Suite au commentaire ci-dessous capturé,  j’ai immédiatement appelé la personne qui  appelait à l’aide et je me suis rendue sur place pour constater les  ravages provoqués par l’incendie qui à détruit tout l’intérieur de leur pavillon.

Par chance aucun membre de la famille n’était présent sur place lorsque le pavillon s’est consumé de l’intérieur.  Ce sont des fumées noires qui s’en échappaient qui ont alerté le voisinage et ce sont les pompiers qui ont averti le père de famille. D’après Christian, l’incendie se serait déclaré à partir d’un réfrigérateur qui avait été acheté quelques mois auparavant et dont l’habitacle était entièrement consumé.

Si le pavillon a conservé des murs extérieurs en parfait état de conservation, tout l’intérieur est devenu totalement détruit et inhabitable !  Aucune pièce de la maison n’a été épargnée et tout est recouvert de suie : murs, sols, plafonds, équipements, effets personnels des résidents. Ils n’ont plus rien !

Ils sont provisoirement relogés à l’hôtel pour quelques jours, mais selon mon point de vue il va s’écouler de nombreux mois avant qu’ils puissent regagner leur logement tant les dégâts sont importants. Le père de famille qui a fait sa déclaration de sinistre dans les délais est dans l’attente de la venue sur place d’un expert qui doit évaluer les dégâts. Pour l’instant, il ne peut entreprendre aucun travaux de déblaiement avant l’expertise qui doit lui en donner l’autorisation.

Afin que chacun d’entre vous puisse prendre la mesure de l’ampleur des dégâts,  vous trouverez ci-dessous les photos du désastre, et je lance dès maintenant un appel à volontaires bénévoles pour aider à déblayer les gravats et les équipements inutilisables. Il est très important que face à cette situation que personne ne voudrait avoir à affronter, un élan de solidarité  soutienne ce père et cette famille très affectée. Les volontaires prêts à donner un peu de leur temps dès le feu vert de l’expert pour déblayer les gravats peuvent se manifester en écrivant  à   :  

aulnaycap@gmail.com

Reportage  photos  et  Article  rédigé  le  29  novembre  2021  par  Catherine  Medioni