Jordan Bardella sanctionné pour avoir critiqué le maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza
Lors de la dernière session du Conseil régional d’Île-de-France en juillet dernier, Jordan Bardella, conseiller régional FN de Seine Saint-Denis, a dénoncé, en s’appuyant sur des faits avérés et largement relayés par les médias, la collusion d’élus LR et notamment le maire d’Aulnay-sous-Bois avec des associations salafistes.
Il a été sanctionné pour cela par Valérie Pécresse, qui a mis en œuvre pour la première fois son nouveau règlement intérieur, très funeste pour la liberté d’expression. Jordan Bardella a saisi le Tribunal administratif de Paris pour faire annuler cette sanction tout à fait arbitraire.
Par ailleurs, Florence Portelli est venue au secours de Bruno Beschizza et a pu, à ce titre, défendre un fait personnel. Toutefois, elle s’en est prise de manière inacceptable à Jordan Bardella qui, lui, s’est vu refuser le droit de défendre à son tour son propre fait personnel. Sa requête a été rejetée de manière honteuse et au mépris du règlement. Il exigera de Valérie Pécresse, lors de la prochaine session, de pouvoir s’exprimer sur ce fait.
Valérie Pécresse échouera si elle veut museler les vérités qui la dérangent par des artifices réglementaires et maintenir l’ordre dans cette assemblée en agissant de façon aussi déplorable.
Source : communiqué du Front National Ile-de-France envoyé à la rédaction
Publié le 8 septembre 2016, dans Politique, et tagué Aulnay, Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza, Conseil Régional, Ile-de-France, Jordan Bardella. Bookmarquez ce permalien. 1 Commentaire.
Aulnaycap 
Liberté d’expression muselée pour taire ce que tout le monde peut observer : la collusion entre les équipes municipales et les salafistes – cela existait, aussi, sous l’ancienne équipe dirigeante d’Aulnay PS-PCF-EELV, sans que les responsables n’aient eu à rendre de comptes.
Et ça se prétend républicains..
La salafisation de quartiers entiers relève bien de la responsabilité, directe, d’élus locaux, mais également nationaux qui, de leur côté, autorisent les islamisto-salafisto-wahhabites étrangers à s’installer sur le sol français.
Et cela, dans le plus grand silence de la part des habituels défenseurs des droits de l’homme qui considèrent qu’il convient de jeter des ponts de tolérance à l’endroit de ces individus distillant leur haine envers nous, mécréants non-musulmans, plutôt que de les couper.
Un vrai cauchemar.
La question étant de savoir où sont les fameux « musulmans modérés » pour s’opposer aux salafistes; « modérés » censés être ultra-majoritaires, et qui pourtant se montrent bien muets face à ces islamisto-salafistes, au contraire minoritaires, paraît-il.
Je parie que nombre de ces « modérés » n’éprouvent aucun problème à se rendre chaque vendredi à la grande mosquée gérée par des islamistes où ils y invitent régulièrement des prédicateurs salafistes. Suffit de consulter leur groupe Facebook (ACMA).