je rentrais du travail, je savais qu’il viendrait en courant pour me faire un câlin. C’était mon petit garçon, nous étions toujours ensemble. La semaine prochaine ce sera son anniversaire, je vais aller au cimetière. À Noël aussi, au cimetière. J’ai perdu mon fils, je dois protéger les autres. Ils essaient de vacciner les cinq à douze ans, il va y avoir encore plus de morts. Ils ont tout planifié et disent que ça vaut de coup de prendre le risque. Ça ne le valait pas pour moi. Ne faites pas la même erreur que moi. Je l’ai fait parce que je pensais que c’était la bonne chose à faire. Ça ne l’était pas. Je ne fais plus confiance à mon gouvernement. Je suis ici, car je suis la voix d’Ernesto Junior, je le fais en l’honneur de mon fils et si je peux protéger un ou deux enfants cela sera beaucoup pour moi. Nous devons protéger nos enfants ! «

Il est très douloureux pour les familles qui subissent le décès d’un enfant de réaliser qu’ils ont accordé la confiance à un gouvernement qui les a incité à la vaccination sans avoir été avertis de possibles conséquences. Pour une minorité de personnes vaccinées, des effets graves et secondaires peuvent survenir après l’injection. Ils ont le sentiment d’avoir été trompés et d’être désormais exposés à l’irréversible et à l’irréparable ! Le décès des enfants, des adolescents et des jeunes adultes est toujours vécu comme une profonde injustice pour les parents, et plus encore lorsque la mort pourrait être provoquée par un vaccin supposé protéger d’un virus !
Article rédigé les 12 et 13 novembre 2021 par Catherine, traqueuse de faits étouffés et censurés.