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Le Maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza impressionné par les talents des meilleurs apprentis de France

Hier soir, Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois, a eu l’honneur d’assister à l’annonce des résultats du concours des Meilleurs Apprentis de France au niveau Départemental et Régional qui se déroulait à Aulnay-sous-Bois. Il a été très impressionné par les travaux minutieux de ces étudiants, nos artisans de demain.

Le Maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza s’active pour la construction d’un centre culturel à Drancy

Hier midi, Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois, s’est rendu dans la Ville de Drancy en tant que président du Territoire Paris Terre d’Envol pour la pose de la première pierre du futur espace culturel. Un espace qui profitera à tous les habitants du Territoire.

Le Maire d’Aulnay-sous-Bois apprécie l’Union Nationale des Parachustistes

Ce samedi, Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois, s’est rendu au barbecue de l’amitié de l’Union Nationale des Parachutistes.

Il dit bravo à cette association dont les locaux se situent à Aulnay-sous-bois, qui contribue au partage des valeurs de l’armée, qui honore la mémoire des anciens parachutistes militaires et soutien ceux engagés en opérations.

Le Maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza fête l’Aïd el Fitr à la grande mosquée

Pour la fin du Ramadan, Bruno Beschizza, Maire LR d’Aulnay-sous-Bois, a répondu présent pour célébrer l’Aid et Fitr. Une cérémonie importante dans l’Islam, le Maire étant un fervent soutien à la communauté musulmane de sa ville.

André Cuzon : « Commu » d’Aulnay-sous-Bois Pâques 2024

Je  commencerais par le capitaine de Gourgue (famille du Château d’Aulnay) héros de la lutte contre les colons espagnols en 1568 en s’alliant aux indiens en Floride. Cela se passait avant l’arrivée massive d’esclaves noirs. Cette lutte a  été écrite en alexandrins par un ami d’André Laude : André Mathieu («Nova Gallia »), présent à Aulnay lors de l’invitation de Serge Wellens à la bibliothèque Dumont en avril 2006.

On peut poursuivre par  l’attitude exemplaire du vicomte de Gourgue pendant l’occupation allemande en 1870-71 : ce qu’en écrit Jules Princet en fait foi.

Jules Princet est aussi un homme et un écrivain dévoué au petit peuple d’Aulnay paysan, ouvrier  et artisan.

C‘est le sens profond du « théâtre aux champs » : création collective  en plein air sans autre théâtre que les champs, avec les paysans comme acteurs et comme spectateurs.

Il est « rousseauiste ».

Mais il faut aussi comprendre le sens des productions de Jules Princet : « Lamennais » et « Bolivar ».

Lamennais fut prêtre, journaliste, écrivain mais fut à la fin un révolutionnaire (voir dans le Maitron), une référence du mouvement ouvrier et populaire du 19° siècle, un ami du peuple ; il a écrit le « livre du peuple ». Son enterrement fut à peine toléré par le pouvoir comme pour Navalny: à l’aube le peuple l’accompagna pour la fosse commune.

Bolivar dont la statue parisienne se trouve sur le cours de la Reine est le héros la lutte anticoloniale espagnole en Amérique du sud.

Jules Princet mort jeune a eu une fille Noëlle et un fils Maurice (journaliste, acteur  et écrivain) qui participa à l’histoire de « l’Orphéon » après guerre dans les années 50.

Ses filles Liliane (née en 1928) et Nicole (née en 1933) comme leur père  sont des acteurs importants de « l’Orphéon ». Ils participaient aux rencontres  poétiques à l’école du Bourg près de chez eux. Liliane qui a eu pour compagnon Nikos Athanassiou, écrit dans le « Monde diplomatique »,  «Esprit».

Elle a écrit  un petit planète sur la « Crète ». Elle traduit aussi les auteurs grecs  Níkos Kazantzákis  (Zorba ) …et fut l’institutrice au cinéma dans « Mouchette » de Bresson. Le fief de Nikos Athanassiou (« Zorba le grec » dans la restauration rue Grégoire de Tours à Paris) fut aussi un fief d’André Laude collègue du « Monde » .

Georges Sénéchal fut le pilier de l’édition des cahiers de « l’Orphéon ». Après des publications dans les « cahiers de Rochefort » et ailleurs  il fit une carrière de cinéaste. Ses films sont conservés dans le département du Puy-de-Dôme

Sa femme Nicole Sénéchal (nièce d’Alexandre Vialatte) fut témoin au mariage de Nicole Princet et de Pierre-Jean Ségalat l’un des poètes de « l’Orphéon ».

Roger-Jean Ségalat et Nicole Princet eurent deux enfants et se séparèrent au début des années 60 juste après la fin de « l’Orphéon ».

N’oublions pas Anne et Jacques Six bien sûr, photographes et entomologistes.

Ni tous les auteurs des « cahiers de l’Orphéon ».

Ni  Guy Robin, ni Gabriel Robin, ni Bernard Saintville, ni les Buclet, ni Françoise Lo (alias Sophie Makhno du nom de l’anarchiste ukrainien) autrice de chansons et secrétaire de Barbara, autrice du « Charles Dumont » de chez Seghers et d’un livre sur Barbara.

Ni Jean Rousselot le «  parrain » de « l’orphéon » et l’ami de Max Jacob, ni les acteurs-lecteurs de poèmes : Marie-Ange Dutheil, André Hersin, Marguerite Ambrosini ( la « Marguerite » de Wellens), Marcel Lupovici, ni les jeunes admiratrices : Françoise Carriol, Denise Cornefert…

Serge Wellens (né rue de « Deux Ponts » à Aulnay en 1927 habitait avant-guerre (et pendant ?) le café de ses parents au « soleil levant » à « la croix verte » café dit des « Pailleux » qui jouxtait la propriété des « Princet ».

Il acheta vers 1953 la librairie de l’avenue Dumont qui devint le siège des poètes  de l’Orphéon. Roger-Jean Ségalat devint instituteur à la rentrée 1956 à l’école du Bourg proche du domicile des Princet.

Les uns et les autres participèrent à l’aventure de la revue « Sources » du breton Gilles Fournel, plus tard à celle de la revue « IO » de Millas-Martin. André Laude plus jeune participa largement aux activités, aux publications des cahiers de « l’Orphéon ». Il prit  un envol parisien assez rapidement.

Son amitié avec Michel Donnet fils du directeur de l’école Paul Bert lui-même enseignant au Parc en fit un écrivain et un militant anarchiste.

Il écrit dans le « Libertaire » très jeune : le groupe d’Aulnay était important Mohamed SAIL (le premier anarchiste algérien) en faisait partie. Ils étaient plutôt « messalistes ». André Laude fut « porteur de valises » puis devint un « pied rouge » collaborateur du nouveau pouvoir algérien. Il fut aussi proche des artistes latinos ou caraïbéens comme Depestre, Bloncourt, Amado et Wilfredo Lam.

Il publia un article sur la « négritude » en 1966 dans la revue « Souffles » d’Abdellatif Laâbi. Au retour d’Algérie il publia en 1967 une série d’articles dans « Combat » sur son expérience.

Les références au peuple de Lamennais et aux peuples du monde de Bolivar furent aussi les leurs : André Laude était reçu à Botzulan (à Pont Aven) par Xavier Grall qui publiait son « Lamennais » en 1978. Le travail de mémoire et d’édition sur André Laude après son décès en 1995, a connu un moment important lors de l’invitation de Serge Wellens à Aulnay en avril  2006.

Tous les amis  de l’Orphéon étaient là, hormis Roger-Jean Ségalat, mais Nicole Princet était là. Il y avait aussi Annie Wellens, Marie-Pierre Aynes la première compagne d’André Laude et leur fils Vincent (comme Van Gogh) expert de Prévert. Il y avait aussi Jean Dubacq, José Millas-Martin « l’argentin », Hocine Bouakkaz (acteur de l’édition de la Différence et auteur d’une pièce jouée au « Point Virgule » pour le dixième anniversaire de la mort du poète : « comme un  début d’humanité ».

Aulnay prolongeât  cette amitié « orphéonesque » avec Laude et Wellens, lors de l’exposition rétrospective « Gabriel Robin » de 2008 en présence de sa fille Evelyne Millet et avec  l’hommage à Serge Wellens après son décès en 2010 en présence d’Anne-Marie Rousselot la fille de Jean Rousselot.

En 2008 les « amis d’André Laude » grâce à Abdellatif Laâbi éditaient l’œuvre poétique d’André Laude aux éditions de « La Différence » et aussi trois cahiers « André Laude » grâce à la municipalité de l’époque. Un site « André Laude » a été créé et mis-à-jour par Pierre Kobel.

Osvaldo Torres « l’ami chilien » des aulnaysiens a réalisé un livre d’artiste de poèmes de Laude traduits en espagnol. Les élèves du lycée « Jean Zay » avec leur professeur de théâtre ont présenté à Prévert une pièce de poèmes d’André Laude en 2012.

Mais l’association a dû s’arrêter. La liste des décès est longue : après Serge Wellens,  l’éditeur Joaquim Vital, le préfacier Yann Orveillon, André Mathieu, jean-Pierre Begot,  les peintres Corneille et Fassianos et la galeriste Céres Franco qui a créé un musée d’art  brut dans l’Aude.

Récemment « Nora Nord » Nicole Postnikova est décédée, après fin 2022 la fille d’André Laude Sabine et sa mère. Mais le combat continue et cette année 2024 nous offre des surprises essentielles : des traductions de grande qualité en langue turque par Aytekin Karaçoban (aux éditions « klaros ») et en espagnol par Adrian Fernandez Burlo  (Ediciones Lo Desconocido).

N’oublions pas les contributions de René Depestre que nous avons publiées dans nos cahiers, surtout pour souligner qu’il est encore parmi nous, à 98 ans,  lui aussi dans le département de l’Aude, lui l’ami du Che et de Pablo Neruda.

Toute cette culture aux « armes miraculeuses » (Césaire)  était culture « autogestionnaire » et de résistance. La « maison de la culture » du 93 et son antenne « enfance jeunesse» attendirent 1980 pour voir le jour.

Robert Ballanger le breton qui se souvenait de la « chasse à l’enfant » après la mutinerie du bagne de Belle-Ile-en-Mer en 1934 et du poème de Prévert proposa le nom de « Jacques Prévert » pour cette antenne enfance.

Mais à Aulnay la mairie de droite a remis en cause à Aulnay l’antenne  « MC 93 » comme les « banlieues bleues ». Elle fait aussi de temps en temps la chasse aux enfants :

« Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan !
Qu’est-ce que c’est que ces hurlements
Bandit ! Voyou ! Voyou ! Chenapan !
C’est la meute des honnêtes gens
Qui fait la chasse à l’enfant »      (Prévert)

Le maire est un « shérif», expert judiciaire en diffamations et/ou harcèlements. Les « jeunes indigènes » qu’il traite de « voyous » ne l’aiment pas  à cause de la couleur de ses yeux : ils sont racistes ! Il croit vivre dans son «village» avec ses promoteurs immobiliers chercheurs d’or.

Aulnay est la capitale du Territoire « Paris Terres d’envol » aux deux aéroports attentatoires au climat. 
Aulnay est devenu  une « commu » (Aya Nakamura) « internationale » qui n’est pas limitée au football, ni à la chanson, (ce qui est très bien ) mais elle participe à la légende des siècles et à la marche du monde.

Source : André Cuzon

Bibliographie :

Jules Princet : « Histoire d’Aulnay-sous-Bois » IER 1991

André Mathieu : « Nova Gallia » édition des Moires

André Laude « Liberté couleur d’homme » Encre Paris 1980 pages 69 et suivantes

Serge Wellens « « cahiers NOAH » n°2 1986

L’oreillette n° 7 été 1992 « serge wellens l’orphéon »

Laurent Ségalat: « Roger Ségalat » infolio 2015

Cahier André Laude N° 1 janvier 2009 « Souvenirs de l’Orphéon » par Serge Wellens

DVD « Retour au pays natal » réalisé par nous en 2006 à la bibliothèque d’Aulnay (en ligne).

André Laude Les Nouvelles Littéraires Pâques 1977 pour la mort de Prévert : « frère jacques »

Robert Ballanger au parlement le 11 mai 1968.

Gérald Darmanin à la demande d’Emmanuel Macron remet au Maire d’Aulnay-sous-Bois les insignes d’officier dans l’ordre national du Mérite

Gérald Darmanin était ravi de remettre ce soir, à la demande du Président de la République, les insignes d’officier dans l’ordre national du Mérite à Bruno Beschizza, maire d’Aulnay-sous-Bois. La République reconnaît là son engagement au service des autres, débuté comme officier de police avant de défendre avec un engagement sans faille les Aulnaysiens.

Vers un rapprochement ?

Le Maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza personnalité de l’année selon le célèbre Time Magazine !

Le Maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza vient d’être reconnu personnalité de l’année par le Time Magazine, ce qui est une première pour un Maire de France ! Nous avons obtenu un échantillon du numéro à paraître prochainement et qui fera grand bruit dans l’hexagone.

Un homme politique reconnu pour ses actions

Mais qu’est-ce qui a poussé le populaire Time Magazine à décerner ce titre honorifique que seuls les grands hommes… ou les grandes dames ont reçu ? Dans les critères de sélection du Time, plusieurs éléments ont été pris en considération :

  • Bruno Beschizza a hérité d’une ville au bord de la faillite et en quelques années, il a pu redresser les comptes de la ville tout en améliorant les services municipaux, et ce sans augmentation d’impôt
  • Il a lutté efficacement contre l’insécurité dans tous les quartiers de la ville avec un système de vidéo-surveillance moderne et incassable
  • Il a réduit les inégalités nord-sud de la ville et a entrepris un vaste chantier de rénovation et de modernisation urbaine
  • Il a redonné le charme originel du centre-gare avec un aménagement intelligent en parfaite concertation avec les riverains
  • Il a renforcé la démocratie locale et mis fin à l’opacité en acceptant et en association ses oppositions à tous les organes de consultation
  • Il a été visionnaire avec Val Francilia et il est fort probable, selon des sources sérieuses, que le PSG choisira son futur stade à cet endroit 

Un homme politique salvateur pour la droite Française

Selon le Time, ses indéniables succès dans sa gestion municipale, ses actions et son dynamisme à toute épreuve au conseil Régional, et ses talents d’orateur pourraient le prédestiner à de bien plus hautes fonctions. Sa personnalité charismatique, sa carrière brillante de policier de terrain et la finesse dans ses analyses locales et nationales pourraient donner une bouffée d’air à son parti LR (Les Républicains). Après de multiples échecs et des sondages en berne, Bruno Beschizza incarne un nouvel espoir, toujours selon le Time, pour les conservateurs Français.

Et si en 2027, Bruno Beschizza, alors investi par LR, devenait le troisième larron pour la présidentielle face au candidat Macroniste et au candidat RN ?

Si vous souhaitez avoir une photocopie des articles faisant l’éloge de Bruno Beschizza et si vous maîtrisez la langue de Shakespeare, n’hésitez pas à nous contacter !

Lettre ouverte de l’UNSA à Bruno Beschizza Maire d’Aulnay-sous-Bois concernant la CADA

Monsieur,

Conformément à l’avis de la Commission d’accès aux documents administratifs (CADA) n°20240579 du 20 mars 2024, que notre organisation syndicale a saisie suite à votre absence de réponse concernant la communication de la liste complète du personnel, arrêtée le 31 décembre 2022, malgré nos relances à votre administration.

Nous vous sollicitons encore une fois pour la communication de cette liste complète du personnel en respectant l’avis de cette instance, à savoir :

  • La communication de cette liste doit être sur un support numérique (fichier informatique)
  • Le renseignement de l’ensemble des rubriques autorisées par la CADA
  • Nom, prénoms, grade, échelon, indice de traitement, NBI, indemnité de suggestion
  • Statut de l’agent ; titulaire, contractuel, stagiaire ou
  • Arrêté de nomination : date d’entrée et de sortie de la collectivité
  • Service d’affectation

Dans l’attente de votre prompte réponse, veuillez accepter nos sincères salutations.

Pièce jointe : Avis de la CADA

Source : Le combat au quotidien / unsa.territoriaux.aulnay@gmail.com

Bruno Beschizza plante un hêtre à Aulnay-sous-Bois

Ce matin, j’ai eu le plaisir de planter un hêtre dans les jardins de l’hôtel de Ville avec les élus et le Conseil Municipal des Enfants. Cet arbre, symbole de confiance, vient compenser la perte de celui qui a chuté lors du violent orage de l’été dernier.

Il deviendra à terme un arbre remarquable et favorisa la biodiversité en étant un habitat de qualité pour de nombreuses espèces. Ce fut également l’occasion de constater le travail formidable que les agents des Espaces Verts fournissent sur notre Ville.

Source : Bruno Beschizza