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Comment être passé à côté de cet excellent article du PARISIEN du 4 mai 2023 écrit par Laurence Voyer

 « Bonjour,

Il suffit de traverser une ville de banlieue pour se rendre compte du problème. Au beau milieu d’un alignement de maisons particulières, on voit surgir un petit immeuble flambant neuf dont les balcons offrent une vue imprenable sur le jardin du voisin qui, lui, a construit sa maison au temps où le quartier était encore pavillonnaire. Manque d’intimité, perte de luminosité, densification de la circulation, stationnement insuffisant… la liste des inconvénients est longue comme un jour sans pain et avec vis-à-vis, sans compter le préjudice des mois de travaux et du bruit qui va avec.
Pas besoin d’être un brillant urbaniste pour comprendre que les deux univers vont avoir du mal à cohabiter. C’est pourtant le résultat de la multiplication de ces programmes immobiliers « sauvages », qui fleurissent sans réflexion ni concertation, si ce n’est sur le montant du chèque donné aux propriétaires pour qu’ils vendent une « dent creuse » (un terrain vide au milieu d’autres terrains construits) ou même leur maison (elle sera démolie pour faire place nette).

Les outils juridiques existent pour fixer des règles Ensuite, si le plan local d’urbanisme autorise la construction de bâtiments de deux ou trois étages, le tour est joué. Pour finir, les villes se retrouvent avec des ensembles sans harmonie, pour ne pas dire affreux, sur les bras. Est-ce cela la cité de demain ? Au contraire, dans les colloques, architectes et urbanistes la dessinent plus aérée, plus verte, plus modulable et même plus apaisée. Pas construite au coup par coup, en fonction des seules opportunités foncières. Parce que les terrains disponibles sont rares, ils doivent faire l’objet de toutes les attentions. Les outils juridiques existent pour fixer des règles. Certaines municipalités élaborent des chartes de construction durable avec les promoteurs et les habitants pour obtenir un consensus sur le développement urbain. La population augmente, le besoin de logements se fait toujours plus pressant et il n’est pas question de tout figer. Alors construire oui, mais pas n’importe comment. »

*Merci à notre lecteur aulnaysien de nous rappeler par l’intermédiaire du Parisien  une telle vérité considérant bien entendu que toute ressemblance avec une réalité serait très fortuite puisque l’article évoque de petits immeubles de 3 étages, inconnu à …! 

Léa pourra bénéficier du congé menstruel en Seine-Saint-Denis

C’est un soulagement pour Léa (*), après l’annonce de Stéphane Troussel, président du conseil départemental, de la mise en place de l’expérimentation du congé menstruel pour les agentes du conseil départemental de la Seine-Saint-Denis souffrant de règles douloureuses ou de toute autre maladie gynécologique. Employée dans cette institution depuis trois ans, la jeune femme de 31 ans souffre d’adénomyose, qui correspond à l’endométriose interne à l’utérus. 

Source et article complet : Actu.fr

Des policiers tirent sur les fuyards qui les menaçaient entre Villepinte et Gonesse

Illustration

Un simple contrôle a mal tourné ce samedi du côté de Villepinte (Seine-Saint-Denis). Il est environ 7 heures quand le conducteur d’une voiture, où se trouvent trois autres passagers, refuse de s’arrêter lorsque des policiers le lui demandent. Après ce refus d’obtempérer, une course-poursuite s’engage, en direction de l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, entre les fuyards et l’équipage de police.

Source et article complet : Le Parisien

Une marche des fiertés organisée ce samedi en Seine-Saint-Denis

Ce samedi 3 juin se tient la «Pride des Banlieues». Cette manifestation, organisée en Seine-Saint-Denis, a pour but de visibiliser les personnes LGBT+ vivant au sein des quartiers populaires tout en voulant revendiquer leurs droits.

Une marche des fiertés de l’autre côté du périphérique. La Pride des Banlieues s’élancera ce samedi 3 juin depuis Saint-Denis, en Seine-Saint-Denis.

L’événement marque le coup d’envoi du «mois des fiertés», célébré en juin de chaque année, afin de rappeler le combat des droits des personnes LGBT+. 

Source et article complet : CNEWS

Vers un chèque alimentaire durable en Seine-Saint-Denis

Le président socialiste du conseil départemental de la Seine-Saint-Denis annonce dans le JDD son intention de lancer l’expérimentation d’une « une aide financière de 50 euros par personne et par mois », avec Action contre la faim. Objectif : lutter contre la « malbouffe » et promouvoir une « écologie sociale ». Il plaide aussi pour la création d’une « Sécurité sociale de l’alimentation ».

Source et article complet : Le JDD

Chez les écolos, la désignation de la sœur de François de Rugy comme tête de liste sénatoriales dans le 93 crée du grabuge

Chez Europe Ecologie Les Verts (EELV), on est souvent bien prompt à critiquer le mode de fonctionnement des autres partis. Népotisme, opacité, manque de consultation chez les militants… Finalement, les caciques du parti EELV devront désormais balayer devant leur porte. La désignation d’Anne de Rugy, la soeur du célèbre ministre François de Rugy (affaire des homards), comme tête de liste pour les sénatoriales en Seine-Saint-Denis crée du désordre.

Et si finalement, l’herbe n’était pas moins verte ailleurs ?

Un voleur présumé sauvé des eaux du canal de l’Ourcq par la police à Noisy-le-Sec

Accusé d’avoir volé un sac, un homme s’est jeté dans les eaux glaciales du canal de l’Ourcq pour échapper aux forces de l’ordre. Il en serait sans doute mort si un gardien de la paix ne l’avait pas repêché avant de refaire partir son cœur.

Tout commence vers 23 heures, rue de Paris, quand deux hommes appellent la police. Ils racontent qu’ils viennent de prendre en chasse un malfrat qui vient de dérober la sacoche de l’un d’eux. Une patrouille arrive rapidement et rejoint le trio qui court près du canal. Le suspect voit arriver les policiers et se jette dans l’eau glaciale. « Après avoir nagé jusqu’au milieu du canal, il a décidé de faire demi-tour vers la berge », raconte une source proche de l’affaire.

Source et article complet : Le Parisien

Enquête sur les discriminations en Seine-Saint-Denis, comment y participer ?

« Pour vous, qu’est-ce qu’une discrimination ? » C’est par ces mots que débute l‘enquête lancée par la préfecture de Seine-Saint-Denis. La population est invitée à remplir un questionnaire anonyme en ligne pour « mieux connaître l’ampleur des discriminations » auxquelles les habitants du département sont confrontés. Il sera possible d’y répondre jusqu’au lundi 10 juillet 2023.

Pour participer, cliquer ici.

Source et article complet : Actu.fr

La CAF et les maires de Seine-Saint-Denis associés pour un service « cousu main » pour la etite enfance et le handicap

Les élus de 18 communes du département ont conclu, le 19 avril, une convention territoriale globale avec la Caisse d’allocations familiales. Objectif : mieux répondre à certains besoins urgents, comme la création de places d’accueil en crèche.

Face à l’éloignement toujours plus grand des services publics, les élus de Seine-Saint-Denis y voient le moyen de retrouver une proximité avec les habitants. Dix-huit conventions territoriales globales (CTG) ont vu le jour en Seine-Saint-Denis en 2022, portant le nombre de communes du département couvertes par ce dispositif à 34. Le 19 avril, les maires et représentants de ces villes se sont réunis à Gagny pour signer officiellement ces accords conclus avec la Caisse d’allocations familiales (CAF).

Source et article complet : Le Parisien

Jusqu’à deux ans de prison requis contre des policiers de la CSI 93 pour faux procès verbal et violence

Premier sujet de divergence : l’ambiance. Le 31 mai 2019, un équipage de la CSI 93 apparaît dans la rue Claude Monet à Saint-Ouen. Ils viennent de pourchasser des dealeurs dans la cité voisine. À la barre, l’un des policiers évoque une forte tension avec « une quinzaine d’individus vociférant ». Les images de la vidéosurveillance d’une épicerie sont éloquentes par leur opposition à ces déclarations : on aperçoit une rue calme avec quelques passants. La seule tension émane d’un élastique utilisé par un riverain pour faire du sport.

Contrôle et sachet plastique 

Arrive ensuite le premier contrôle. Un policier tente de palper un homme situé devant son salon de coiffure. Celui-ci refuse, car il n’y a pas de motif valable. Le ton monte, et le brigadier-chef arrive, puis jette aux pieds du gérant un mystérieux sac plastique. Dans sa version, ce dernier voit des barrettes de shit et comprend : on essaie de le faire arrêter pour détention de stupéfiants. 

Source et article complet : Actu.fr

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