Toute le monde sait que sur le centre ville d’Aulnay-sous-Bois (et même plus loin), les place de stationnement, il faut payer ! Par conséquent, on prépare nos piécettes pour mettre dans les bornes solaires 10, 20 ou 50 centimes voire 1 ou 2 euros. Mais c’est une véritable gageure d’être dans les règles dans cette ville !

• La première borne du secteur Hôpital refuse nos piécette, donc on regarde si on voit une autre borne tout en surveillant l’arrivée éventuelle d’une contractuelle
•  Autre borne : la machine refuse nos piécette. Là on se pose la question sur la validité de nos piécettes. On en cherche d’autres tout en surveillant toujours si l’on ne voit pas les contractuelles
•  Cette machine refuse aussi les nouvelles piécettes. La tension monte et on est plusieurs a courir de borne en borne. On s’agglutine autour des bornes solaires mais comme il n’y a pas de soleil depuis un certain temps,  on se demande si cela ne vient pas de cela.  On continue à chercher une borne
•  Nouvelle borne et toujours le même problème. Des personnes en ont marre et préfèrent partir.  D’autres continuent tout en espérant de ne pas se prendre un petit papillon vert sur leur joli part-brise (Si c’est électronique, on le saura que quelque jours plus tard),
• Dernière borne : miracle, elle prend les piécettes à une personne qui dit : « enfin ! ».  Arrive notre tour et là patatras ! : cette belle borne refuse nos belles  piécettes.

Pas possible ! Cela fait 30 minutes que l’on court,  les gens nous regardent et doivent se demander : « Qu’est-ce que qu’ils font à tourner autour de ces bornes ? ». Je décide de retourner voir si je n’ai pas reçu de PV. Ouf, rien…

Je retourne donc à la premier borne et là miracle ! :  elle accepte mes piécettes qui sont toutes chaudes (30 minutes dans mes mains). J’arrive à l’hôpital mais pas de chance :  j’ai raté mon rendez-vous.

Que se passe t-il dans ces fameuses bornes ? Entretien pas fait ou le manque de soleil ? Ou est-ce fait exprès pour que l’on aille au parking de la gare, où c’est plus cher ? Je n’ose l’imaginer…

Source : contribution externe à Aulnaycap