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En Seine-Saint-Denis, les parents d’élèves sont déjà mobilisés en vue de la rentrée 2022

Après avoir organisé des rassemblements à Pantin et Saint-Denis lors des deux premiers week-ends de février, la fédération de parents d’élèves FCPE 93 appelle les familles à se mobiliser cette semaine, avant les vacances scolaires qui débutent samedi, pour réclamer des moyens éducatifs supplémentaires pour l’année scolaire 2022-2023.

Si lors d’une conférence de presse fin janvier, le recteur de l’académie de Créteil Daniel Auverlot avait affirmé que la dotation horaire globale (DHG) ― l’enveloppe d’heures de cours attribuées par le rectorat à un établissement du second degré ― serait en hausse au niveau académique l’an prochain malgré la baisse du nombre d’élèves, sur le terrain, les parents des collégiens et lycéens voient se profiler la rentrée de septembre avec inquiétude.

Source et article complet : Le Parisien

Une centaine de parents d’élèves ont manifesté à la mairie d’Aulnay-sous-Bois contre l’école le samedi matin

parents_eleves_aulnayUn groupe d’une centaine de parents d’élèves d’Aulnay-sous-Bois s’est rassemblé, samedi matin, devant la mairie afin de protester contre les nouveaux rythmes scolaires. Réclamant « un scrutin transparent pour le choix de la demi-journée supplémentaire », ils ont ensuite occupé la salle des mariages, sous la surveillance de policiers municipaux et dans un climat tendu.

« C’est déplorable, réagit-on au cabinet du maire UMP Bruno Beschizza. Des fonctionnaires ont été bousculés. Certains instrumentalisent les attentes des parents à des fins politiques. » « C’est regrettable, mais nous sommes face à des élus qui refusent d’entendre la souffrance des parents et des enfants », répond Moktharia Kebli, du collectif des parents d’élèves.

Source et image : Le Parisien

Seine-Saint-Denis : Les parents d’élèves déjà inquiets

parents_eleves_93A trois jours de la rentrée, le collectif de parents d’élèves du 93 s’est rassemblé hier à Bobigny (notre photo) pour faire part de son « inquiétude » concernant l’état de l’école dans le département. « 150 postes d’enseignants sont créés. C’est insuffisant. Cela ne permettra pas d’assurer le remplacement des profs absents », alerte Mathieu Glaymann, qui rappelle qu’« en moyenne un enfant du 93 perd chaque année dix à douze jours de classe ». Le collectif pointe également du doigt « les 40% de postes de médecins scolaires non pourvus » et la « très faible scolarisation des enfants de moins de 3 ans », en dépit de l’ouverture de seize classes de tout-petits (moins de 2 ans) à la rentrée.

Source et image : Le Parisien du 01/09/2013