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Attaque à la grenade à Aubervilliers, le suspect avait été payé 2 500 € pour faire le boulot

On en sait plus sur l’attaque à la grenade qui a défiguré et arraché un bras à un cycliste à Aubervilliers qui passait par hasard. L’un des suspects avait été approché sur un stade de foot pour lancer une grenade rue du Moutier à Aubervilliers, devant le bar PMU « Le Réal ». Le prix de la commission : 2 500 €.

Pour cette somme, l’individu et des complices ont accepté la basse besogne. Il n’est pas certain que ce lancé de grenade devait faire des victimes. Mais un cycliste qui n’avait rien demandé passait par là…

Un individu lance une grenade en pleine rue à Aubervilliers, 2 blessés dont un avec un bras arraché !

Deux personnes ont été blessées ce jeudi 23 mai au soir à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) par une grenade lancée depuis un scooter. L’auteur des faits a pris la fuite et est activement recherché.

L’explosion d’une grenade, jetée par un conducteur au volant de son scooter en pleine rue, a fait deux blessés graves, à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), ce jeudi 23 mai dans la soirée.

Source et article complet : Midi Libre

Aulnay-sous-Bois : Il menace le patron de BTP avec une grenade dans le quartier de Nonneville

GrenadeFurieux de ne pas avoir obtenu un marché, un des sous-traitants d’une entreprise de BTP, spécialisée dans le ravalement de façades, n’a pas hésité à venir menacer, hier après-midi, le patron de ladite société avec une grenade. Vers 16 heures, il s’est présenté devant le siège de l’entreprise, rue d’Alembert, à Aulnay-sous-Bois et a menacé de dégoupiller sa grenade. Alertée, la police est intervenue et l’homme a été interpellé. Il était jusque-là connu des services de police pour une seule affaire de dégradation de bien public. Il a été placé en garde à vue. Un périmètre de sécurité a été mis en place et le laboratoire central de Paris a été dépêché sur place. Selon les premières constatations, la grenade était factice. Elle a été envoyée au laboratoire central à Paris pour analyse.

Source : Le Parisien du 28/05/2013