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Indemnisation des effets secondaires vaccinaux par une proposition de loi

Sir Christopher Chope, membre du Parlement britannique, dont vous avez pu voir l’extrait vidéo de son intervention au parlement dans un précédant article dont voici le lien ci dessous :
….fait une proposition de loi pour que les victimes qui ont désormais à souffrir des effets indésirables des vaccins soient indemnisées. Pourrions nous rêver qu’il en soit un jour de même en France tant elle n’est pas épargnée par les accidents et les décès suite aux injections Covid ?
En effet et pour rappel, le parlementaire avait au cours de son intervention noté que
« Il y a plus d’accidents provoqués par les vaccins anti-covid que par tout autre programme de vaccination dans l’Histoire ». Et Selon lui, « nos citoyens sont en train de souffrir davantage d’effets secondaires en conséquence des vaccins anti-covid qu’en conséquence de tout autre programme de vaccination dans l’histoire ».
Sir Christopher Chope ne conteste pas en tant que tel le programme de vaccination, mais il observe que « ceux d’entre nous qui ont pris les deux doses du vaccin anti-covid doivent s’estimer heureux (« count our blessings ») de ne pas avoir souffert d’effets secondaires ». Arguant du fait qu’Il y a désormais tellement d’accidents vaccinaux au Royaume-Uni que sa proposition de loi définissant un nouveau régime d’indemnisation est urgente. Faute de quoi, les gens ne se feront plus vacciner.
Selon le raisonnement de Sir Christopher Chope, les gens se sont fait vacciner pour « le bien de l’État », exactement comme s’ils s’enrôlaient dans les forces armées. C’est la raison pour laquelle toujours selon sont point de vue, les accidents vaccinaux devraient être assimilés à des blessures de guerre pour lesquelles l’État assume l’entière responsabilité. Il propose donc un régime d’indemnisation de type « hors faute », c’est-à-dire sans que l’accidenté identifie une agence, une personne ou une institution directement responsable du préjudice.
Compte tenu de l’urgence de la situation, la proposition prévoit que toute demande d’indemnisation puisse être déposée devant le juge judiciaire, plutôt que devant une quelconque agence gouvernementale.
Affirmant que ces vaccins ne protègent ni contre l’infection ni contre la transmission, il ajoute qu’une masse de preuves existe concernant les effets secondaires et cela en dépit du déni érigé par le gouvernement. Il juge en outre qu’il est parfaitement inutile de définir des procédures complexes destinées à forcer les lésés de prouver un lien de causalité vaccin/accident ou décès.
Sir Christopher Chope révèle également que :
« nos hôpitaux sont occupés par un grand nombre de patients qui s’y trouvent uniquement pour avoir accepté de se faire vacciner. Les médecins hospitaliers sont dans un état d’anxiété aigüe. Il faut mesurer le bénéfice-risque. ( … ) Le sujet de cette proposition de loi est brûlant (…) Il concerne toutes ces personnes accidentées voire décédées suite aux vaccins (…) Ce gouvernement devrait cesser de faire la sourde oreille face à des gens qui voulaient bien faire ».
« le dernier rapport de pharmacovigilance (Yellow Card Report) est sorti le 9 septembre et couvre la période du 9 décembre 2020 au 1er septembre 2021. Y figurent 435 signalements de thromboses et de thrombocytopénie graves ; 35 000 signalements de désordres de la menstruation ; un grand nombre d’autres accidents (…) 1 632 décès survenus peu après l’administration du vaccin ».
Sir Christopher Hope qui a reçu plus de 10 000 signatures à la pétition qu’il a lancée, affirme que lien causal n’est plus à démontrer entre les effets indésirables et les vaccins :
» Nous avons déjà une masse de preuves concernant les accidents voire les décès, causés par ces vaccins. Nous avons un rapport récent d’un médecin légiste quelque part dans le Nord de l’Angleterre, qui conclut au vaccin comme la cause directe de la mort. (…) La réalité est que les gens ont peur de ce vaccin et il faut arrêter de faire comme si cette peur n’existait pas. Nous ne pouvons continuer à occulter les rapports de médecins légistes qui ont conclu que telle ou telle personne était morte suite au vaccin. J’en connais dans mon propre entourage, des gens qui allaient très bien et qui se sont retrouvés à l’hôpital avec un AVC et des problèmes cardiaques graves. Ce ne sont pas de simples anecdotes, ce sont des faits connus de gens partout dans ce pays. «
Il poursuit :
» Le gouvernement aurait sans doute préféré que cela ne se sache pas mais les faits sont têtus. (…) Si quelqu’un se présente à ma permanence parlementaire et m’explique avoir peur pour lui-même ou pour ses enfants, je ne puis lui dire « Ne vous faites pas de mauvais sang. Dans le cas, improbable, d’un accident, vous serez entièrement indemnisé ». Je ne puis me permettre de le leur dire. Alors que si je le pouvais, ils seraient plus enclins à prendre le risque. (…) Par ailleurs, si les soignants en EHPAD par exemple, ont peur des conséquences du vaccin et le refusent, c’est à eux seuls de juger s’ils souhaitent prendre ce risque ou non « .
Finalement, la date du 22 octobre 2021 a été fixée pour une deuxième lecture de cette proposition de loi.
Ce parlementaire conservateur est au moins est honnête, transparent, lucide, et surtout ne pratique pas la langue de bois. Il reconnait et soutient les liens de causalité entre la vaccination et les accidents qui peuvent malencontreusement survenir, sans pour autant nier les bénéfices éventuels ou escomptés de cette vaccination. Autre point très important de son intervention : il reconnait le droit aux soignants de choisir s’il veulent prendre un risque ou non, ce qui diffère totalement des positions dictatoriales françaises.
Article rédigé le 18 septembre 2021 par Catherine Medioni