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Des routes à Aulnay-sous-Bois pleines de nids de poule dangereux pour les voitures

Plusieurs trous ont été signalés dans la ville d’Aulnay-sous-Bois, comme Merci à la voirie vers le croisement boulevard Emile Zola et Rue Étienne Dolet. Des trous énormes qui peuvent endommager les véhicules. Beaucoup espèrent des réparations rapides pour éviter un accident.

 

Pétition pour améliorer l’éclairage public et la qualité des routes à Aulnay-sous-Bois

Nous, les habitants d’Aulnay-sous-Bois, exigeons que la municipalité prenne des mesures concrètes pour améliorer notre sécurité et notre qualité de vie. L’absence d’éclairage public adéquat dans de nombreux quartiers de la ville augmente le risque d’agressions, mettant ainsi notre sécurité en danger.

De plus, les routes délabrées posent un sérieux problème pour les deux roues et endommagent les voitures des citoyens. Selon l’étude de l’Institut Français des Sciences et Technologies des Transports, de l’Aménagement et des Réseaux (IFSTTAR), une mauvaise qualité de route augmente de 30% le risque d’accidents de la circulation.

Par ailleurs, la présence de caméras de sécurité sans un éclairage adéquat est inutile : nous avons besoin de zones bien éclairées pour que ces caméras puissent fonctionner efficacement.

Nous demandons à la mairie d’Aulnay de mettre en œuvre un plan pour améliorer l’éclairage public dans toute la ville, et de lancer un programme de réparation des routes le plus tôt possible.

La sécurité et le bien-être de tous les habitants d’Aulnay en dépendent. Signez cette pétition pour faire de notre ville un endroit plus sûr et plus accueillant.

Source : collectif de riverains

Pour signer la pétition, cliquer ici.

Des travaux inutiles pour réparer les routes quartier du Gros Saule à Aulnay-sous-Bois ?

Hier une équipe est venue pour réparer la rue du Docteur Laveran quartier du Gros Saule à Aulnay-sous-Bois. Les riverains ont vu un camion et une dizaine d’hommes s’affairer dans le secteur.

Pour certains riverains, c’était le signe que le service voirie allait refaire la rue entièrement. Quelques heures ce fut la douche froide : les riverains ont constaté que le service voirie a employé les grands moyens…. pour boucher quelques nids de poule !

Pour ces riverains, les nids de poule vont revenir rapidement avec la circulation.

Pour une riveraine qui nous a contactés, cela s’appelle gaspiller de l’argent du contribuable ! Comme on peut le voir sur les photos ci-dessous, les travaux sont tellement mal faits que les Aulnaysiens vont gaspiller deux fois d’argent.

Pourquoi ne pas faire un travail avec des résultats qui durent plus long temps ?

Source : contribution externe

Un citoyen comptabilise les nids de poule à Aulnay-sous-Bois

Ce n’est peut-être pas la priorité première des Aulnaysiens, mais l’abondance des nids de poule ont tendance à énerver les administrés, qui souhaiteraient pouvoir rouler en voiture ou à vélo sans se soucier d’abîmer leur matériel roulant.

Un citoyen, qui habite apparemment dans les quartiers sud de la ville, a pris le temps de recenser l’ensemble des nids de poule sur la ville (points rouges sur la carte ci-contre). Un travail de longue haleine, qui devrait faire réagir les autorités locales.

La carte ci-contre indique l’ensemble des nids de poule répertoriés. 

Le site est accessible ici.

Ile-de-France : Gare aux nids-de-poule !

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blogautomobile.fr

« Ils sont le cauchemar des automobilistes et des motards. Les trous se multiplient depuis quelques semaines sur les routes d’Ile-de-France. Un phénomène accentué cette année par les intempéries.

Avec les vagues successives de gel et de dégel, les axes routiers d’Ile-de-France souffrent terriblement. Des trous de 10 à 50 cm de diamètre, voire plus, ont fait leur apparition ses dernières semaines. Sur les petites routes comme sur les grands axes, en grande banlieue comme à Paris et même sur le périphérique.

« Il est encore difficile d’établir un bilan — l’hiver n’est pas terminé, il y a encore eu des pluies verglaçantes la semaine dernière — mais aucun département n’est épargné », confirme la Dirif (Direction des routes d’Ile-de-France). Ces nids-de-poule s’apparentent à de vrais pièges pour les automobilistes et les motards qui les découvrent bien souvent au dernier moment.

200 000 € le kilomètre de revêtement

« J’ai fait une embardée à Conflans-Sainte-Honorine (78) sur la N184 pour éviter d’y laisser ma jante et finir dans le décor », raconte Denis. « Il faut se déporter et empiéter sur la file voisine à la sortie du périphérique de Paris pour reprendre la A 1, témoigne pour sa part Vanessa. Cela provoque des ralentissements. »

« Nous avons actuellement un pic de clients qui sont victimes d’un éclatement de pneu. Les nids-de-poule peuvent aussi endommager les amortisseurs », indique pour sa part Cyril, garagiste dans les Hauts-de-Seine.

L’état des chaussées mais aussi le mode de traitement pour saler les routes peuvent représenter un facteur aggravant. « Les cavités se forment plus rapidement si le revêtement est poreux », précise Jean-Marie Tétart, le député-maire (UMP) de Houdan et vice-président du conseil général des Yvelines chargé des infrastructures routières. « Ce n’est plus du sel sec en grain qui est utilisé, ajoute Frédérik Bernard, le maire PS de Poissy (78). Maintenant c’est de la bouillie de sel liquide. Cette saumure est plus efficace mais elle fragilise le revêtement. » Conséquence, l’addition des réparations peut être très lourde. « Les nids-de-poule des trois derniers hivers ont coûté au total près de 5 M€ », confie l’ingénieur qui suit le dossier au conseil général des Yvelines Le prix moyen d’un kilomètre de revêtement avoisine les 200 000 €.

Quatre hivers rigoureux

« La succession de quatre hivers rigoureux a beaucoup endommagées nos routes », confirme Daniel Bascoul, directeur des routes du conseil général de Seine-et-Marne, un département où il a fallu réduire la circulation sur certains axes pour les réparer, comme la N4 à hauteur de Gretz-Armainvilliers. Ici, le montant des réparations est estimé entre 2 M€ et 3 M€ à la sortie de l’hiver. La Seine-Saint-Denis n’est pas non plus épargnée, notamment sur la D37 à Bagnolet et à Montreuil, ou sur l’autoroute A 103 qui relie l’A 3 à Villemomble. L’entretien des routes coûte cette année 9 M€ au département. Un système de patrouille s’assure par ailleurs de l’état des chaussées pour prévenir les accidents.« 

Source : Le Parisien