« Simple Aulnaysien depuis très longtemps, j’ai découvert depuis plusieurs mois, aux frontières de ma si bonne ville d’Aulnay en Seine-Saint-Denis, une situation qui me questionne car sans aucune information ! Sur les  bords de la RN 370, à proximité de l’autoroute A1, un immense campement de caravanes est perceptible à l’entrée Nord/Ouest de la ville.

Par conséquent, je m’interroge et mon imagination gambade…

• Un nouveau camping s’est-il installé à Aulnay en vue d’une prochaine saison estivale ?
  • Où faut-il s’inscrire pour avoir une place car déjà bien complet, à l’office du tourisme ?
  • Quels en seront les tarifs… ?
• Un nouveau village afin d’étendre le parc des logements sociaux de 35% aujourd’hui ? Ou encore la poursuite de l’urbanisation Aulnaysienne démesurée pour atteindre les 100 000 habitants ?
  • Quels seront les critères pour un logement… ? Où faut-il faire sa demande ?
  • Dans ce cas, les Aulnaysiens ont-ils été consultés ? moi pas !

Ne soyons pas médisant, il n’en est certainement rien ! Mais soyons un peu sérieux car même cette petite note d’humour … noir n’apporte pas le moindre réconfort.

Aucune communication du maire ou de la municipalité, même pas dans…   «  Oxygène »  ! Les sujets qui fâchent, ceux qui pourraient une fois de plus porter atteinte à l’image du Maire déjà bien ternie depuis ces dernières années, sont passés à la trappe ! La moindre choses seraient que l’on soit informé d’une telle situation, où des enfants, des personnes âgées vivent dans des conditions inhumaines auprès d’une autoroute !

Absolument affligeant, j’ai honte d’habiter dans une ville où l’exécutif municipal n’apporte que peu d’importance à ses administrés. Je me rappelle des propos de M. Defait contre l’ancienne municipalité lorsque des Roms s’étaient installés sur les ruines de l’ancien concessionnaire Renault. Pourquoi ne l’entendons nous pas maintenant ?

En supplément, une belle image de l’agenda 21 … toujours à l’entrée d’Aulnay »

Source : coup de colère d’un habitant d’Aulnay-sous-Bois. Capade Nord et la Rédaction ne partagent pas le ton ironique employé ici mais s’interrogent sur les risques sanitaires encourus par les résidents de ce campement.