Archives de Catégorie: Education

Le collège Debussy d’Aulnay-sous-Bois au-delà des préjugés sur les Roms

college_debussy_aulnayDes élèves du collège Claude-Debussy d’Aulnay-sous-Bois ont réalisé un court-métrage sur un campement rom situé à proximité de leur établissement avec cette question : pourquoi y a-t-il si peu d’enfants roms scolarisés ?

« C’est parti de réflexions de certains élèves du collège envers les Roms qui nous ont choqués ». Kensia, d’abord sur ses gardes, est intarissable. Elle et trois de ses camarades – Kendra, Mohammed et Sarah – se remémorent pourquoi ils ont choisi le campement rom situé tout à côté de leur collège comme sujet d’un atelier journalisme, lancé en début d’année par deux de leurs professeurs d’histoire géographie, Younes Baassou et Lahoucine Belkaïd.
« Beaucoup d’élèves en parlaient. Ils disaient que c’étaient des gens mauvais et des fainéants, qui ne voulaient pas aller à l’école. Alors, on a décidé simplement d’aller leur demander pourquoi ils ne venaient pas à l’école », renchérit Mohammed.

Le court-métrage réalisé par ces élèves de 4e au regard étonnamment lucide livre plusieurs réponses à cette interrogation. Dans ce reportage de quatre minutes, les habitants du campement rom se confient, timidement, mais ils se confient : pas d’argent pour acheter cahiers et livres, peur du regard de l’autre et de ses moqueries, peur aussi de se faire expulser pendant que les enfants sont à l’école. Younes Baassou, à l’origine du projet, complète : « il y a encore d’autres facteurs. En France, la loi rend obligatoire la scolarisation de tous les enfants, mais souvent celle-ci est liée au fait d’avoir une adresse. Et comme là, ils n’en ont pas… »

Tourné avec l’aide d’un journaliste de l’agence Reuters, Morade Azzouz, qui est venu épauler bénévolement les élèves sur ce projet, le reportage a été projeté mercredi 4 juin au festival académique de Créteil. Il est le fruit d’une trentaine d’heures de travail, dont une journée entière passée sur le camp situé à proximité du boulevard Chagall, à quelques encablures du collège. Dans ce bidonville peuplé par quelque 200 personnes, la plupart d’origine roumaine, il a aussi fallu faire appel à un interprète pour pouvoir communiquer. Mohammed en a retenu quelques mots : « buna ziua, ça veut dire bonjour et multumesc, c’est merci », se souvient-il, le sourire aux lèvres.

Article complet à consulter en cliquant ici.

Fin de l’année scolaire : tout comprendre sur les choix d’orientation

rythmes-scolairesPassage en classe supérieure, redoublement, orientation, commission d’appel… À la fin de l’année scolaire, les conseils des maîtres dans les écoles ou les conseils de classe dans les collèges et les lycées doivent se réunir pour se prononcer sur la poursuite du parcours scolaire des élèves. Pour tout comprendre sur les choix d’orientation, vous pouvez consulter les fiches pratiques de Service-public.fr.

École maternelle et élémentaire

À l’école primaire (maternelle et élémentaire), le conseil des maîtres se réunit à la fin du troisième trimestre pour se prononcer sur la poursuite de la scolarité de chaque élève : passage en classe supérieure, saut de classe ou redoublement. À l’issue de la classe de CM2, le conseil des maîtres se prononce sur le passage en sixième au collège ou le redoublement.

Collège et lycée

Au collège, des décisions d’orientation sont à prendre par les familles :

Au lycée général et technologique, les familles et les élèves doivent également prendre des décisions d’orientation :

Au lycée professionnel, les élèves sont préparés à des diplômes permettant l’insertion dans la vie professionnelle, les élèves ayant néanmoins la possibilité de poursuivre leur formation après un CAP ou un bac pro.

Article proposé par Annie Neveu

Aulnay-sous-Bois : Accalmie au collège Debussy

Debussy_AulnayLe calme semble revenu au collège Debussy, à Aulnay-sous-Bois, et les cours devraient reprendre normalement lundi. Parents et enseignants s’étaient mobilisés il y a dix jours, après plusieurs départs de feu au sein même de l’établissement. Les profs demandaient notamment le départ pur et simple de la principale du collège. Ils semblent avoir été entendus. Un nouveau principal « par intérim » devrait arriver lundi. Officiellement, il ne fait que remplacer la chef d’établissement, en congé maladie. « Mais il devrait rester jusqu’à la fin de l’année », affirme un père d’élève, soulagé. C’est en tout cas ce qu’a annoncé, mercredi, un représentant de la direction académique lors d’une rencontre avec les parents d’élèves. La crise avait conduit le maire UMP Bruno Beschizza à écrire lui-même à la direction académique.

Source : Le Parisien du 31/05/2014

Rentrée scolaire 2014 repoussée au mardi 2 septembre pour les élèves

Aulnay_Bourg_EcoleLe ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche a annoncé, vendredi 16 mai 2014, le report de la rentrée scolaire au mardi 2 septembre 2014 pour les élèves (la rentrée des élèves était initialement prévue lundi 1er septembre 2014).

Article proposé par Annie Neveu

Le 7ème collège d’Aulnay-sous-Bois pourrait s’appeler Simone Veil

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Vidéo

Le 7ème collège d’Aulnay-sous-Bois, situé route de Bondy, est toujours en construction. Il devrait ouvrir ses portes pour la rentrée prochaine. Les possibles noms associés à ce collège étaient jusqu’alors cachés, même au Maire Bruno Beschizza. Nous apprenons désormais que ce nouvel établissement pourrait s’appeler Simone Veil, femme politique qui a fait ses dents sous le gouvernement Giscard d’Estaing, et connue pour avoir défendue le droit des femmes à avorter. Apparemment, ce nom ferait quasiment l’unanimité.

Rentrée scolaire 2014 : la liste des fournitures scolaires recommandées

rythmes-scolairesComment acheter strictement ce qui est utile ? Comment ne pas se tromper de cahier ou payer trop cher le nouveau compas ? Comment réduire le poids du cartable ? Peut-on consommer responsable, ne pas gâcher ?

Dans le cadre de l’aide aux familles, une circulaire publiée au Bulletin officiel de l’éducation nationale du 1er mai 2014 précise la liste des fournitures scolaires recommandées par le ministère. Cahiers, stylos, trousse, règle… Cette liste comporte une quarantaine d’articles de base pour chaque niveau. Les professeurs sont invités à s’y référer pour élaborer la liste des fournitures demandées aux élèves.

Un enseignant ne peut en aucun cas exiger l’achat d’un matériel d’une marque donnée. Seules les caractéristiques des fournitures souhaitées peuvent être précisées (dimension, nombre de pages…).

Cliquer ici pour obtenir la liste des fournitures scolaires recommandées.

Article proposé par Annie Neveu

Nouveaux rythmes : les maires de droite de la Seine-Saint-Denis défilent

rythmes-scolairesNe vous méprenez pas : en septembre, tous les écoliers de France passeront bien à la semaine de quatre jours et demi. La Seine-Saint-Denis, qui a testé la réforme dans cinq villes* cette année, ne devrait pas faire exception, sauf annonce inattendue du ministère d’ici la fin de l’année scolaire.

C’est bien sur cet infime espoir que se focalisent encore de nombreux élus du département. Certains maires de droite assurent encore, comme un coup de bluff, qu’ils n’appliqueront pas la réforme dans leur ville. D’autres, plus mitigés, comme à Montreuil, précisent qu’ils espèrent obtenir un report in extremis. Preuve de l’opposition à la réforme des rythmes scolaires, assez forte dans le département, ils seront nombreux à manifester ce matin devant la préfecture de Bobigny pour réclamer, a minima, un report d’un an. Une délégation de maires sera d’ailleurs reçue par le directeur académique à 9 heures.

« Je pense que la mobilisation sera suivie, estime Claude Capillon, le maire UMP de Rosny-sous-Bois qui a mobilisé les élus de droite sur ce sujet il y a quelques semaines. Moi, j’ai toujours dit que je n’appliquerai pas cette réforme. Mais je sais qu’il faut tout de même regarder et travailler pour ne pas être pris de cours, au cas où… » Comme lui, la plupart des élus qui tentent encore de maintenir le bras de fer avec l’Etat s’organisent en coulisses. Car ils savent bien qu’ils doivent envoyer leur copie le 6 juin au plus tard à la direction académique. Sinon ? Ce sera à l’Education nationale de trancher à leur place.

« L’idée était de trouver un consensus local à chaque fois, explique-t-on au ministère de l’Education nationale. Mais en aucun cas les maires ne peuvent refuser la mise en pratique de la réforme. » S’ils persistent, le directeur académique décidera lui-même du calendrier des écoliers pour la rentrée de septembre, « au regard de ce qui se fait dans les villes voisines », explique-t-on au ministère. Mais quoi qu’il arrive, les élèves auront des cours tous les matins, du lundi au vendredi. Seule possibilité pour les maires : regrouper les ateliers périscolaires — facultatifs — sur une ou deux demi-journées, l’après-midi, plutôt que de les faire sur une durée plus courte en fin d’après-midi. « Le ministre peut aussi octroyer une dérogation pendant trois ans, à titre expérimental, si le maire propose un autre schéma, précise un proche de Benoît Hamon. Mais il faut que ce projet soit validé. »

Déjà, certains élus, notamment les maires nouvellement élus, ont renoncé à proposer des ateliers périscolaires, trop compliqués à mettre en place d’ici la rentrée. « Nous avons demandé en vain le report d’un an pour ces nouveaux maires qui n’ont que quelques mois pour plancher sur la réforme, dénonce Jean-Christophe Lagarde, le député-maire UDI de Drancy et chef de file de la protestation des élus UDI du département. A Saint-Ouen, Bobigny ou encore au Blanc-Mesnil, les maires se sont retrouvés devant un travail pharamineux. On joue avec nos enfants ! » Lui a finalement décidé de ne pas organiser d’ateliers « pompons, macramés et chorale » qu’il juge « inutiles » pour les enfants.

A la place, les cours de soutien scolaire existants déjà dans certaines écoles seront généralisés pour les CP et les CE 1 de la ville. Quant aux aides de l’Etat (50 € par enfant + 40 € par enfant si la ville perçoit la dotation de solidarité urbaine), il assure qu’elles serviront notamment à ne pas répercuter les heures supplémentaires des agents des écoles pour prendre en charge les enfants entre 8 h 30 et 9 heures le matin. « Mais quoi qu’il arrive, la ville paiera une partie de sa poche », grince-t-il.

* Aubervilliers, Bondy, Romainville, Le Pré-Saint-Gervais et l’Ile-Saint-Denis.

Source : Le Parisien du 24/05/2014

Aulnay-sous-Bois : Opération Collège mort à Debussy après de graves incidents et incendies criminels

Debussy_AulnayAUJOURD’HUI, DES PARENTS d’élèves se sont donné rendez-vous devant le collège Debussy d’Aulnay-sous-Bois et appellent à une journée Collège mort. Ils viennent ainsi soutenir les enseignants, remontés depuis plusieurs jours après une série de graves incidents.

Mardi après-midi, une poignée d’élèves sont entrés dans l’enceinte de l’établissement en sautant par-dessus la grille et ont mis le feu à un arbre proche d’un bâtiment où se trouve l’atelier des Segpa (sections d’enseignement professionnel et adapté) et le dojo de sport. Deux agents du collège ont tenté d’éteindre l’incendie avec des extincteurs mais il a fallu attendre l’arrivée des pompiers pour y parvenir.

Pendant les quarante minutes qui ont été nécessaires pour circonscrire le feu, l’alarme incendie n’a pas fonctionné. Et la direction de l’établissement n’a pas procédé à l’évacuation du bâtiment. « On a appris cet incident à 17 heures, par des bruits de couloirs, explique un enseignant. Pour toute l’équipe, ça a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. »

Le lendemain, les professeurs de ce collège de 700 élèves classé en zone d’éducation prioritaire (ZEP) ont exercé leur droit de retrait. Hier encore, la quasi-totalité des enseignants n’ont pas fait cours et les élèves sont rentrés chez eux.

S’ils sont si mobilisés, c’est parce que les problèmes se sont multipliés ces dernières semaines au collège Debussy. Il y a deux mois déjà, des collégiens ont jeté des pierres dans le dos d’une enseignante. Il y a deux semaines, d’autres ont tenté de mettre le feu dans une salle de sciences de 3 e . Et lundi, les pompiers sont également intervenus devant l’établissement pour éteindre un incendie, au rond-point situé en face du collège. « On se sent en insécurité pour nous mais aussi pour les élèves, poursuit le professeur. Et, surtout, tous ces problèmes sont liés à une mauvaise gestion. Voire à une non-gestion du collège par la direction. »

Vent debout contre la principale du collège, en poste depuis trois ans à Debussy, les professeurs n’y vont pas de main morte et dénoncent des problèmes de communication, un manque de compétence dans la gestion administrative… et demandent le départ pur et simple de la principale.

A la direction académique, on ne tient pas à s’exprimer sur ce point. Mais on reconnaît que la « situation est complexe » et qu’un audit a été diligenté ces dernières semaines au collège pour « tenter de comprendre les différents dysfonctionnements et de trouver des solutions ». Déjà, depuis mardi, une équipe mobile de sécurité (EMS) a été dépêchée sur place pour apaiser les choses, sécuriser le collège et lancer une médiation avec les élèves.

Source et image : Le Parisien du 23/05/2014

PCF Front de Gauche d’Aulnay-sous-Bois : Il faut revenir sur la réforme des rythmes scolaires

rythmes-scolairesAvec l’arrivée d’un nouveau ministre au ministère de l’éducation il existe une opportunité de répondre aux attentes populaires, en portant une refondation de l’école au service de la réussite de tous.

Dès maintenant, le gouvernement peut faire un geste fort pour montrer qu’il a entendu la déception et la colère des enseignants, des parents et de l’ensemble des acteurs de l’éducation. Il faut revenir sur la réforme des rythmes éducatifs imposée par le précédent gouvernement.

Cette réforme ne permet pas de répondre aux aspirations de nos concitoyens à une éducation ambitieuse pour leurs enfants. Cette réforme n’est tout simplement pas une réforme de gauche.

Les collectivités sont confrontées aux difficultés et aux contradictions de cette réforme et Aulnay n’en ai pas épargnée. Malgré l’engagement des habitants de notre commune, des élus, de l’ensemble des acteurs de l’éducation et du loisir éducatif il est impossible de trouver une manière satisfaisante de l’appliquer.

C’est pourquoi bon nombre de maires demandent de ne pas nous en imposer l’application à la rentrée 2014. Le chantier de la réflexion sur les temps éducatifs doit être ré ouvert dans une clarification des spécificités et des fonctions de chaque espace, dans le dialogue et la négociation avec l’ensemble des acteurs concernés.

Au cours d’un conseil municipal fin 2013 nous avions attiré l’attention de l’équipe municipale sur les difficultés liées aux manques de moyens et d’ambitions. Nous attendions un débat ouvert au conseil municipal d’avril et réservions au nom du groupe PCF Front de gauche notre position à la fin du processus de concertation engagée par la précédente municipalité. Ce débat n’a pas eu lieu, le nouveau maire présentant une délibération inacceptable et démagogique.

Nous en sommes convaincus, l’école de la réussite de tous doit se faire durant le temps scolaire obligatoire assuré par l’éducation nationale. C’est la condition de l’égalité sur tout le territoire national. Au contraire, la réforme des rythmes éducatifs proposée, même avec les maigres aménagements de dernières minutes, favorise la territorialisation de l’éducation et porte en elle l’accroissement des inégalités entre les communes et donc entre les enfants du pays. Elle installe la confusion entre les missions du service public d’éducation nationale et celles du périscolaire, la concurrence entre les enseignants et les animateurs, au détriment de la qualité de l’éducation apportée à nos enfants.

Elle prétend œuvrer pour que tous les enfants aient accès à un loisir éducatif de qualité. C’est une belle ambition, mais que cette réforme ne permet en rien de réaliser. Elle fait en effet du temps périscolaire un substitut aux heures d’écoles supprimées par la droite. Or, les loisirs éducatifs sont un domaine spécifique, différent de l’éducation scolaire. Enseignant et animateur sont deux métiers distincts qui ne doivent pas être mis en concurrence.

En outre, sur ce plan du loisir éducatif aussi, la réforme des rythmes entérine les inégalités entre les communes. D’autant qu’elle est imposée à l’heure où les collectivités ont de plus en plus de difficultés à établir leur budget pour faire face aux besoins et aux attentes d’une population touchée par la crise.

A Aulnay, nous agissons et continuerons à agir pour assurer à tous les enfants l’accès à un loisir éducatif de qualité et leur permettre de se construire dans un environnement culturel riche. Pour assurer l’égalité sur tout le territoire, c’est à l’État d’intervenir : à partir de ce que font déjà les communes, construisons ensemble un grand service public national déconcentré du loisir éducatif.

Ce chantier est d’autant plus d’actualité que le nouveau maire d’Aulnay, dès sont premier budget, choisit de restreindre l’accès à la culture pour tous en diminuant les subventions aux équipements culturels et en reportant sine die le festival Aulnay All Blues. Cela ne laisse rien présager de bon pour l’avenir.

Depuis des mois, nous échangeons avec la population sur cette réforme. Nous en retenons trois choses : le grand attachement de nos populations au caractère national de l’éducation scolaire et à la réussite de leurs enfants, leur « non de gauche » à la déstructuration libérale de l’éducation qu’on veut nous imposer, et la richesse de leurs propositions pour construire enfin l’école de la réussite de tous.
Nous formulons le vœu d’être entendus.

Source : communiqué PCF – Front de Gauche d’aulnay-sous-Bois

Rythmes scolaires : nouvelle organisation autorisée dans les écoles primaires

rythmes-scolairesÀ compter de la rentrée scolaire 2014, il sera possible d’expérimenter dans les écoles maternelles et élémentaires, pour une durée de trois ans, certaines adaptations concernant l’organisation des rythmes scolaires. C’est ce qu’indique un décret publié au Journal officiel du jeudi 8 mai 2014.

Les recteurs d’académies pourront autoriser ces adaptations dérogatoires de l’organisation de la semaine scolaire, en permettant :

  • d’alléger la semaine de 24h d’enseignement par réduction de la durée hebdomadaire du temps de classe (ce qui aura pour conséquence d’allonger la durée de l’année scolaire avec le report des heures non effectuées sur les vacances scolaires),
  • de regrouper les activités périscolaires sur une seule après-midi.

D’après le décret, ces possibilités d’expérimentation ne peuvent pas avoir pour effet d’organiser les enseignements :

  • sur moins de 8 demi-journées par semaine (dont au moins 5 matinées),
  • sur plus de 24h hebdomadaires,
  • sur plus de 6h par jour,
  • sur plus de 3h30 par demi-journée.

À noter : ces adaptations ne doivent pas impliquer de réduire ou d’augmenter sur une année scolaire le nombre d’heures d’enseignement.

Article proposé par Annie Neveu