Archives de Catégorie: Culture
Coup d’envoi de la saison culturelle… au cœur des Beaudottes à Sevran !
Ce samedi 27 septembre, de 14h à 22h, la Ville donne le top départ de sa nouvelle saison culturelle avec une grande journée festive, familiale et gratuite : animations, spectacles, musique et découvertes vous attendent !
Un choix de lieu symbolique : les Beaudottes, en pleine transformation avec le Nouveau Programme de Rénovation Urbaine et l’arrivée du Grand Paris Express. Pour marquer cette étape clé, l’ouverture de saison s’installe exceptionnellement ici !
Au programme :
- Ateliers créatifs, jeux géants, babyfoot, e-sport, maquillage…
- Expositions de la photographe Sevranaise Kiara et de l’illustratrice Carole Chaix.
- Peinture murale collective et ateliers lecture avec les bibliothèques.
- Maison des projets (14h-17h) : quizz & infos sur la future métamorphose du quartier
- Spectacles :
- 15h30 : Brunette et les 3 ours (conte dès 1 an)
- 16h30 & 18h : Les Tyroliennes (danse aérienne)
- 17h15 & 18h45 : Fanfaraï Street Band (déambulation)
- En soirée (19h-22h) : présentation des temps forts de la saison + concert Pump it up + buffet offert
Réservations (conte & soirée) : 01 49 36 51 75 / billetterie@ville-sevran.fr
Entrée libre, animations gratuites !
Plusieurs auteurs locaux à découvrir à la librairie Folies d’Encre à Aulnay-sous-Bois le 17 septembre
À l’occasion de la rencontre avec Emmanuel Flesch mercredi 17 septembre à 18h30 pour son dernier roman “Quitter Berlioz”, la librairie Folies d’Encre vous propose de découvrir d’autres auteurs locaux dont vous pourrez retrouver les ouvrages à la librairie :
- Emmanuel Flesch, auteur de trois romans aux éditions @calmann.levy : “Le cœur à l’échafaud”, “Gazoline”, et “Quitter Berlioz” (19,90€)
- Amélie Jalliet, autrice du roman “Pavel et Constance” : “Deux ans après le confinement, Pavel se remet mal du décès de sa mère. À cause de sa surdité, il vit isolé dans son HLM de sa cité, avec sa vieille chatte Rosy qui ne lui accorde aucune affection. Constance elle est chanteuse d’opéra, et se perd dans sa relation amoureuse qui ne lui rapporte que des désillusions et à laquelle elle n’arrive pas à mettre un terme.” (18,90€)
- Claire Gaillard, conceptrice du livre “Rush” réalisé à 8 mains : “J’appréhende bouche bée, ce périple impossible que mon stro propose. De la plaine boisée qui nous abrite, se dresse une pente si escarpée que, hormis quelques troncs séculaires, aucune végétation ne vient tacher le gris mélancolique de la pierre. Sur les côtés de ce pic rocheux, des ramifications granitiques éparses offrent un panorama romanesque tout à fait inaccessible.” (25€)
- Nathalie Riou, autrice de quatre romans policiers “Les larmes de verre”, “La perruque”, “Le poignard de cristal”, et “L’assassin fait son cinéma” : “En cette année 1729, Nicolas Humbert, jeune Lorrain de 18 ans s’apprête à quitter sa ville natale de Pont-à-Mousson, ainsi que sa bien-aimée, pour parfaire sa formation de perruquier à Paris. Il y passera une année qui changera pour toujours le reste de sa vie.” (14€)
- Caroline Gayet, herboriste à Aulnay, mais également diététicienne, phytothérapeute, et autrice de plusieurs ouvrages dont le livre “Le grand guide de l’herboristerie pour toute la famille” aux @editionsleduc : “Dans ce guide complet, Caroline Gayet, herboriste, experte en phytothérapie et aromathérapie, vous livre tous ses secrets pour intégrer en toute sécurité les bienfaits des plantes médicinales et des huiles essentielles dans votre quotidien.” (20€)
Exposition « A la découverte des marchés forains de 1897 à nos jours » à Aulnay-sous-Bois
Du 10 au 28 septembre 2025 le CAHRA (Cercle Archéologique Historique Région Aulnay) propose un voyage dans le temps du 19ème siècle à aujourd’hui, à travers l’univers des marchés forains.
Pour l’occasion, le CAHRA invite l’association LES ARTS à exposer diverses œuvres (peintures, photos, bd…) sur le thème des marchés.
Jean-Pierre Joblin y présentera des extraits de son album « Dans les sillons de Gaston Couté » et en particulier de « Le jour du marché » ainsi que diverses illustrations réalisées pour la collection documentaire des éditions Milan « Les Encyclopes ».
À noter que le Cahra exposera des photos exceptionnelles des marchés aulnaysiens dont l’atmosphère sera rendue grâce aux prêts du musée des Métiers de Montfermeil et de collectionneurs particuliers. Ainsi des objets rares jailliront d’un passé plus ou moins proche. Des agrandissements de photos vous plongeront au cœur vibrionnant des marchés. Vous irez de l’étal de la crémière à celui des fruits et primeurs en passant par celui de la mercière… non loin de celui de la fleuriste au son de l’orgue de barbarie…
Lieu : Ferme du Vieux Pays, 30 rue Jacques Duclos à Aulnay-sous-bois – du mercredi au dimanche de 14h à 18h.
Un salon du livre Franco-Berbère à Drancy les 20 et 21 septembre
La ville de Drancy accueillera une nouvelle édition du salon du livre franco-amazigh, le samedi 20 et le dimanche 21 septembre 2025, de 13h à 19h.
Une cinquantaine d’auteurs et d’autrices, dont de nombreux jeunes, présenteront leurs ouvrages qui couvrent de nombreux domaines : contes, romans, bandes dessinées, essais, poésie, histoire, sociologie, théâtre, langues …
Un rendez-vous culturel ouvert à tous les publics…pour faire connaissance avec la richesse et les valeurs du monde berbère.
Lieu :
Centre culturel CBF Drancy
37 Bd Paul Vaillant Couturier
93700 Drancy
Entrée gratuite .
Informations : contact@cbf.fr
Tél. : 07.63.19.66.48
Fermetures estivales pour la bibliothèque Alphonse Daudet et le Médiabus à Aulnay-sous-Bois
Fermetures estivales exceptionnelles de la bibliothèque Alphonse Daudet et du Médiabus !
- La bibliothèque Alphonse Daudet sera exceptionnellement fermée du mardi 5 août au samedi 23 août inclus.
- Le Médiabus sera également fermé au public du mardi 19 août au samedi 30 août inclus.
- Les bibliothèques Elsa Triolet et Dumont restent ouvertes tout l’été aux horaires suivants :
- Mardi : 14h00 – 17h00
- Mercredi : 10h00 – 12h00 / 14h00 – 17h00
- Vendredi : 14h00 – 17h00
- Samedi : 10h00 – 12h00 / 14h00 – 17h00
N’hésitez pas à venir profiter de ces espaces de lecture et de détente tout au long de la saison !
Quand on entend le mot « culture » à Aulnay-sous-Bois, on sort…
Ce n’est rien qu’une histoire triste, car si c’était vrai, ce serait à pleurer.
Imaginez une île, grande comme la 50e ville de France. C’est une île pauvre, très pauvre.
Elle porte des (re)vêtements pleins de trous, que l’on raccommode comme on peut. Ici les trous sont vraiment vicieux, ils reviennent tout le temps.
L’île n’est pas bien propre, car il n’y a pas d’argent.
Les services sociaux, il vaut mieux oublier, car il n’y a pas d’argent.
Pas non plus d’ « exception culturelle » : pas d’argent pour les bibliothèques, elles ont déjà bien assez de livres de CD et de DVD. La bibliothèque principale, hébergée dans la maison d’un curé bienfaiteur, est fermée la moitié du temps. On est trop pauvre pour même imaginer la construction d’une médiathèque.
Pas de salle des fêtes, on se retrouve dans un gymnase des années 30, et pas de maison des associations. Les salles où elles se réunissent donnent l’impression d’avoir le même âge, la peinture s’écaille et les traces de moisi s’obstinent.
Vraiment, l’île est bien triste, au point que l’on s’est dit que le syndicat d’initiative, peut-être trop dynamique, était superflu.
Et pourtant, autrefois, c’était différent. On avait agrandi la bibliothèque, construit un centre culturel, un conservatoire, une école d’art, et une salle de concert dans le nord de l’île. Mais il n’y plus d’argent. Une année, on donne un coup de peinture, l’année suivante, on remplace quelques fauteuils.
Il y avait un bel équipement moderne le long du chemin de fer, avec un joli nom en « o », mais tout a été complètement rasé car comme dans toute île, il y a des cyclones, très nombreux, qui mettent par terre les belles vieilles maisons et leurs inutiles jardins.
Parfois, on en trouve, de l’argent, en vendant ce qu’on peut. Il y avait un beau terrain dédié à une association canine qui n’avait que 400 adhérents. On le récupère pour faire une « zone d’activités », et avec l’argent, on construit pour la cacher un bel équipement, torride en été, c’est normal pour une île. Ou on récupère une vieille ferme dans le sud, mais on fait les choses sérieusement : on mène des études qui durent des années pour se rendre compte qu’il faut abattre la plus grande partie des bâtiments, et on fait alterner les périodes de travaux avec des pauses de plusieurs mois pour être sûr que ça tient bien.
L’important c’est que ce soit prêt pour les prochaines élections.
Il y a une autre grosse ferme plus au nord, aménagée il y a bien longtemps pour les associations. Dans la grange la plus grande, il y a une dizaine d’années, on a fait une exposition sur la guerre 14-18. Les murs lépreux et les charpentes poussiéreuses collaient bien avec le thème, mais depuis, on est toujours en 14-18.
Dans l’île, il y a des artistes, mais l’île est trop pauvre pour leur offrir un lieu d’exposition.
Il y avait une demeure historique, déjà bien modeste pour une si grande île, au point qu’il n’y a jamais eu de panneau pour guider vers elle les visiteurs, mais elle a en partie brûlé, il y deux ans. Pas d’argent pour la réparer. Plus de lieu d’exposition pour l’école d’art.
Qu’à cela ne tienne, on va leur monter un barnum, dans un coin près du centre culturel.
Dans d’autres îles, on a proposé aux artistes d’exposer dans des locaux commerciaux vacants. Un pouvoir qui pense qu’il a une responsabilité envers les enseignants de l’école d’art, les citoyens et leurs enfants qui s’initient aux arts aurait agi ainsi, dignement, avec respect. Mais la population est affamée, et c’est cela la priorité : la nourrir, en ouvrant le maximum de commerces de bouche, et se faire côtoyer les « coffee shop » et les marchands de champignons. La culture, c’est du luxe pour les snobs.
Autrefois, il y avait un festival de musique au centre culturel, de grandes expositions et même des concerts classiques dans la mairie. Maintenant, la « maison commune » est bouclée, question de sécurité. Et c’était vraiment ridicule de dépenser tant d’argent pour des futilités. Il vaut bien mieux mettre le peu qu’on a dans l’aménagement du « Boulevard des commerces de bouche ».
On s’étonnera peut être de voir Aulnay Environnement s’amuser à raconter des fables, mais comme on dit, MIEUX VAUT EN RIRE QU’EN PLEURER.
Source : association Aulnay Environnement
Hommage aux lanceurs d’alerte de l’usine d’amiante d’Aulnay-sous-Bois avec du théâtre
Comment, sans avoir travaillé dans un environnement amianté, le frère de Nicole a-t-il pu mourir d’un cancer de l’amiante ? Nicole et Gérard, le couple Voide, suivent la piste d’une ancienne usine d’amiante située à proximité de leur école primaire et du domicile familial. Après des années d’enquête, rejoints par des associations et de multiples autres participants de divers horizons, ils constituent un dossier solide, déposent plainte et mobilisent les habitant·e·s du quartier pour dénoncer un empoisonnement environnemental d’envergure. « Une pièce forte sur un combat de plus de 30 ans, où se mêlent émotions, reconnaissance et humour. »
«Une pièce attachante et forte autour de l’amiante… et pourtant, on rit »
Jeudi 19 juin 2025 à partir de 19h30, entrée libre, participation aux frais au chapeau
Salle Dumont, Parc Dumont, face à la gare RER d’Aulnay-sous-Bois
Échanges avec l’équipe de la pièce après le spectacle et partage du verre de l’amitié.
Place à la musique à Aulnay-sous-Bois pour accueillir l’été !
Laissez-vous emporter par le rythme de la musique les vendredis 13 juin et 4 juillet à 19h30 sur la place du Général Leclerc.
En famille ou entre amis, venez danser et chanter tout au long de la soirée dans une ambiance festive et conviviale !
- Vendredi 13 juin : LUCIANO AND THE CLOUDS
- Vendredi 4 juillet : ROCK OF FAME







