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Besoin urgent de gentillesse !

Et si on revenait à des valeurs simples mais oubliées …en 2025

« Finissons-en avec l’ère du chacun pour soi et du «  tout à l’égo ». Arrêtons avec le culte de la performance  en solitaire et des battants sans états d’âme. Dans un monde en crise, il est urgent de mettre un peu de douceur et de respect dans nos relations. Et pas seulement avec nos proches.   

Au travail, dans la rue, partout et avec tous : quand le présent est troublé et l’avenir incertain , il est indispensable de développer  un esprit d’écoute d’entraide et de solidarité. C’est le seul moyen de lutter contre une tendance toute naturelle dans une telle situation, à la méfiance,  à la peur et au repli sur soi. Reprendre pleinement conscience de ce qui nous relie les uns aux autres afin d’y puiser sa force : cela devient une question de survie. Bref, devenons gentils !

Restée longtemps du côté des – trop- bons sentiments, jugé douteuse parce que trop douce dans un monde de brutes, cette notion de gentillesse cache, en réalité, des vertus profondes, exigeantes et enrichissantes. Pour peu qu’elle soit vécue avec authenticité, oubliez sa rime facile avec faiblesse : la gentillesse est, au contraire, le courage des temps modernes.

Et la clé pour mieux vivre ensemble. »

Ce texte de A.M.Gannac écrit déjà en 2009 dans  PSYCHOLOGIES magazine devrait plus que jamais prendre toute sa signification.

Source : Christian

Rappel concernant un tribune sur François Ruffin

Cet article passé voilà environ une année dans la tribune d’AULNAY CAP semble prendre toute sa valeur aujourd’hui, raison de le re proposer à sa lecture en adressant malgré tout cette brève requête à M.François RUFFIN :

« Monsieur

Aujourd’hui, même si vous vous démarquez plus ou moins du groupe LFI , déjà un aspect positif, il semble urgent dans les moments que nous vivons de vous en éloignez au plus vite afin que votre discours de véritables valeurs de gauche puissent enfin s’en démarquer en toute liberté auprès d’ électeurs surtout de gauche mais qui refusent cet endoctrinement extrémiste. Merci.»

ET SI TOUT ESPOIR N’ETAIT PAS PERDU

Extrait de passages du livre de François RUFFIN , « Il est où le bonheur .»

Rappelons-nous

« S’unir, plus que jamais s’unir, pour donner à la France d’autres espoirs. »

C’est Antoine CROIZAT qui lance ça, dans les années 1930.

S’unir souhaite À.CROIZAT. Car jusque là, les partis marxistes vont aux urnes, et à la défaite en ordre dispersé. Même le coup d’état, avorté, du 6 février 1934 ne suffit pas contre le fascisme, les cortèges syndicaux marchent séparés , socialistes et communistes en frères ennemis….Mais la base va bouger. Le 12 février, un lundi de grève générale à Paris.une foule immense envahit la place de la Nation au cri de « Unité, Unité ».Partout en France, dans toutes les grandes villes ,la jonction s’opère , avec non seulement le même appel,

« Unité, Unité » mais le même réflexe de survie… »

« …M.Thorez prône « l’action commune immédiate », une union de la gauche. Et même du centre gauche, Thorez prône « l’alliance des classes moyennes avec la classe ouvrière » en appelle au Parti radical.Qui refuse d’abord. Là encore chez les radicaux, c’est la base qui va réclamer l’unité. Et qui permet donc la naissance du front populaire

Derrière un slogan ramasse-tout : « Pain, Paix, Liberté » le 3 mai 1936, la victoire est large 57% des suffrages, 386 députés sur 608. C’est un basculement à gauche
« Il s’agit , après avoir plié, tout subi,tout encaissé en silence pendant des mois et des années d’oser enfin se redresser. Se sentir debout. Prendre la parole à son tour. Se sentir des hommes… »

«… Blum entre à Matignon …en quinze jours, à peine, les 40 heures sont accordées, les congés payés passent à l’assemblée, approuvés par 563 voix contre une ! A la quasi –unanimité, les députés votent « les vacances pour tous ». Même la droite ! Cette conquête, même les ouvriers n’osaient qu’à peine l’imaginer un mois plus tôt. Le patronnât la combattait sourdement et sans mal , depuis une décennie … »

« …Lorsque le peuple déborde comme un torrent, quelle rive lui résiste ? »

« Alors j’ai fait un rêve que je vous livre: celui du front populaire écologique. « S’unir, plus que jamais s’unir, pour donner à la France d’autres espoirs « et nous aussi, il nous faut n donner d’autres espoirs, d’autres espoirs que l’extrême droite et l’extrême argent… »

Comme hier, il va falloir le gueuler fort avec nos amis, « Unité, Unité !, tanner les partis , faire taire les querelles, rassembler les chapelles, allier la classe moyenne aux populaires…que cesse la bataille des nains pour qu’on puisse bousculer les grands…. »

« …Il faut essayer quelque chose, enjoignait le Président Roosevelt . Le peuple ne nous en voudra pas d’avoir échoué, mais il nous en voudra à de ne pas avoir essayé. »
L’actualité ne collerait-elle pas à ce passé déjà oublié…. ?

Contribution extérieure

Extrait de passages du livre de François RUFFIN , « Il est où le bonheur », rappelons-nous

ET SI TOUT ESPOIR N’ETAIT PAS PERDU

 « S’unir, plus que jamais s’unir, pour donner à la France d’autres espoirs. »
C’est  Antoine CROIZAT qui lance ça, dans les années 1930.
S’unir  souhaite À.CROIZAT. Car jusque là, les partis marxistes vont aux urnes, et à la défaite en ordre dispersé. Même le coup d’état, avorté, du 6 février 1934 ne suffit pas contre le fascisme, les cortèges syndicaux marchent séparés , socialistes et communistes en frères ennemis….Mais la base va bouger. Le 12 février, un lundi de grève générale à  Paris.une foule immense envahit la place de la Nation au cri de « Unité, Unité ».Partout en France, dans toutes les grandes villes ,la jonction s’opère , avec non seulement le même appel, 

«  Unité, Unité » mais le même réflexe de survie… »

« …M.Thorez prône «  l’action commune immédiate », une union de la gauche. Et même du centre gauche, Thorez prône «  l’alliance des classes moyennes avec la classe ouvrière » en appelle au Parti radical.Qui refuse d’abord. Là encore chez les radicaux, c’est la base qui va réclamer l’unité. Et qui permet donc la naissance du front populaire
Derrière un slogan ramasse-tout : « Pain, Paix, Liberté » le 3 mai 1936, la victoire est large 57% des suffrages, 386 députés sur 608. C’est un basculement à gauche

« Il s’agit , après avoir plié, tout subi,tout encaissé en silence pendant des mois et des années d’oser enfin se redresser. Se sentir debout. Prendre la parole à son tour. Se sentir des hommes… »

«… Blum entre à Matignon …en quinze jours, à peine, les 40 heures sont accordées, les congés payés passent à l’assemblée, approuvés par 563 voix contre une ! A la quasi –unanimité, les députés votent  « les  vacances pour tous ». Même la droite ! Cette conquête, même les ouvriers n’osaient qu’à peine l’imaginer un mois plus tôt. Le patronnât la combattait sourdement et sans mal , depuis une décennie … »

« …Lorsque le peuple déborde comme un torrent, quelle rive lui résiste ? »
« Alors j’ai fait un rêve que je vous livre: celui du front populaire écologique. « S’unir, plus que jamais s’unir, pour donner à la France d’autres espoirs « et nous aussi, il nous faut donner d’autres espoirs, d’autres espoirs que l’extrême droite et l’extrême argent… »
Comme hier, il va falloir le gueuler fort avec nos amis, « Unité, Unité !, tanner les partis , faire taire les querelles, rassembler les chapelles, allier la classe moyenne aux populaires…que cesse la bataille des nains pour qu’on puisse bousculer les grands…. »

« …Il faut essayer quelque chose, enjoignait le Président Roosevelt . Le peuple ne nous en voudra pas d’avoir échoué, mais il nous en voudra à de ne pas avoir essayé. »

L’actualité ne collerait-elle pas à ce passé déjà oublié…. ?

Contribution extérieure  

Le marché de Noël redonne du bonheur aux habitants d’Aulnay-sous-Bois

Avec une année terrible qui restera dans les annales, un peu de calme, de quiétude et de festivités redonnent du baume au cœur de nombreux Aulnaysiens. Le marché de Noël, selon une lectrice, fait vraiment du bien. On a l’impression de revivre un peu même si le cœur n’y est pas forcément.

On y voit du monde, des commerçants sympathiques et de l’ambiance sur le boulevard de Strasbourg. Fanfare, orgue de Barbarie, chanteurs…

Notre lectrice tient à remercier toute l’équipe municipale, les services techniques et le Maire qui ont fait qu’Aulnay puisse vivre et survivre malgré cette pandémie. 

Source : témoignage d’une lectrice.