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Un arbre abattu à Aulnay-sous-Bois à cause d’une fuite d’eau

Suite à la fuite d’eau survenue ce mardi 24 janvier 2023 à l’angle du Boulevard de Strasbourg et de la rue de Pimodan, les techniciens de Véolia Eau Île-de-France ont dû intervenir en urgence pour réparer une canalisation située sous les racines d’un platane.

Malheureusement, plusieurs racines ont été endommagées et la stabilité de l’arbre n’est plus assurée à court terme.  Par conséquent, pour des raisons de sécurité, les services techniques de la Ville vont procéder à un abattage d’urgence ce lundi 30 janvier 2023.

Un sentiment de vide après l’abattage du dernier arbre remarquable rue Jean Charcot à Aulnay-sous-Bois

Nous relations il y a peu l’existence d’un arbre remarquable sur un terrain voué à accueillir un nouvel immeuble rue Jean Charcot à Aulnay-sous-Bois grâce à notre lectrice Géraldine. Cet arbre n’est plus là aujourd’hui et comme vous pouvez le constater sur la photo ci-dessous, c’est un véritable sentiment de vide qui se dégage au premier abord.

Merci à Géraldine pour la photo.

Démolition des pavillons rue Charcot à Aulnay-sous-Bois pour un immeuble, le dernier arbre encore debout

Nous vous le relations dans un précédent article : deux pavillons situés rue Charcot à Aulnay-sous-Bois ont été démolis pour laisser place à un futur immeuble. Si les édifices ne sont plus là, il reste un bel arbre au fond de l’un des terrains.

Notre lectrice Géraldine se demande quel âge a cet arbre magnifique ? Combien d’eau de la nappe phréatique a-t il absorbé ? Combien d’oiseaux a-t’il abrité ? Combien de bruit a t il stoppé pour le quartier ?

Pour notre lectrice, il a tout d’un arbre remarquable. Vont-ils l’abattre ? Telle est la question ultime. Peut-être qu’une association de défense de l’environnement pourra répondre ?

Merci à Géraldine pour les photos

Le ramassage des feuilles à Aulnay-sous-Bois : tous concernés !

La Ville d’Aulnay-sous-Bois compte plus de 30 000 arbres, dont quelques 8 400 en bordure de nos avenues. Les arbres participent à l’esthétique du paysage urbain, nous offrent un confort indéniable en été (ombre et fraîcheur) et produisent de l’oxygène. Cependant, les arbres deviennent un inconvénient au moment de la chute des feuilles. 

Tous les automnes, un dispositif exceptionnel de ramassage mis en place par la ville

Les agents des services techniques municipaux et d’un prestataire extérieur (NICOLLIN) sont mobilisés pour assurer la propreté des voiries et la sécurité des habitants. Chaque année entre octobre et décembre, un dispositif exceptionnel est mis en place pour le ramassage des feuilles : 4 aspire-feuilles dont deux de grande capacité montés sur des bennes à ordure.

Ainsi, plus 1 300 T de feuilles seront collectées au cours cet automne. C’est une période intense pendant laquelle les agents sont à pied d’œuvre, 7 jours sur 7, pour collecter les feuilles et ne pas les laisser se répandre dans l’espace public.

Source et article complet : Site de la ville d’Aulnay-sous-Bois

Le cours Napoléon Bonaparte à Aulnay-sous-Bois fermé à cause de la chute de deux arbres et des vents violents

Par mesure de sécurité, le cours Napoléon Bonaparte restera fermé au public jusqu’à la fin du week-end en raison de la chute de 2 arbres dans la nuit de jeudi à vendredi, et du risque de vents violents en fin de journée ce samedi.

Des arbres étouffent dans le béton à Aulnay-sous-Bois

Un Aulnaysien a constaté que de nombreux arbres étouffent dans le béton, notamment au niveau de la rue Séverine et de la rue de la Division Leclerc.

Ce riverain espère qu’il sera entendu par le Maire d’Aulnay-sous-Bois pour aider ces arbres en danger.

Un arbre d’une tonne tombe sur une voiture de police à Aulnay-sous-Bois

Une branche d’une tonne est tombée dimanche soir dans l’enceinte du commissariat. Il n’y a pas eu de blessé.

D’un seul coup, dimanche soir, il y a eu un énorme bruit dans l’enceinte du commissariat d’Aulnay-sous-Bois. Une immense branche venait de tomber sur une pelouse du commissariat où les policiers garent traditionnellement quelques voitures de service. La pluie battait son plein.

La voiture sérigraphiée stationnée non loin a l’aile un peu enfoncée et le rétroviseur arraché, mais elle était vide de tout occupant. « Par chance, il n’y a eu que des dégâts matériels », réagit Gregory Goupil, du syndicat de gardiens de la paix Alliance 93.

L’hypothèse d’un champignon dans l’arbre

Les services de la ville sont intervenus pour évacuer cette branche ce lundi, après l’avoir débitée, vu son poids, estimé à une tonne. L’hypothèse d’un champignon dans l’arbre laisse planer un certain doute sur la santé de tous les autres, dans ce commissariat où circulent deux cents fonctionnaires.

« Il y a plusieurs chênes, dont un monstrueux, au-dessus du pavillon, et ça fait très longtemps qu’il n’y a pas eu d’entretien », lâche un policier du coin.

A qui incombe l’entretien ? Ce n’est pas parce que les services municipaux ont fait le nécessaire ce lundi que la ville en est responsable. Si elle aide la police nationale à fonctionner, en fournissant du matériel numérique, un peu d’armement et quatre voitures, elle ne s’est encore jamais portée volontaire pour élaguer les arbres.

« C’est une parcelle privée qui appartient au Ministère, et l’entretien des arbres va avec. Il n’y a pas de convention dans ce domaine », souligne-t-on au cabinet de Bruno Beschizza, le maire (LR) d’Aulnay-sous-Bois.

Un état des lieux réclamé

Et il semble que les diagnostics soient plus fiables l’hiver, lorsque les arbres n’ont plus de feuilles. Mais pour les policiers, la perspective de patienter six mois de plus n’est pas forcément réjouissante.

« On ne peut pas attendre le prochain coup de vent pour être fixé. Je souhaite qu’un état des lieux puisse être fait rapidement », estime le commissaire divisionnaire Olivier Simon, dont le bureau est installé dans le pavillon, à l’ombre d’un chêne.

Sollicitée ce lundi après-midi, la préfecture n’a pas été en mesure d’apporter d’éclairage.

Source et image : Le Parisien

Les herbes folles envahissent les parterres de fleur et les caniveaux à Aulnay-sous-Bois

Cela peut être un détail pour vous, mais pour une lectrice, cela veut dire beaucoup. L’état de certains parterres de fleurs et de caniveaux dans les rues d’Aulnay-sous-Bois laisse perplexe.

Comme vous pouvez le voir sur les images, les herbes folles envahissent les arbres de la rue Albert Ballet, ainsi que le caniveau devant l’école maternelle Nonneville.

Notre lectrice qui nous a envoyé ces photos se demande si ses impôts sont utilisés de manière efficace….

 

Chapelle votive Notre-Dame-de-Pitié à Etrun perd son arbre

Avant

Sortons un peu de la Seine-Saint-Denis et parlons un faisons un zoom un instant sur une petite ville du Pas-de-Calais située non loin d’Arras, Etrun. Celles et ceux qui empruntent l’ancienne route nationale 39 on certainement remarqué la présence d’une petite chapelle avec son arbre qui la protège, au niveau d’Etrun. Il s’agit de la chapelle votive Notre-Dame-de-Pitié, construite au 17ème siècle.

Son histoire est peu banale : en 1624, trois religieuses embarquées dans leur charrette souhaitaient regagner leur abbaye à Etrun, qui fut fondée vers 800 sous Charlemagne. Hélas pour les trois religieuses, le cheval, pour une raison inexpliquée, s’emballe et commence une course folle à travers les champs. Les religieuses, affolées, prient pour leur survie et promettent de bâtir une chapelle à l’endroit où le cheval s’arrêtera. Le cheval fini par s’arrêter et les religieuses tiennent leur promesse, la chapelle est construite à l’endroit même où le cheval s’arrêta.

Cette chapelle fut l’objet de nombreux pèlerinages jusqu’à la révolution. Elle fut restaurée en 1865 et est classée aux Monuments Historiques depuis juillet 1970. Sa particularité est la présence d’un arbre qui la protège notamment l’été, cette chapelle est visible depuis la route nationale d’Arras à Saint-Pol. Durant les 30 glorieuses et jusqu’à la fin des années 80s, cette chapelle servait de point de repère pour les vacanciers du bassin minier qui souhaitaient rejoindre la côte d’Opale et la mer. Il n’était pas rare que les automobilistes faisaient un signe de croix en passant devant cette chapelle, car la route nationale 39 était autrefois très dangereuses : de longues portions en 3 voies provoquaient des accidents mortels, il y avait toujours des morts sur cette route. De plus, les voitures de cette époque ne supportaient pas vraiment le terrain vallonné et les surchauffes étaient fréquentes.

Après

Avec le progrès, la nationale 39 (qui est devenue une route départementale en 2006) a été sécurisée : les sections à trois voies à double sens de dépassement ont été supprimées, il y a maintenant de longues portions en quatre voies, et de nombreuses villes et villages ne sont plus traversés, des contournements ayant été construits.

Cette chapelle est toujours entretenue et des fleurs sont déposées régulièrement. Hélas en décembre 2016, certainement sous la force de la tempête, l’arbre tomba et endommagea la toiture de la chapelle. Le toit est aujourd’hui recouvert d’une bâche, la chapelle est toujours debout, mais l’arbre qui faisait également sa particularité a à jamais disparu…

Aulnay Environnement s’indigne de l’abattage des arbres route de Bondy à Aulnay-sous-Bois

Aulnay Environnement a été ces derniers jours contacté à propos de l’abattage imminent ou déjà en cours de platanes sur le boulevard Lefèvre, route de Bondy et avenue Jean Jaurès.

Il faut bien distinguer le cas de ces platanes de celui des tilleuls de l’ex-place Camélinat. Si trois arbres y sont en effet mal en point, tous les autres sont en bonne santé. Lorsque nous protestons contre l’abattage de ces arbres, c’est qu’il est imposé par un projet de parking souterrain dont nous avons dénoncé tous les aspects négatifs en proposant une solution alternative, critique et proposition qui n’ont à ce jour reçu aucune réponse si ce n’est la dérision et une forme de mépris.

Beaucoup d’autres arbres seront abattus le long de l’ex-nationale 2. Mais il s’agit là d’un projet bénéfique à terme pour tous les Aulnaysiens, la réalisation de la ligne 16 du métro. Chaque fois que l’intérêt général est en jeu, nous sommes conscients qu’il faut se résigner à des décisions douloureuses.

Il en est ainsi des abattages en cours. Le responsable des services municipaux nous a indiqué que les arbres concernés sont atteints par un parasite contre lequel il n’y a pas de remède, qu’ils peuvent présenter un danger,  et qu’ils seront remplacés dès le printemps prochain par des essences moins vulnérables, charmes ou prunus.

Une page d’Oxygène a certes été consacrée à ce problème dans le numéro de septembre, mais sans calendrier précis. Rien sur le site de la ville. Il faut aller sur Facebook. Des courriers ont étés distribués, mais l’impossibilité d’atteindre les boîtes à lettres de beaucoup de résidences rend ce mode de communication peu efficace dans certains quartiers.

Certes, trop d’Aulnaysiens sont peu curieux de l’actualité de la commune, et perçoivent le magazine municipal comme un outil de propagande. On ne peut toujours leur donner tort.

Il reste que la politique de communication sur ce genre de problème est à revoir. Il faut comprendre que ces abattages, ajoutés à tous les bouleversements du paysage liés aux opérations immobilières qui se multiplient, ont un effet désastreux sur les habitants, qui sont très attachés à leurs arbres. Un sentiment et une émotion qu’il faut traiter avec respect. Un courrier postal adressés aux riverains, un affichage conséquent pour tous les usagers de la rue, avec l’annonce d’un calendrier aussi précis que possible pour la reconstitution des alignements, voilà ce qu’il faudrait envisager. Certes, cela a un prix. Le prix d’un slogan électoral : « Aulnay respectueuse ».

Source : communiqué Aulnay Environnement

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