Le banc des parties civiles est désert. La victime, peu coopérative durant l’enquête, a disparu des radars. Ses proches, qui doivent témoigner durant ce procès, le feront par visioconférence afin de ne pas être confrontés aux accusés. « Peu de témoins sont motivés dans ce dossier », note le président de la cour d’assises de l’Essonne, ce lundi. Dans le box, deux hommes comparaissent détenus. Deux autres hommes sont libres. Ils sont accusés « d’enlèvement et de séquestration en bande organisée » et de « violences en réunion en récidive ». Une femme comparait également libre pour « complicité d’enlèvement ».
Source et article complet : Le Parisien

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