Le créateur d’Homo micro était régulièrement violé par des homophobes dans la cité des 3000 à Aulnay-sous-Bois
C’est un drame personnel qui sert aujourd’hui une cause collective. « Pendant des années j’ai subi des agressions à la cité des 3 000, à Aulnay-sous-Bois, explique Brahim Naït-Balk, créateur d’Homo micro, sur Fréquence Paris Plurielle. J’étais régulièrement violé dans les caves par des homophobes qui refoulaient leur homosexualité. Pour leur échapper, je rentrais chez moi comme un voleur, je changeais d’itinéraire, grimpais des grillages, rasais les murs comme une bête traquée. J’étais condamné au silence pour protéger ma famille. » Lorsqu’il lance cette émission – l’une des premières consacrées à la communauté LGBT – en 2009, il prend la décision de ne plus cacher son homosexualité et s’émancipe sur la bande FM. La parole libère aussi bien l’animateur stigmatisé que ceux qui l’écoutent.
Source et article complet : Télérama
Publié le 19 juillet 2018, dans Actualité, et tagué Agression, Aulnay, Aulnay-sous-Bois, Homophobe. Bookmarquez ce permalien. 3 Commentaires.
Des hommes violant un homosexuel ne s’appellent pas « homophobes » mais HOMOSEXUELS !
C’est incroyable l’image qu’on les gens extérieur a notre ville et la mauvaise réputation que l’on a d’ Aulnay.
Pas un jour sans un faits divers, bref on s’y fait et on trouve ça presque normal ….
Heureusement qu’il y a la vidéo protection, et Aulnay Vigilance (Chacun derrière chaque rideau), lol
Sinon il y a ça Hihihihi
https://usbeketrica.com/article/aux-etats-unis-a-newark-chaque-citoyen-peut-surveiller-son-voisin