Des points de deal rapportent jusqu’à 25.000 euros par jour en Seine-Saint-Denis
C’est ce qu’annonce La Dépêche : capable de se réorganiser après une descente de police, les réseaux parviennent à écouler une marchandise nombreuse dans les cités et alentours. Mais comme le dit l’adage : s’il n’y avait pas de consommateur, il n’y aurait pas de trafic…
Publié le 18 février 2016, dans Faits divers, et tagué Cannabis, Drogue, Seine-Saint-Denis, Stupéfiant, Trafic. Bookmarquez ce permalien. 1 Commentaire.
En passant tout à l’heure vers 18h15 en bus 615 près de la « résidence » HLM Jupiter juste à côté de la bibliothèque Elsa Triolet, j’ai aperçu plus d’une dizaine de jeunes squattant l’une des entrées de cette résidence, dont les accès sont étroitement surveillés par des guetteurs les mêmes depuis des années, dès le début d’après-midi jusqu’à tard le soir, pratiquement toute l’année, par tous temps.
Ca squatte, ça crache par terre, ça jette ses déchets au sol. Déjà qu’avec les vendeurs à la sauvette installés aux abords du foyer de travailleurs immigrés, c’est plus que sale, je plains les riverains.
Ne pas laisser s’installer un seul point de trafic et le dénoncer aux forces de l’ordre dès le début, sinon, c’est ardu pour le démanteler.
Mais, effectivement, point de toxicomanes, point de trafiquants.