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Aulnay-sous-Bois : du cannabis retrouvé à l’école Louis Aragon
Deux sachets de cannabis ont été retrouvés ce jeudi matin près de l’entrée de l’école élémentaire Louis-Aragon, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). C’est ce qu’annonce le maire UMP Bruno Beschizza, qui, plutôt que de déposer plainte, a choisi d’avertir directement le préfet Philippe Galli, à ce sujet.
Article complet à retrouver ici (Le Parisien)
Trafic de drogue au Gros Saule à Aulnay-sous-Bois : 7,3 kg de cannabis et 28 000 euros saisis
Pas moins de 7,3 kg de résine de cannabis ainsi que 28 000 EUR en liquide ont été saisis, hier midi, dans un appartement de la cité du Gros-Saule, à Aulnay. Depuis plusieurs semaines, les enquêteurs du commissariat pistaient l’occupant de ce logement, soupçonné d’être un des acteurs d’un trafic de stupéfiants. Il a été arrêté hier et placé en garde à vue. Un des revendeurs présumés a également été interpellé et placé en garde à vue. L’enquête se poursuit.
Source : Le Parisien
Alcool, cannabis : les entreprises réagissent
Les pratiques addictives, facteurs aggravant le risque d’accident, sont devenues l’affaire des entreprises. Pas toujours simple tant la frontière est ténue entre vie professionnelle et vie privée.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. D’après une étude de l’Inpes (1) de 2012 sur les consommations de substances psychoactives en milieu professionnel, le BTP arrive en tête pour l’alcool. Ainsi, 32,7 % des actifs du secteur boivent six verres ou plus, lors d’une même occasion, au moins une fois par mois. Contre 19,2 % des actifs tous secteurs confondus. Certes, trinquer est une tradition dans le BTP. « Les événements à fêter ne manquent pas : première pierre, réception du chantier, signature du contrat, départ à la retraite… », admet Fabrice Leoni, directeur prévention santé sécurité de Bouygues Entreprises France-Europe. Mais à en croire un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) de juillet 2013, le travail en plein air, les postures pénibles et le port de charges lourdes favoriseraient la consommation d’alcool au travail. L’usage du cannabis s’avère également plus fréquent dans la construction (13 %) qu’ailleurs, si l’on excepte le secteur des spectacles (16,6 %).
De nouveaux cannabinoïdes de synthèse
« Or ces dernières années ont vu l’avènement de nouveaux cannabinoïdes de synthèse », alerte Jean-Pierre Goullé, professeur de toxicologie à l’université de Rouen. Avec de graves conséquences sanitaires. La consommation de ces nouvelles substances, devenues très puissantes, peut désormais provoquer le décès par surdose. « Contrairement aux idées reçues, le cannabis n’est pas une drogue douce ! D’où la nécessité d’informer les salariés de ces dangers. » Le plus tôt possible. « Nous nous efforçons ainsi de sensibiliser nos apprentis dès leur journée d’accueil : ils sont bien plus concernés car, moins lucides sur ses effets, ils sous-estiment les risques sur le chantier », rapporte Céline Pomathiod, DRH du groupe de BTP Floriot. La prise de médicaments peut également poser problème. « Certains d’entre eux peuvent provoquer, sur le terrain, des risques similaires à d’autres substances comme la somnolence et la baisse de vigilance », relève Hugues Decoudun, directeur prévention chez Colas. « En nous penchant sur le sujet des addictions, en 2008, nous nous sommes aperçus que la prise d’une substance de type alcool ou drogue était impliquée dans presque 100 % de nos accidents mortels », témoigne de son côté Fabrice Leoni. Sujet certes délicat pour son lien avec la vie privée, le phénomène des conduites addictives regarde le chef d’entreprise, tenu d’une obligation de résultat en matière de santé et de sécurité. Mais face à la complexité du sujet, l’employeur peut se sentir démuni. Colas a ainsi distribué une « boîte à outils » à ses chefs d’agence : rappel de leurs droits et devoirs, outils de sensibilisation, informations sur les formations disponibles, etc. Pour éviter la prise de poste sous l’emprise d’une substance psychoactive, certaines entreprises recourent au dépistage. Mais la question reste posée de la nature du test salivaire, destiné à révéler l’imprégnation au cannabis : simple test ou acte biologique nécessitant le concours d’un professionnel de santé ? La Direction générale du travail recommande en tout cas l’intervention de la médecine du travail. Pas si simple, pour Hugues Decoudun. « Cela met les médecins dans une position délicate. Nous revendiquons d’ailleurs, pour nos salariés travaillant sur la voie publique ou dans des conditions dangereuses, les mêmes moyens de contrôle préventif en matière de drogue que les entreprises de transport public. »
Déceler les attitudes « à risque »
Les relais managériaux jouent par ailleurs un rôle essentiel pour donner l’alerte. C’est pourquoi le groupe Ramery a proposé à ses chefs de chantier et conducteurs de travaux des formations pour les aider à détecter les comportements anormaux. GTM Bâtiment, de son côté, ne procède pas aux tests de dépistage. « Nous préférons la sensibilisation », assure sa DRH, Sylvie Lloret, qui note « un changement de comportement par rapport à la consommation d’alcool » depuis le lancement de la démarche, en 2009. L’entreprise propose aussi des prises en charge aux salariés en difficulté avec l’appui d’un cabinet spécialisé. Sur trois essais, « deux belles réussites ». « Mais nous souhaiterions plus de fluidité dans les remontées d’information pour déclencher l’aide. » Solidarité dans les équipes oblige, il est souvent difficile de « faire tomber l’omerta ». Et quid des intérimaires ? Dans le cadre d’un accord sur la prévention signé avec Bouygues Construction en 2011, trois majors du travail temporaire se sont engagées à renforcer la sécurité de leurs personnels, notamment la prévention des comportements addictifs. « D’après l’Inpes, 25 à 30 % des compagnons intérimaires âgés de moins de 30 ans sont concernés par les conduites addictives », pointe Fabrice Leoni. Chaque intérimaire est ainsi informé qu’il peut faire l’objet d’un test. « Reste la question de l’addiction au travail ou workaholisme », soulève Michel Ledoux, avocat. On peut déduire d’une jurisprudence récente, notamment dans une affaire concernant un cadre victime d’un malaise cardiaque, qui travaillait 71 heures par semaine, que l’employeur ne doit pas se contenter de contrôler la charge de travail de son salarié. « Il doit aussi le protéger contre lui-même ! »
Source : Le Moniteur
218 plants de cannabis et un pistolet saisis à Sevran !
Trois hommes ont été interpellés et placés en garde à vue, mercredi, après la découverte de 218 plants de cannabis, de matériel de culture et d’un pistolet semi-automatique à Sevran, Seine-Saint-Denis, a-t-on appris de sources concordantes.
Agés de 32 à 40 ans, les trois individus ont été interpellés au petit matin dans l’appartement où a eu lieu la saisie. Originaires de Livry-Gargan et d’Aulnay-sous-Bois, ils étaient visés par une enquête de la police, informée qu’une « importante livraison de terreau, nécessaire à la culture du cannabis, devait avoir lieu dans un hangar », a précisé une source proche de l’enquête.
Selon la même source, des pièces automobiles et plus de 2.400 euros ont également été saisis sur les lieux.
Source : BFM TV
Médicaments : première autorisation pour un usage thérapeutique du cannabis
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) vient d’autoriser, le 8 janvier 2014, la mise sur le marché du Sativex®. Ce médicament, à base de cannabis, est utilisé chez certains patients atteints de sclérose en plaques.
Un décret publié au Journal officiel du 7 juin 2013 permet en effet à l’ANSM d’octroyer désormais une autorisation de mise sur le marché (AMM) à des spécialités pharmaceutiques à base de cannabis ou de ses dérivés.
L’AMM constitue un préalable obligatoire à toute possibilité de commercialisation d’une spécialité pharmaceutique.
2,5 kilos de Cannabis saisis hier à Saint-Denis
Un homme est parti en courant, hier, à l’approche de plusieurs policiers, rue du Pont-Godet à Saint-Denis. Dans sa fuite, il s’est débarrassé de plusieurs sachets contenant de la drogue et a réussi à se réfugier dans un appartement. Les policiers ont récupéré plus de 2,5 kg de cannabis. Le fuyard, lui, n’a pas été retrouvé.
Source : Le Parisien du 28/12/2013
5,7 kg de résine de Cannabis et de l’herbe saisis à Aulnay-sous-Bois
Hier, au terme de plusieurs jours de surveillance, les policiers du commissariat d’Aulnay-sous-Bois ont interpellé trois dealeurs présumés rue de Chanzy. Tous trois ont été placés en garde à vue. Lors de leurs perquisitions, ils ont saisi 5,765 kg de résine de cannabis et 310 d’herbe dans un pavillon qui servait de lieu de stockage de la drogue.
Source : Le Parisien du 19/12/2013
Aulnay-sous-Bois : Un dealeur d’herbe et cannabis arrêté cité de l’Europe hier !
Hier, vers 13h20, alors que les policiers d’Aulnay se trouvaient aux abords d’un immeuble situé 11, rue de Madrid, où ils suspectaient l’existence d’un trafic de stupéfiants, ils ont repéré un jeune homme qui fumait du cannabis. Les agents l’ont interpellé et les perquisitions menées à son domicile ont permis de découvrir 14 sachets de cannabis, et 20 sachets d’herbe de cannabis, soit 3,3 kg au total, ainsi que du matériel de conditionnement. Le dealeur présumé a été placé en garde à vue.
Source : Le Parisien du 13/11/2013
Aulnay-sous-Bois quartier 3000 : interpellé alors qu’il chargeait 7 kg de cannabis dans son coffre
L’audace était peut-être un peu outrancière. Un homme s’est fait interpeller ce lundi après-midi, à la Rose des Vents à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) alors qu’il chargeait de la drogue dans son coffre. Il ne se savait sans doute pas repéré par un équipage de brigade anticriminalité (Bac).
En voyant cet homme charger des cartons dans son coffre, les policiers ont voulu en avoir le cœur net.
L’odeur qui se dégageait des colis laissait peu de doute quant à leur contenu. Plus de 4,5 kg de résine de cannabis et 2,5 kg d’herbe ont été découverts et saisis. L’homme a été placé en garde à vue.
Source : Le Parisien du 04/11/2013
Cannabis et fusils à pompe à Saint-Denis
Lundi soir la police de Saint-Denis a trouvé dans une cave de la rue Jean-Lurcat qu’elle surveillait depuis plusieurs jours 400 g de résine de cannabis mais aussi deux fusils à pompe de calibre 12 et un fusil de chasse ainsi que les munitions correspondantes. Un homme a été interpellé.
Source : Le Parisien du 07/08/2013