Faire rentrer les scientifiques dans la discussion (comme JLC) nécessite d’intégrer la démarche scientifique.

La première comparaison à évaluer à Aulnay est celle pour une majorité d’enfants en 2015 : 4.5 jours vs 5,5 jours avec six réveils très matinaux contraints parce que les deux parents travaillent du lundi au vendredi. C’est le cas majoritaire toute profession confondue. Effectivement les couples travaillant le samedi toute la journée sont un autre cas particulier non pris en compte actuellement.

La comparaison à laquelle ont répondu les experts cités par JLC : 4 jours vs 4,5 jours avec le 0,5 positionné au mercredi. Regardez ces experts qui ont rendu leurs conclusions avec le positionnement sur le mercredi : (video du haut) http://www.education.gouv.fr/cid73191/rentree-2013-l-avis-des-experts-sur-les-nouveaux-rythmes-scolaires.html

Avec le samedi matin, les parents qui travaillent voient leurs enfants à l’école publique perdre leur accessibilité aux activités extra scolaires, lesquelles sont mises en avant par ces mêmes experts. « C’est une réforme essentielle d’égalité des chances et d’accès à la culture ou au plaisir » (Marcel Ruffo)

Utiliser des résultats scientifiques dans le mauvais cadre d’analyse est la méthode de votre Maire. C’est également celle du savant et la puce : Un chercheur dit saute à une puce. Elle saute. Il note le résultat. Il arrache une patte à la puce et lui dit de sauter. Elle saute. Il note. Ainsi de suite jusqu’à la dernière patte et lui dit de sauter. Elle ne saute pas. Il note : lorsqu’on arrache toutes les pattes d’une puce, elle devient sourde !

Petit à petit mais non moins surement, la belle image policée de Bruno Beschizza qui venait manger dans la main des Aulnaysiens sur les marchés et distribuer force sourires dans les réunions d’appartement auprès des vénérables papys et mamies de notre ville, est en train de perdre inexorablement de sa superbe … Le masque de celui qui prétend vouloir être le maire de tous les Aulnaysiens, même de ceux qui n’ont pas donné leur aval à son programme, est en train de tomber et de révéler une dictature sournoise contre laquelle les citoyens ont raison de s’insurger !

Les langues se délient, on découvre ça et là des dysfonctionnements dans la gestion des ressources humaines, des personnels sortis du placard quand d’autres y sont maintenus sans aucune justification, des cadres de la ville mécontents d’être placés devant des faits accomplis sur lesquels ils n’ont jamais été ni consultés ni avertis, les citoyens de la société civile qui se retrouvent malgré eux victimes de décisions unilatérales qui n’ont fait l’objet d’aucune concertation avec les administrés auxquels elles s’imposent, les communiqués de syndicats des communaux de la ville dénonçant la souffrance au travail et des cas de harcèlement moral, les non conversions de contrats précaires des animateurs de la ville en contrat à durée indéterminée au delà de 6 ans d’exercice, le recours à des associations de bénévoles plutôt qu’à des professionnels pour assurer les activités périscolaires, des audiences sollicitées de très longue date et toujours pas honorées, ( liste non exhaustive ) alimentent une grogne grandissante et mettent en évidence une mascarade de démocratie que l’autoritarisme du maire ne parviendra pas à endiguer, bien au contraire !

Bruno Beschizza a été élu grâce au camouflet que les administrés de la ville ont clairement infligé à Gérard Segura qui les avaient trompés et ouvertement méprisés durant les 6 années de son trop long mandat. Mais si le nouveau maire se met lui aussi à ignorer les mécontentements et la parole de ses administrés, il pourrait bien subir le même sort que son prédécesseur …

La politique d’aujourd’hui ne peut plus et ne doit plus se concevoir comme une confiscation des pouvoirs de chaque membre du peuple, et les élus qui s’accrochent désespérément à des prérogatives d’un autre siècle, prennent le risque de s’attirer l’ire et la vindicte populaire pour le déni de démocratie que pratique allègrement la nouvelle équipe municipale depuis qu’elle est en place…

@Karlier @Catherine ……Un peu de légèreté:

http://www.bide-et-musique.com/song/16708.html

Eh oui, le jeudi était le jour de congé d’autrefois après 3 jours d’affilée sur les bancs de l’école…
Merci Jean-Louis pour cette chanson vintage. Personne n’a écouté  » Denise à Venise » ? Un lien que j’avais donné pour apaiser les débats quelque peu houleux ?

@Madame Medioni Petite prière du soir
« Mon Dieu, mon Dieu faites qu’il ne vous lise pas….  » En fait si, j’en ai peur…

Çà ressemble à de l’acharnement… N’oubliez pas votre courrier de l’avocate !
Quand au webmaster de ce site, il pourrait être tenu pour responsable de publications de propos non conformes au respect de la fonction de maire….
Je vous le dis comme ça, certains ont pris du ferme pour outrage ou diffamation

A l’encontre d’un maire en exercice, je crois que le prix à payer serait onéreux
Donc pour la dernière fois, je vous conseille de vous calmer, et de passer à autre chose, s’il en est encore temps. Merci de votre attention

@MC alias Michel Cadart

Il n’y a ni outrage ni diffamation lorsque les reproches faits sont fondés sur des faits avérés. Les citoyens disposent d’un droit d’expression que le maire n’a pas le pouvoir de supprimer. Je ne suis manifestement pas la seule à être déçue des promesses non tenues du Maire et de ses évictions lorsqu’on souhaite le rencontrer pour des problèmes graves auxquels la collectivité devra faire face car elle en est responsable !

Le maire et les adjoints sont des élus, et à ce titre sont redevables de leur gestion à tous les administrés qui le leur demandent, et ils n’ont ni le droit ni le pouvoir de se défiler devant leurs obligations.

Il n’y a jamais eu aucun manque de respect envers le maire de ma part. En revanche Bruno Beschizza n’a aucun scrupules à ne pas respecter sa parole, ou se permet d’ignorer les administrés qui lui soumettent leurs difficultés ou leurs désaccords. Être maire ne donne pas tous les droits, et surtout pas celui de mépriser les citoyens qui se sentent concernés par ce qui se passe dans leur ville, et dont la parole mérite autant de respect et de considération que la sienne !

Je n’ai pas lieu non plus de me calmer puisque je ne suis pas énervée, mais par contre en croisade contre tous les dysfonctionnements qui font mauvaise réputation à notre service public, et contre les abus de pouvoir, les menaces, les pressions qui visent à m’empêcher de dénoncer la violation des lois et des statuts de la fonction publique territoriale par des élus et quelques fonctionnaires qui ont dérogé à leurs obligations fonctionnelles et déontologiques.

Monsieur le maire avait le choix de me soutenir dans cette juste croisade puisqu’elle défend l’honneur et les valeurs de nos institutions et de notre république Une et indivisible, mais jusqu’à présent il a plutôt clairement démontré qu’il préférait fermer les yeux sur les tractations illégales de son prédécesseur ! Ne rien dire et laisser faire, ne pas rétablir le respect des lois violées et des droits bafoués, c’est participer à ce système mafieux que je dénonce publiquement parce que je refuse de donner par mon silence ou mon indifférence, ma caution à ce que je réprouve et qui est condamné par les lois !

@ du Dandy

Je ne suis pas un « paquet » que l’on abandonne à qui que ce soit, mais une citoyenne responsable, libre penseur, non inféodée à aucun parti, à aucune idéologie qui irait à l’encontre des droits de l’homme et du citoyen ou qui compromettrait notre démocratie.

Je n’ai donc aucune raison  » d’assener quelques coups dont j’aurai le secret  » à qui que ce soit, et je n’ai aucune animosité particulière envers quiconque se comporte de façon à ne jamais nuire à Autrui. En revanche, je ne fais assurément pas parti de la majorité silencieuse, indifférente, individualiste ou lâche, qui ferme délibérément les yeux sur des actes condamnables portant atteinte aux droits ou à la réputation d’autrui !

Ceux qui par couardise, intérêt personnel, ambition déplacée, sont témoins volontaires ou non d’abus de pouvoir, taisent des pratiques interdites ou mafieuses, assistent impassibles à actes délictueux qui portent préjudice à des tiers, ou ont connaissance de tractations douteuses au sein de nos services publics ou dans la gestion administrative de nos élus, se rendent coupables de non dénonciations de délits, et complices de toutes les actions répréhensibles non révélées !

Pour ma part j’ai choisi mon camp depuis très jeune, et j’ai toujours refusé d’appartenir à cette catégorie d’individus qui ne méritent même pas d’être considérés comme des êtres humains ! Leurs actes ou plutôt leur inaction devant les actes illégaux dont ils sont témoins, même s’ils n’y ont pas activement participé, contribue à faire de ce monde un enfer pour tous les autres, et la justice d’ailleurs les considère à juste titre comme des complices consentants !

Malheureusement victime d’une éviction totalement illégale et contraire aux statuts de la fonction publique territoriale, sur un poste déclaré vacant à Aulnay sous bois en juin 2013, ma très injuste infortune a eu au moins le mérite et l’avantage de me fait découvrir malgré moi le système très opaque des recrutements pratiqués par le maire Sortant Gérard Segura et par son adjointe en charge du personnel, Aline Benhamou !

Aujourd’hui et avec le recul je me dis que finalement cette éviction qui certes, pénalise très fortement ma famille et moi-même sans aucune justification ni droit, permet de mettre en lumière une gestion nébuleuse, profondément inéquitable, hautement clientéliste et contraire à toutes les lois de la république et aux statuts de notre service public, et qu’en cela, mon obstination à le dénoncer, à le révéler publiquement contraindra les pouvoirs publics et le gouvernement à s’emparer de ce grave problème posé par la violation des lois de la part d’élus supposés être délégataires de la puissance publique, qui décrédibilise nos institutions, notre justice et conforte la défiance des citoyens de la société civile vis à vis de leurs élus et parfois de certains fonctionnaires.

J’estime donc accomplir mon devoir de citoyenne en dénonçant les délits d’octroi d’avantages injustifiés à des personnes qui ne justifiaient d’aucune des qualités requises pour occuper les postes qui leur ont été confiés par la complaisance inacceptable de l’ancien maire, et de sa complice, Aline Benhamou ! Je ne suis donc pas la « folle » pour laquelle Michel Cadart a vainement tenté de me faire passer, et cela sous différents pseudos pour laisser croire que les diffamateurs étaient nombreux à le penser et à le dire alors qu’il était tout seul à proférer insultes et calomnies, mais un lanceur d’alerte, fonctionnaire territorial de son état, qui refuse que le discrédit soit jeté sur le service public pour juste quelques individus peu vertueux qui salissent l’honneur et la réputation de tous ces autres fonctionnaires extrêmement serviables qui vouent leur vie à leur mission de service public !

@ Léo

J’ai compté toute la mésaventure sur Aulnaycap, à la fois dans l’article du 4 Février 2014 que vous pourrez retrouver et lire, et dans tous les commentaires que je laisse, où j’indique les lois violées, le conflit d’intérêt révélé par la violation du secret professionnel et la divulgation d’informations confidentielles à des tiers non concernés par le recrutement, mais aussi à un tiers étranger à la ville, par un fonctionnaire en position d’autorité contre lequel j’ai porté plainte !

Les candidats qui briguaient un mandat à la mairie ont tous été avertis de ces irrégularités dans le recrutement commis sous le mandat de Segura, et parmi eux, quatre se trouvent aujourd’hui dans l’équipe municipale actuelle, et n’ont pas tenu leurs engagements de rouvrir ce dossier très litigieux et de me restaurer dans les droits qui étaient soutenus par les lois !

Le plus grave, c’est que Bruno Beschizza en lieu et place de l’aide qu’il m’a promise, lui et les 3 autres adjoints, me fait adresser une lettre d’avocat en me menaçant de poursuites pénales pour des délits fictifs, au lieu de me soutenir dans la restauration de mes droits et de réparer les préjudices que ma famille et moi-même avons subi du fait de cette éviction illégale, au profit d’une candidate qui ne disposait d’aucune des qualités requises pour obtenir l’embauche sur ce poste !

Cela se nomme un délit d’octroi d’avantages injustifiés, et n’a pu se réaliser que grâce à la collusion et à la complicité de plusieurs personnes, élus et fonctionnaires qui se sont d’ailleurs largement employés à me nuire par la diffamation et la calomnie, pour me contraindre au silence et espérer de moi que je lâche l’affaire….

Cependant n’ayant commis aucune faute, et soutenue par les lois dont je peux me prévaloir, je n’aurai de cesse de dénoncer cette injustice et ces magouilles scandaleuses qui salissent notre république et le service public.

J’espère vous avoir éclairé.

C’est forclos pour le tribunal administratif en effet, quoique… Entériner la violation des lois en raison d’un délais de forclusion est quelque peu fumeux, soulève l’indignation et alimente un sentiment d’injustice profond. la violation d’une loi restera toujours illégal, et la forclusion est contraire à toute équité.

Je n’ai jamais imputé à Bruno Beschizza les illégalités commises par son prédécesseur. Par contre il devrait tout mettre en oeuvre pour aider à la manifestation de la vérité et pour que ceux qui ont violés les lois ou dérogé à leurs obligations fonctionnelles et déontologiques soient inquiétés et condamnés.

Le préfet n’a pas exercé le contrôle de légalité qui lui incombait et donc engage de ce fait la responsabilité de l’état… Je n’ai jamais prononcé le qualificatif que vous écrivez dans votre commentaire à l’encontre de Gérard Ségura et Il est de notoriété publique que l’ancien maire pratiquait le clientélisme sans aucune retenue, puisque cela a été dénoncé par le personnel de la mairie, certains conseillers municipaux et par les syndicats.

Finalement pour les citoyens de la société civile, rien n’a changé à Aulnay sous bois. la couleur du parti représenté n’y change strictement rien parce qu’ils ont tous les mêmes méthodes : Simili de démocratie, mépris des citoyens, droit d’expression muselé, menaces pressions, absence d’écoute, abus de pouvoirs et de passe-droits, calomnies et diffamation des récalcitrants, favoritisme orienté et choisi pour les amis ou les proches etc…

Toutes ces pratiques scandaleuses gangrènent notre parodie de démocratie et soulève l’écoeurement de la population. L’abstention croissante dans notre pays est le symptôme manifeste de la défiance des citoyens envers leurs élus, et ce n’est certainement pas la proposition de Bartolone qui obligera chacun à aller voter qui pourra camoufler ce divorce consommé entre les politiques et le reste de la population !