Un nouvel immeuble de 20 mètres de haut à Aulnay-sous-Bois avec l’opération « Le Cœur des Aulnes »
Le quartier Centre-Gare Nord d’Aulnay-sous-Bois accueillera un nouvel immeuble d’environ 20 mètres de haut avec l’opération « Le Cœur des Aulnes ». Ce bâtiment verra le jour à l’angle des rues Jean Charcot et Marcel Sembat, à côté de la sécurité sociale. Au programme :
- 62 logements en accession à la propriété
- 8 logements sociaux
- 70 m² de bureaux
Publié le 18 mars 2014, dans Logement, Travaux, Urbanisme, et tagué Aulnay, Aulnay-sous-Bois, Coeur des Aulnes. Bookmarquez ce permalien. 9 Commentaires.
20 mètres de haut ! Les riverains entourés de béton et privés de ciel, de nature, de soleil et de lumière vont être ravis ! les Aulnaysiens qui avaient quitté Paris pour un environnement pavillonnaire agréable et à taille humaine assistent désolés à la transformation d’une ville qui ne gagne ni en beauté, ni en qualité de vie ! La circulation à cet endroit est déjà très problématique. Depuis que le carrefour Princet / sembat a été refait, les embouteillages se multiplient et l’exaspération des automobilistes également ! Trois immeubles en construction dans le même secteur, c’est autant de voitures que de logements et des difficultés de stationnement en perspective. Merci Gérard Segura !
Le tract reçu hier de Segura prônant la protection des quartiers pavillonnaires était bien une blague.
Les Aulnaysiens n’auraient-ils toujours pas compris qu’entre les discours prônés par le maire sortant et ce qu’il fait réellement lorsqu’il détient TOUS les pouvoirs, démontrent qu’il ne fait absolument pas ce qu’il dit et qu’en cela il est un manipulateur et un menteur invétéré ? Avec quel argent d’ailleurs finance-t-il toute cette pluie de tracts que nous recevons dans nos boîtes aux lettres ? Est-ce-celui de nos impôts ?
L’homme prétend défendre les valeurs de la gauche, mais les électeurs de gauche eux même désapprouvent ses méthodes autoritaires de gouvernance qui s’apparentent davantage à celles d’une dictature où la censure musèle activement tous ses détracteurs, plutôt qu’à une véritable démocratie où toutes les sensibilités politiques peuvent exprimer leur point de vue, et faire avancer le débat citoyen !
Personnellement je me sens trahie par Gérard Ségura pour qui j’ai honte aujourd’hui d’avoir voté en 2008, parce qu’il prétendait défendre les valeurs de fraternité, de solidarité et d’humanisme, très chers à ma déontologie politique. Ces valeurs là, je les reconnais davantage aujourd’hui parmi tous ses opposants au sein du conseil municipal, dont la présence et le combat ont au moins eu le mérite de mettre au grand jour l’imposture d’un homme qui, dans l’ombre et le secret, fait l’opposé de ce qu’il affiche et prétend.
Il était supposé servir en priorité ses administrés, mais en vérité il n’a servi que ses propres intérêts politiques, plaçant ça et là dans les services de la ville, ses propres pions et connaissances rémunérés par nos impôts, et obéissant aveuglément à ses prérogatives, parfois contraires aux intérêts des administrés eux-même, en remerciement des postes obtenus et des salaires généreusement distribués, défiant ainsi avec arrogance l’incompréhension et l’indignation légitime des agents en place ! Ce n’est pas de cette gestion clientéliste et corrompue que les citoyens Aulnaysiens veulent pour leur ville ! Nous exigeons du respect, de la probité, de la transparence, de la loyauté, de l’impartialité, de la neutralité et une déontologie irréprochable ! Toutes ces qualités de service aux Aulnaysiens n’ont jamais été mises en oeuvre par l’équipe municipale sortante !
La citoyenne lambda que je suis, méprisée par le Maire comme je suppose hélas bien d’autres concitoyens, ne lui renouvellera pas sa confiance dimanche prochain, et j’ose espérer que mes concitoyens de gauche auront enfin ouvert les yeux sur les agissements pervers d’un Maire qui fait honte à la gauche républicaine, et qui nous a tous copieusement bien berné !
Il faudrait comparer la forme physique du Maire sortant avant sa prise de pouvoir et aujourd’hui, il est en grossesse permanente donc il n’est pas près de céder la place, il se voit déjà gagner. Mais le plus « rigolo », les immeubles qui poussent comme des champignons sur la collectivité n’est dû qu’a une partie infime de son appétit et sont destinés à son futur électorat. Au maire sortant faite plaisir aux citoyens d’Aulnay sous bois que vous méprisez tant. SORTEZ !!!
Il n’y a pas lieu de faire de chaque permis de construire un fait politique. Il existe un PLU hérité de l’ancienne équipe Gaudron et à priori, ce PLU a été légalement adopté.
Pour chaque zone, sont fixées des règles précises quant aux possibilités d’urbanisation (hauteur, emprise au sol, surface constructible, retrait vis à vis des constructions avoisinantes,..
Rien ne laisse présager sauf recours administratif motivé et validé par la justice que ce permis ne soit pas légal.
Il y a des règles et des lois y compris en urbanisme qui doivent être respectées. Ou sinon, on décrète la loi de la jungle…
Monsieur Comparot, vous avez raison, le PLU actuel est celui approuvé par la précédente équipe municipale édulcoré par des modifications pour permettre la délivrance ponctuelle de permis de construire . Et c’est bien là que le bât blesse, la révision de ce PLU tant réclamée par les différentes associations n’a pas vu le jour et que votre équipe propose de faire éventuellement si par malheur elle est élue le 30 mars prochain.
Par ailleurs, ce projet a été présenté en conseil de quartier par l’architecte, auteur du projet. Différentes observations avaient alors été émises dont notamment celle de revoir le choix des coloris fixé pour la façade cote Charcot ; rouge et blanc style Légo. La prévision de deux niveaux de sous-sol, alors que le quartier connait des problèmes hydrologiques, avait été également évoquée.
Aucune remarque n’a a priori sensibilisé notre maire alors qu’il pouvait légalement refusé ce permis de construire en application de l’article R 111-21 du Code de l’urbanisme.
De plus, à la lecture de cet arrêté, il apparait que les démolitions des bâtiments existants ne sont pas évoquées : comment le constructeur va t-il pouvoir édifier ces deux bâtiments sans démolir ces bâtiments.
Enfin, des ouvertures apparaissent sur le mur pignon du bâtiment existant à l’angle des deux rues : en cas de servitudes dites acquisitives, la condamnation des ces baies seraient donc illicites.
A part ça, tout est légal……encore heureux!!!!
Personne ne conteste la légalité de tous ces permis … Sauf que le PLU s’est organisé sans concertation avec les habitants et que ces derniers se sont trouvés pris de cours et ahuris quand ce PLU s’est traduit par des constructions aussi massives que laides esthétiquement parlant, massacrant l’habitat pavillonnaire et les jardins qui donnaient tout leur charme et leur qualité de vie à notre ville, sans retrait végétalisé de la chaussée, tel qu’imposé aux constructions de pavillon, avec des balcons débordant sur la voie publique déjà si étroite et très » claustrauphobant » ! Le maire sortant s’est complaisamment engouffré dans ce PLU en l’exploitant dans ses aspects les plus retords et pervers… Cela n’a jamais été ce que voulaient les Aulnaysiens, mais malheureusement le mal est irrémédiablement fait et c’est Gérard Segura qui l’a mis en oeuvre ! Les Aulnaysiens vivent tous cela comme une haute trahison !
Cher Laurent,
Il faut arrêter de rejeter la faute sur la précédente municipalité. Cela fait 6 ans que Gérard Segura aurait du agir en lançant une révision du PLU. Il en avait les pouvoirs, les moyens mais au lieu de cela, il a choisi délibérément de la remettre toujours à plus tard, préférant des modifications au gré de ses besoins. Et pourtant cette révision du PLU était un point central de son programme de 2008.
Alors qu’il arrête de prendre les aulnaysiens pour des imbéciles avec ses promesses qu’il ne tiendra pas et ses tracts sur la sauvegarde des zones pavillonnaires, il nous a fait le même coup en 2008. On y a cru, on n’y croit plus !
Bravo à Bessaguet et à Evelyne pour rétablir les vérités qui font la lumière sur les responsabilités manifestes de Gérard Segura, dans l’application vicieuse d’un PLU qui n’ a pas su anticiper dans sa rédaction et ses règles, le mauvais usage qui pouvait en être fait, et qui s’est finalement retourné contre les souhaits de ses habitants par l’interprétation opportuniste qu’en a fait le maire sortant.