Archives de Catégorie: Santé

Les services de diabétologie et de neurologie vont-ils fermer à l’hôpital Ballanger Aulnay-sous-Bois ?

Des patients de l’hôpital Ballanger à Aulnay-sous-Bois nous informent que les services de diabétologie et de neurologie pourraient fermer prochainement. La direction aurait pris cette décision à cause des problèmes de financement. Les patients seraient redirigés vers d’autres établissements.

Nous contacterons la direction du l’hôpital Ballanger pour en savoir plus sur cette rumeur.

Inauguration du nouveau cabinet médical Chanteloup à Aulnay-sous-Bois

Inauguration récent du nouveau cabinet médical Chanteloup par plusieurs élus de la ville d’Aulnay-sous-Bois. 4 médecins généralistes et 2 infirmiers sont présents, et la venue d’une sage-femme et d’un pédiatre est à l’étude.

Pour en savoir plus, cliquer ici.

Les rats envahissent plusieurs quartiers d’Aulnay-sous-Bois dont le Vieux-Pays et contaminent les animaux

On pensait que les rats (ou surmulots) n’étaient problématiques qu’à Paris ? Il n’en est rien, il semblerait que ces rongeurs ont commencé à envahir plusieurs quartiers de la ville d’Aulnay-sous-Bois, dont le quartier du Vieux-Pays.

Une lectrice nous indique ainsi que son quartier est envahi par les rats. Elle a envoyé une lettre à la mairie, et prépare un nouveau courrier avec la signature des habitants de son quartier pour faire dératiser le Vieux-Pays car cela devient invivable.

Hier encore, un rat se trouvait devant sa porte d’entrée. Pire encore, son chien a été contaminé par une bactérie qui s appelle la leptospirose, dont seul le rat et d’autres rongeurs en sont porteurs, il y a 15 jours. Il a failli en mourir…

Ce qui inquiète encore plus notre lectrice, c’est que cette bactérie peut être transmise à un homme de manière très simple. Elle a une fille de 21 mois qui aime jouer dans le jardin et qui met ses mains à la bouche en permanence, sa crainte est qu’elle puisse se faire contaminer également.

La prolifération des rats à Aulnay-sous-Bois commence à devenir un vrai problème. Notre lectrice estime que le fait de creuser le sol pour construire des immeubles ne fait qu’augmenter leur prolifération car cela les fait tous sortir. Elle en croise quasiment tous les jours.

Si certaines personnes comme des écologistes veulent protéger les rats, leur prolifération cause beaucoup de problèmes pour les habitants. Si comme les guêpes ou les frelons les rats montrent leur utilité, un trop grand nombre peut causer des problèmes de sécurité et de santé. La mairie va-t-elle agir ou rester insensible ?

Comment contourner la pénurie de médecins à Aulnay-sous-Bois et ailleurs ?

La désertification médicale n’est pas un mythe : il est de plus en plus difficile de trouver un médecin généraliste, les professionnels de santé partant à la retraite n’étant pas toujours remplacés. Cela s’est particulièrement ressenti dans la ville d’Aulnay-sous-Bois et ailleurs en Seine-Saint-Denis, sans parler des déserts médicaux dans les zones rurales.

Avec la démocratisation d’Internet et la digitalisation, il est désormais possible de satisfaire une urgence pédiatrique ou une prise en charge d’un enfant ou d’une personne fragile, y compris les week-ends et les jours fériés. Des sites comme SOS Docteur permettent désormais d’être mis en relation avec un professionnel de santé, un simple SMS en indiquant le lieu de résidence permet d’être rappelé dans les plus brefs délais par un médecin disponible.

Ce type de plateforme qui centralise en quelque sorte la disponibilité des médecins, qu’ils soient généralistes ou spécialistes, maximise la possibilité de trouver un rendez-vous en urgence, sans passer par la case hôpital (surtout quand on sait que les urgences à l’hôpital Ballanger à Aulnay-sous-Bois sont dans un état de saturation inquiétant). Cela permet également d’obtenir un premier diagnostic, et même d’obtenir, le cas échéant, l’intervention à domicile en cas de soucis de déplacement.

Disponible 24h/24 et 7j/7, cette plateforme de mise en relation permet d’obtenir les coordonnées précises du médecin à contacter, de jour comme de nuit. En cas d’échec de mise en relation entre vous et le professionnel de santé, les frais téléphoniques vous seront remboursés. Avec la difficulté de trouver un rendez-vous pour obtenir des soins en temps et en heure, cette solution s’avère particulièrement efficace.

Dans un pays où le nombre de médecins par habitants ne cesse de diminuer, la plateforme SOS Docteur a de beaux jours devant elle. Et malgré les efforts en France pour accueillir des médecins étrangers ou revitaliser la filière de santé, la crise que nous traversons n’est pas prête de partir.

Source : contribution externe

Communiqué du POID sur la grève en gynéco obstétrique à Ballanger Aulnay-sous-Bois

Les comités du POID d’Aulnay et de Tremblay apportent tout leur soutien au personnel des urgences de gynécologie-obstétrique en grève depuis le 5 mai au Centre hospitalier Robert Ballanger.

Une nouvelle fois, comme en mai 2022, et actuellement aux urgences centrales de l’hôpital où ne sont plus accueillis que les patients en position « allongée », la politique de Macron et de son gouvernement mène à la destruction de notre système de santé et à la catastrophe pour tous. C’et le service des urgences de gynéco- obstétrique qui est touché.

L’assemblée nationale est appelée à voter à la fin du mois une loi de programmation militaire de 413 milliards, décidée par Macron dans le cadre de sa politique « d’économie de guerre » !

413 milliards pour la guerre et il n’y aurait pas d’argent pour répondre aux revendications du personnel qui réclame notamment que soient pourvus les 15 postes de sages-femmes manquants sur 42, et que soit versée au personnel la « prime d’urgence » que le gouvernement n’a jamais daigné attribuer pour les urgences de gynéco-obstétrique !

Les personnels de l’hôpital Ballanger étaient en assemblée avec le syndicat CGT le 11 mai.

Après la fermeture de la maternité de l’hôpital privé du Vert Galant à Tremblay, l’activité est en augmentation constante à Ballanger (3817 accouchements en 2022, soit plus 300). Sans moyens supplémentaires et avec un nombre de postes vacants important de sages-femmes et d’infirmières notamment.

Une infirmière de néo-natalogie témoigne : « On nous demande de doubler notre temps de travail à cause du manque de personnel et on nous refuse la prime « urgence !». « Nous travaillons dans une insécurité permanente pour les personnels, les mamans et les bébés. En néo-nat on récupère des bébés qui parfois, faute de personnels, ont subi des souffrances. Il y a déjà des petits drames. Il va y avoir de gros drames ! ». Beaucoup de collègues partent à cause des conditions de travail devenues insupportables et des salaires insuffisants.

Selon le responsable syndical, la situation est très difficile dans tout l’hôpital : « tous les services sont en tension », sans parler de la privatisation en marche des services techniques et des projets de restructuration dans le cadre du GHT Montfermeil, Montreuil et Ballanger. « C’est un problème national » dit-il. « C’est une politique gouvernementale ». Il a raison. Il informe qu’une délégation vers l’ARS, appuyée par la députée Clémentine Autain, est en préparation.

Pour le POID, en effet il s’agit d’une politique nationale en marche depuis des décennies contre l’hôpital public et pour la privatisation de la santé, que Macron veut mener à son terme. Non seulement il a décidé avec Mme Borne de pénaliser à nouveau les femmes en reportant de deux ans l’âge de départ en retraite, mais il n’hésite pas à s’en prendre à leur santé et à celle des nouveau-nés en poursuivant la politique de fermeture des maternités, des services d’urgences, en poursuivant les restructurations généralisées par la loi Touraine de 2016 sur les groupements hospitaliers de territoire (GHT). En refusant les revendications des personnels qui n’en peuvent plus.

Ceci dans un département où malgré un taux de natalité régulièrement en hausse, la situation sanitaire et médico-sociale s’aggrave de jour en jour, qui voit le taux de mortalité infantile augmenter, une désertification médicale incessante remettant en cause de fait l’accès aux soins, et où de surcroît le Conseil départemental de « gauche » ferme les centres de PMI.

Le POID se prononce pour la satisfaction des revendications des personnels de l’hôpital Ballanger : salaires et primes, recrutements, réouverture des services d’urgence avec les personnels nécessaires, réouverture des lits fermés.

Pour cela, réquisition des 413 milliards destinés au budget de guerre afin de les affecter aux besoins du peuple travailleur et de la jeunesse (hôpitaux, écoles, salaires, retraites).

La position du POID

Le gouvernement Macron- Borne, ultra minoritaire et haï par le plus grand nombre, est responsable !

Macron veut faire adopter une loi de programmation militaire de 413 milliards sur les 6 prochaines années. Retirés aux services publics, notamment aux hôpitaux.

On ne peut attendre ! Dans quel état seront les hôpitaux si on le laisse faire ?

Dehors Macron ! Pour un gouvernement qui confisquerait les 413 milliards pour financer l’hôpital, l’école. Signez l’appel du POID

Et ne faut-il pas que les dirigeants syndicaux des hôpitaux et tous les personnels de santé, avec tous les travailleurs appellent -ce qu’ils ont refusé de faire pour le retrait de la réforme des retraites –à l’action nationale unie, la montée sur Paris sur ces mots d’ordre ?

Tous au meeting du POID le dimanche 4 juin, Espace Charenton (Paris 12e) meeting européen contre la guerre et l’exploitation.

Source : tract POID

Une grève est en cours aux urgences gynécologiques de l’hôpital Ballanger Aulnay-sous-Bois

Une grève reconductible est en cours aux urgences gynécologiques de l’hôpital Robert-Ballanger à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) pour dénoncer le manque de personnel, les conditions de travail et d’accueil des femmes enceintes, mais aussi pour réclamer la prime de risque de 118 euros brut mensuel pour les personnels des urgences. « On n’est pas considéré comme un service d’urgence même s’il est écrit urgence gynécologique », souligne Sonia Doysié de Sud Santé Sociaux. Le syndicat soutient la grève mais l’appel a été lancé par la CGT, précise-t-elle.

Source et article complet : France Bleu

Manque de personnel à l’hôpital Ballanger Aulnay-sous-Bois, les urgences quasiment indisponibles

Ce week-end de vacances, seules les personnes amenées par le SAMU ou les pompiers pourront accéder aux urgences de l’hôpital Ballanger à Aulnay-sous-Bois. Pour les autres, ils seront redirigés vers d’autres établissements de la région.

Les raisons sont un manque de personnel. A partir du 24 avril jusqu’au 2 mai 2023, les mêmes restrictions auront lieu la nuit.

Caroline Gayet fondatrice de l’herboristerie Phyt&Sens à Aulnay-sous-Bois défend la médecine douce

En 2019, une enquête Ipsos pour Arkopharma dévoilait que 41 % des Français déclaraient utiliser des traitements naturels pour se soigner. Quatre ans plus tard, le besoin de prendre soin de soi le plus naturellement possible continue de faire des émules. « Pendant la pandémie, on a vu des clients totalement réfractaires à la médecine traditionnelle chercher à redynamiser leur système immunitaire avec des plantes, confirme Léa Parsy, copropriétaire de la pharmacie et herboristerie Cotinat, à Paris. Aujourd’hui, c’est un réflexe qui est entré dans les routines pré-hivernales. » De quoi expliquer le regain d’intérêt autour de l’herboristerie, boostée par l’envie de se reconnecter à la nature et de mieux écouter son corps, tout en renouant avec un savoir-faire ancestral. « Les pharmaciens étaient avant tout des apothicaires », rappelle Caroline Gayet, diététicienne phytothérapeute et fondatrice de l’herboristerie Phyt&Sens, à Aulnay-sous-Bois (93). Pour autant, « médecines classique et traditionnelle ont encore du mal à cohabiter de façon intelligente et respectueuse », observe Léa Parsy.

Source et article complet: Elle

La participation d’un groupe privé à la radiologie de l’hôpital Ballanger Aulnay-sous-Bois attise les critiques

La création d’un plateau d’imagerie médicale mutualisé entre les hôpitaux d’Aulnay-sous-Bois, Montfermeil et Montreuil et le groupe Imagerie médicale de la Plaine de France est bien engagée. Si la direction défend une avancée pour les patients, certains dénoncent la mainmise du secteur privé sur l’hôpital public.

Comment lutter contre la désertification médicale ? Comment apporter davantage d’offres de soins aux patients ? Selon la direction du groupement hospitalier de territoire (GHT) Grand Paris Nord-Est, qui regroupe les hôpitaux d’Aulnay-sous-Bois, Montfermeil et Montreuil, en Seine-Saint-Denis, le plateau d’imagerie médicale mutualisée (Pimm) est un outil performant. Pour ses détracteurs, il constitue une mainmise du secteur privé sur l’hôpital public.

Source et article complet : Le Parisien

Pour la réintégration des personnes suspendues et l’arrêt des poursuites disciplinaires illégitimes

Chères Aulnaysiennes, chers Aulnaysiens,

Lors de mes vœux 2023 pour plus de justice, de liberté et de solidarité, j’ai plaidé notamment pour la réintégration des personnes suspendues et l’arrêt des poursuites disciplinaires illégitimes.

La France est en effet le dernier pays au monde à ne pas réintégrer les personnes non vaccinées et les sanctions disciplinaires contre celles et ceux qui se battent pour la vérité se poursuivent.

Dernière victime en date : Amine Umlil, Pharmacien et responsable de la pharmacovigilance à l’hôpital de Cholet. Il est l’auteur d’un rapport sur les « effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 et  système de pharmacovigilance français » transmis à l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) suite à l’enquête demandée par la Commission des affaires sociales du Sénat. Son rapport s’intitule « Vaccins contre la Covid-19 – L’impossible consentement ».

Dans le cadre de cette enquête, qui fait suite à une pétition sur le site du Sénat, et à la demande de plusieurs parlementaires, le Dr Amine Umlil est auditionné le 8 avril 2022 par des sénateurs et des députés. Préalablement, il transmet aux rapporteurs son rapport qui s’appuie sur des extraits de publications d’autorités publiques administratives et scientifiques et de réglementations. Les parlementaires publient le 9 juin 2022 leur rapport sur les effets indésirables consécutifs à la vaccination contre la Covid 19 et le système français de pharmacovigilance.

Le 12 janvier 2023, le Dr Amine Umlil comparait devant le conseil de discipline du Centre national de gestion (CNG) – l’autorité administrative des praticiens hospitaliers – pour répondre « des actions de propagande anti-vaccinale qui vont à l’encontre de la politique de santé publique mise en place pour faire face à la crise sanitaire du Covid-19 ».

Le 31 janvier 2023, sur TPMP, un soignant non vacciné et suspendu jette un gant à M. Veran en lui proposant de relever le défi d’un débat face au Dr Amine Umlil.

Le lendemain, le CNG révoque le Dr Amine Umlil, cette décision prenant effet le 4 février 2023[i].

« Jeté comme ce gant. 15 ans d’études en pharmacie, 3 concours nationaux, 5 ans d’études en droit, à la poubelle ». Le Dr Amine Umlil s’en explique sur Sud Radio : « On m’a révoqué simplement parce que j’ai donné mon avis sur le vaccin, pour m’être exprimé devant le Parlement ».

Pourtant la liberté d’expression est garantie par la déontologie et le Code de la santé publique et est même une obligation :

  • Le Serment d’Hippocrate dispose : « Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité. J’informerai les patients… Je ne tromperai jamais leur confiance… Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire… ».
  • L’article R4235-2 du Code de la santé publique dispose que « Le pharmacien exerce sa mission dans le respect de la vie et de la personne humaine. Il doit contribuer à l’information et à l’éducation du public en matière sanitaire et sociale ».
  • L’article R.4235-3 dispose que « Le pharmacien doit veiller à préserver la liberté de son jugement professionnel dans l’exercice de ses fonctions. Il ne peut aliéner son indépendance sous quelque forme que ce soit ».
  • L’article R.4235-61 dispose que « Lorsque l’intérêt de la santé du patient lui paraît l’exiger, le pharmacien doit refuser de dispenser un médicament. Si ce médicament est prescrit sur une ordonnance, le pharmacien doit informer immédiatement le prescripteur de son refus ».

Pourtant toute personne qui le souhaite sait maintenant que ce « vaccin » n’en est pas un, n’est pas efficace et peut entraîner des effets secondaires graves.

  • Ce « vaccin » n’est pas un : Le Pr Jean-François Delfraissy, ancien président du Conseil scientifique, a qualifié le vaccin contre le Covid-19 de « vaccin-médicament » du fait de « l’action limitée » du sérum « dans le temps et sur la transmission »[ii].
  • Ce sérum n’est pas efficace contre la transmission : « La représentante de Pfizer, Janine Small, a admis lundi 10 octobre, lors d’une audition devant le Parlement européen, que le géant pharmaceutique américain n’a jamais testé son vaccin sur le facteur de la transmissibilité du Covid-19 »[iii].
  • Ce sérum peut entraîner chez certains des effets secondaires graves : comme l’explique le documentaire diffusé sur Arte « Depuis le début de la pandémie, plus de 900 millions de doses de vaccins anti-Covid ont été administrées en Europe. Si ce vaccin est globalement bien toléré, il provoque parfois des effets secondaires sévères ».

Parmi ces effets indésirables, certains entraînent des troubles du cycle menstruel. Le collectif « Où est mon cycle ? », auditionné également par l’OPECST, a recueilli 4500 témoignages de femmes de tous âges attestant de troubles de leur cycle menstruel et ce dans un temps proche de leur vaccination contre la COVID-19. Au nom de ce collectif, la Française Diane Protat a présenté une pétition n° 0870/2022 pour demander qu’une audition soit organisée par l’Agence européenne des médicaments (EMA) et par le Comité pour l’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance (PRAC) aux fins de connaître le point de vue du public sur l’acceptabilité des risques associés à la vaccination contre la COVID-19 et notamment celui des femmes qui en Europe subissent des troubles du cycle menstruel faisant suite à cette vaccination.

Je vous invite à signer cette pétition.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

Sylvie Billard

Votre élue citoyenne


[i] https://www.tf1info.fr/sante/covid-19-omicron-pandemie-le-vaccin-est-une-forme-de-medicament-reconnait-jean-francois-delfraissy-president-du-conseil-scientifique-2208136.html

[ii] https://www.tf1info.fr/sante/covid-19-omicron-pandemie-le-vaccin-est-une-forme-de-medicament-reconnait-jean-francois-delfraissy-president-du-conseil-scientifique-2208136.html

[iii] https://multimedia.europarl.europa.eu/fr/webstreaming/covi-committee-meeting_20221010-1430-COMMITTEE-COVI

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