Limsa Daulnay : Pensées #EnAttendantLesFleurs, nouveau tube RAP made in Aulnay-sous-Bois
Publié le 14 novembre 2014, dans Culture, Musique, Vidéos, et tagué Aulnay, Aulnay-sous-Bois, Limsa Daulnay. Bookmarquez ce permalien. 6 Commentaires.
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Merci au blog Aulnaycap de nous initier à la culture Rap qui transmet la souffrance de nombreux jeunes des banlieues et qui cherchent à se faire connaître.
J’avoue ne pas saisir le dixième des paroles et je ne suis pas la seule.
J’avoue qu’en cette période je préférerai entendre
« les feuilles mortes se ramassent à la pelle
« les souvenirs et les regrets aussi »
paroles de Jacques Prévert
Bien cordialement
« La souffrance de nombreux jeunes des banlieues ».
Je suis plus que perplexe, surtout lorsque cette « souffrance » se traduit, dans leurs textes, par des « nique la France » etc ou des « wesh qu’elle est bonne (cette fille) »; le tout filmé avec d’autres jeunes, tous issus de l’immigration, brandissant des armes/répliques et s’affichant au volant de bolides de luxe et/ou faisant du rodéo sur la voie publique.
Et c’est à peine une caricature que je dresse.
Extrait de ce que j’ai pu déchiffrer dans cette dernière vidéo publiée :
« Si elle a le feu à la chatte je suis obligé de l’éteindre »
« Je préfère un mariage triste qu’un mariage gai (gay ?…) »
Sans oublier l’incohérence à traiter de « putes » les filles qui s’habillent en marques, tout en rêvant de « meufs matelassées » sur lesquelles ce rappeur rêve de s’allonger.
Vachement souffreteux, ce « Charles Baudelaire rebeu ».
En juin dernier, l’INSEE avait publié une carte de la pauvreté (France métropolitaine).
On y trouve de nombreuses communes de la France dite profonde, celle qui n’intéresse guère les pouvoirs publics.
http://www.lepoint.fr/societe/nouvelle-carte-de-la-pauvrete-en-france-plus-de-communes-en-zone-rurale-17-06-2014-1836884_23.php
A force de focaliser sur ces pseudo-victimes des banlieues, on en vient à oublier que la pauvreté existe aussi ailleurs en France, et qu’elle n’est pas synonyme de violences crapuleuses, de haine anti-France.
Tous les deux jours, un agriculteur se suicide. Je doute qu’en banlieue soit observé un suicide de rappeur – censé exprimer sa souffrance par le rap – tous les deux jours.
Merci Romuald Weymann d’avoir mis ce lien en ligne.qui pourra éclairer certains lecteurs.
j’aurais préféré et de beaucoup que vous incitiez les jeunes à de la musique classique par des extraits des élèves de l’école de musique plutôt que les paroles grossières qui dénigrent la France et qui n’ont aucun respect pour le sexe féminin mais évidemment ils sont en majorité alors autant leur laisser la primeur, ils ont tous les droits; je vais finir par ne plus lire votre bloc
rappeur des Emmaus
Bonjour Madame Pourcin,
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