En pleine nuit ce 15 mai, ils sont une quinzaine d’ouvriers à s’activer. Certains vérifient que rien n’empêche l’ouvrage d’avancer, d’autres pulvérisent régulièrement de l’eau savonneuse sur ses appuis pour lui permettre de glisser. Si lentement que, même en s’arrêtant plusieurs secondes et en plissant les yeux, le gigantesque tube métallique paraît immobile. Ce n’est que le lendemain matin que les automobilistes ont pu constater son avancée progressive au-dessus des autoroutes A1 et A3, et comprendre pourquoi la circulation y était interdite en soirée.

Source et article complet : Les Echos