Alors que les négociations avec le groupe PSA battent leur plein, le syndicat estime que le site de Seine-Saint-Denis peut être sauvé, et réclame un apport en capital de 1,5 milliard d’euros par la famille Peugeot.

Un désastre industriel chassant l’autre, le sort de l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois, dont la fermeture est annoncée pour 2014, a laissé la une des gazettes aux hauts-fourneaux de Florange. «Nous, on ne demandera pas de nationalisation», sourit un responsable de la CGT, alors que le syndicat majoritaire du groupe automobile présentait, ce lundi, son «plan B» pour redresser le groupe. Objectif : maintenir l’activité à Aulnay, et obtenir que la famille Peugeot, actionnaire principal, remette 1,5 milliard au pot.

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Source et image : Libération