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Grand succès de l’avant-première de Chimère de Steve Tientcheu à Aulnay-sous-Bois

Le Maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza a eu un grand plaisir d’assister à l’avant-première vendredi soir du court-métrage de Steve Tientcheu, « La Chimère », tourné à Aulnay-sous-Bois.

Il a notamment apprécié la participation de jeunes talents aulnaysiens. Une belle première expérience de réalisateur réussie pour l’acteur vedette !

Steve Tientcheu, le nouveau Gérard Depardieu d’Aulnay-sous-Bois ?

@Alexandre Arlot

En astronomie, on appelle ça une révolution. Partir d’un point, se rendre jusqu’à son opposé avant de regagner son lieu de départ. Pour Steve Tientcheu, le voyage a consisté à quitter la cité des 3000 pour mieux y revenir, le temps de trouver sa voie à Paris. Tels sont les propos que l’on peut trouver dans Le Parisien à 24h de la présentation de son court-métrage à Aulnay-sous-Bois au cinéma Jacques Prévert

Des 3000 au cours Simon, Steve Tientcheu a franchi tous les obstacles et devient un acteur incontournable du cinéma Français. Et si Steve Tientcheu devenait notre nouveau Gérard Depardieu ?

Projection ce vendredi du court-métrage « La Chimère » de Steve Tientcheu à Aulnay-sous-Bois

Ce vendredi 28 janvier 2022 à 20h30, le cinéma Jacques Prévert accueillera une projection du premier court-métrage de Steve Tientcheu intitulé « La Chimère » et tourné à Aulnay-sous-Bois en 2021.

Ce court-métrage sera suivi d’une rencontre avec l’équipe du film.

A Aulnay-sous-Bois, les élèves de l’école de cinéma de Steve Tientcheu entrent en scène

@Alexandre Arlot

La première promotion de l’école, fondée par l’acteur remarqué dans «les Misérables» et le scénariste Tarik Laghdiri, a débuté ses cours et ses répétitions cette semaine. Ce travail, qui débouchera sur un court-métrage, offre une première expérience à des acteurs pour la plupart débutants.

Si j’avais pu, j’aurais appris à jouer avant ! » s’exclame Fatoumata Magassa. À 34 ans, cette Aulnaysienne n’avait jamais osé sauter le pas. À Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), dans une salle de la ferme du Vieux Pays, la première promotion de l’École de cinéma à ciel ouvert prend ses marques. L’occasion rêvée pour la trentenaire et sa dizaine d’acolytes de faire leurs premiers pas devant la caméra.

Source et article complet : Le Parisien

L’acteur des «Misérables» Steve Tientcheu lance une école de cinéma ouverte aux habitants d’Aulnay-sous-Bois

@Alexandre Arlot

A l’instar de l’école Kourtrajmé à Montfermeil, Steve Tientcheu, qui s’est illustré dans le film de Ladj Ly primé à Cannes, et le scénariste et réalisateur Tarik Laghdiri souhaitent former des Aulnaysiens aux métiers du septième art.

Adepte des métaphores et des formules ciselées, Tarik Laghdiri espère « semer des graines dans la tête des habitants » de sa ville, Aulnay-sous-Bois (Seine-et-Marne). Depuis un an et des confinements, dont il a raconté les difficultés à nos lecteurs à travers un journal de bord, ce cinéaste amateur fourmille de projets. Parmi lesquels figure une école de cinéma, dont la concrétisation est attendue cet été.

La graine a d’abord germé dans l’esprit du comédien Steve Tientcheu, qui s’est notamment distingué dans le rôle du maire dans le film de Ladj Ly « Les Misérables ». Tout comme le réalisateur multirécompensé a fondé l’école Kourtrajmé à Montfermeil, l’acteur aulnaysien de 38 ans souhaite faire du septième art un atout pour sa commune.

« L’idée m’est venue après la montée des marches à Cannes (NDLR : lors du festival en mai 2019, « Les Misérables » a remporté le prix du jury), rembobine Steve Tientcheu. Je me suis dit que c’était le moment de rentrer à la maison et de rendre à ma ville, jeune et dynamique, ce que j’avais appris. »

Premiers recrutements d’ici l’été

Le tandem est complémentaire. L’allure frêle et juvénile de Tarik, 36 ans, contraste avec la carrure et la voix imposantes de son aîné. « Lui apporte sa sagesse et son calme, moi ma mentalité de rhinocéros », résume Steve d’une formule qui claque.

Leur projet — « L’école de cinéma à ciel ouvert » — consiste à créer un parcours de formation professionnalisant, pour initier les habitants du secteur aux métiers du cinéma. Son rythme ne sera pas celui d’une école classique. Chaque session sera centrée « sur un projet artistique et ses besoins », précise Tarik.

Source et article complet : Le Parisien