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Un ancien militaire vire manu-militari des squatteurs de son immeuble au Blanc-Mesnil, il est condamné à la prison
Un ancien militaire et sa compagne vivent dans un immeuble du Blanc-Mesnil depuis des années. Cependant, son hall est régulièrement squatté par des jeunes qui font parfois le tapage bien au-delà de 18h, heure du couvre-feu.
Fortement irrité un soir, l’ex militaire descend et confronte 3 jeunes pour qu’ils déguerpissent et laissent la paix aux résidents. L’un des jeunes bandit alors un cutter, qui fait rebrousser chemin au militaire. C’est alors que ce dernier revient avec une arme et tire à deux reprises, à blanc, en direction des fenêtres. Les jeunes s’enfuient, sauf un qui le défie. Mal lui en a pris, le jeune est alors frappé violemment puis déshabillé, en guise d’humiliation.
Le militaire a été interpellé et a été jugé, selon Actu.fr, mardi dernier. Il écopera de 10 mois de prison de 5 avec sursis. Il aura une détention aménagée pour qu’il puisse continuer à travailler. L’histoire ne dit pas si le jeune contrevenant au couvre-feu s’est acquitté de l’amende forfaitaire…
Un ex-militaire à Aulnay-sous-Bois condamné pour détention de matériel de guerre
Un ancien soldat d’un régiment du génie a écopé de 6 mois de prison ferme pour avoir été illégalement en possession de matériel de guerre.
Quand on commet un délit, la discrétion est généralement de mise. Mais cet habitant d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) a, lui, choisi de faire savoir qu’il était en possession de matériel de guerre acquis illégalement. L’homme, âgé de 24 ans, n’a pas pu s’empêcher de se vanter, auprès de ses connaissances, de détenir notamment des grenades à plâtre et des chargeurs de fusils d’assaut…
Une « information » qui a fini par remonter aux oreilles des policiers du commissariat de la ville. Ces derniers sont venus, ce 21 février, frapper à la porte de cet ancien soldat du 6e régiment du génie d’Angers (Maine-et-Loire). La perquisition de son appartement a permis la découverte de trois grenades à plâtre, treize chargeurs de Famas, l’historique fusil-mitrailleur encore en dotation dans l’armée française, approvisionnés de 22 cartouches de calibre 5,56 mm ainsi que d’un détonateur. L’ensemble de ce matériel de guerre a été saisi et placé sous scellés.
Source et article complet : Le Point