Les policiers municipaux veulent être armés pour se protéger, qui souhaiterait les désarmer ?
Depuis ses débuts à la police municipale d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), en 1996, le visage de la police municipale s’est profondément modifié. « On est toujours sur le qui-vive. A n’importe quel moment, on peut être victime d’une agression ou devoir prêter main-forte à une victime. Il faut garder ça en tête », affirme Antéro Ferreira, aujourd’hui chef de la police municipale de Joinville-le-Pont (Val-de-Marne).
Au cours de sa carrière, il a notamment formé Aurélie Fouquet, victime du braqueur multirécidiviste Redoine Faïd en 2010, ou encore Clarissa Jean-Philippe, abattue par le terroriste Amedy Coulibaly en 2015. « Aujourd’hui, la majorité des policiers municipaux sont armés. C’est souvent une condition qu’ils posent à leur recrutement », souligne le fonctionnaire.
Source et article complet : Le Parisien
Publié le 10 février 2020, dans Sécurité, et tagué Armement, Police Municipale, Recrutement. Bookmarquez ce permalien. Poster un commentaire.
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