La Coupe d’Aulnay-sous-Bois des nations dit adieu au «Béton» et prend ses quartiers au Vélodrome

La CAN d’Aulnay entame samedi sa quatrième édition (18 juin-10 juillet). Après trois tournois disputés sur le bitume du célèbre city stade, joueurs et entraîneurs investissent le terrain synthétique du CSL d’Aulnay, l’un des trois clubs de la ville. Un changement de surface qui devrait procurer plus de confort pour les joueurs et une meilleure qualité de jeu.

Un mois à peine s’est écoulé depuis la fin du championnat de Ligue 1 et le stade Vélodrome va reprendre du service. Pas à Marseille, non, mais à 800 kilomètres de là, rue Robespierre, à Aulnay-sous-Bois. Après trois premières éditions au « Béton », le city stade mythique de la cité des 3000, la Coupe d’Aulnay des Nations déménage au Vélodrome du CSL d’Aulnay, l’un des trois clubs de football de la ville.

Source et article complet : Le Parisien

Publié le 17 juin 2022, dans Sport, et tagué , . Bookmarquez ce permalien. 1 Commentaire.

  1. Catherine Medioni

    Les Aulnaysiens aussi aimeraient pouvoir dire adieu au béton de Beschizza et à la densification accélérée qu’il nous impose ! De toutes façons une pièce rapportée et parachutée ne pouvait pas aimer notre ville qu’il défigure un peu plus chaque jour. Apparemment il préfère le béton à nos jardins et à la biodiversité puisqu’il déroule le tapis rouge aux promoteurs immobiliers qui doivent bien lui rétrocéder quelques avantages ….

    Personne n’est dupe des conflits d’intérêt et de l’enrichissement qu’il doit retirer de sa position d’autorité. Les citoyens sont dégoûtés de ce qu’ils voient faire en politique. Il ne faut pas chercher bien loin l’explication de l’abstention croissante ! Les électeurs ont perdu tout espoir de voir leur vie et leur quotidien s’améliorer. Notre république est bien mal en point, tant sur le plan national que sur le plan local.

    Les législatives vont-elles un peu rétablir des équilibres au sein de notre société fracturée ? Permettront-elles qu’un salutaire contre-poids aux mesures libérales de la Macronie soit fait et que notre assemblée nationale retrouve ses véritables fonctions dans un débat qui ne soit pas empêché par de trop longues mesures d’urgence et un état de droit mis sur le banc de touche ?

    La France d’en bas et les classes moyennes en ont assez de cette politique qui privilégie les déjà nantis et les riches à foison. Nous voulons des services publiques efficients et en nombre suffisant sinon cela remet en cause le fait même de contribuer à l’impôt. Ce dernier ajouté aux taxes diverses et variées est trop cher payé pour des services de plus en plus réduits à peau de chagrin.

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