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Un haut fonctionnaire de Seine-Saint-Denis risque 18 mois de suspension pour du harcèlement sexuel

Il est toujours en poste. Et l’ambiance à l’hôtel de police est pour le moins pesante. Un haut fonctionnaire responsable de la gestion opérationnelle des policiers de Seine-Saint-Denis risque 18 mois de suspension, dont neuf ferme, dans le cadre d’une affaire de harcèlement sexuel sur son lieu de travail. C’est du moins, selon nos informations, la peine que vient de réclamer le conseil de discipline.

L’Inspection générale de la police nationale, chargée de l’enquête, avait pourtant proposé dans un premier temps une sanction nettement plus clémente : trois jours d’exclusion temporaire et un stage de management, d’après le Canard Enchaîné. La décision finale sera prise par le ministère de l’Intérieur, précise une source policière.

L’affaire, révélée par le Point, remonte à deux ans. Une policière et une attachée de police font un signalement auprès de la cellule d’écoute « Signal-Discri », une plate-forme créée en 2017 pour que les agents puissent dénoncer les faits de discrimination et de harcèlement dont ils sont eux-mêmes victimes. Les deux femmes évoquent des « gestes déplacés » de la part de leur supérieur. L’intéressé n’est pas policier mais cadre du ministère de l’Intérieur. Peu importe, le patron de la direction territoriale de l’époque exige un rapport. Une enquête est ouverte.

Source et article complet : Le Parisien

Tentative de suicide, harcèlement sexuel et harcèlement moral chez les communaux d’Aulnay-sous-Bois ?

CHSCT FO quitte la salleLES ÉLUS CHSCT / FO HAUSSENT LE TON ET QUITTENT LA SALLE !!

Lors de la réunion plénière du CHSCT du 9 mars 2016, la délégation des élus FO a vivement interpellée les représentants de l’autorité territoriale sur différents sujets : 

  • Les différentes alertes sans réponse !
    • Tentative de suicide
    • harcèlement sexuel
    • Harcèlement
    • Mal-être du personnel des crèches.
    • Enquête CHSCT inachevée.
    • Rapport d’enquête CHSCT ne reflétant pas la réalité (service documentation).
    • Courrier d’alerte de la médecine professionnelle resté sans suite depuis plusieurs mois (service médiation).

En réponse : on déplace les responsables !!!!  Donc on déplace le problème sans trouver les solutions…

  • Enquête administrative au service doc !
    • En réponse : Refusé !!!
    • Pas de notre compétence…
  • La présidente déclare que nos demandes ne font pas partie des compétences du CHSCT !!!

FAUX !!!  POUR FO MAIS TOUT EST LIÉ AVEC LES RISQUES PSYCO SOCIAUX !!

  • Les élus CHSCT / FO  demandent le remplacement rapide de la psychologue du travail qui est malade depuis plus de six mois. Et demande un deuxième poste de psy du travail !

Face à nos nombreuses interventions, les représentants de l’autorité ont décidé de couper court à la discussion.

Face à ce refus d’entendre, une partie de la délégation FO a quitté la séance !!

Notre syndicat qui est majoritaire (14 élus sur 20) n’a pas pour habitude de pratiquer « la politique de la chaise vide », c’est pourquoi pour ne pas bloquer le fonctionnement du CHSCT et continuer à défendre les intérêts des agents sur les autres sujets, une autre partie de la délégation est restée jusqu’à la fin de la séance. 

AUJOURD’HUI FO TIRE LA SONNETTE D’ALARME !!

L’autorité territoriale doit se reprendre et faire en sorte que le travail du CHSCT soit constructif et se fasse dans un dialogue social serein !!!

Notre représentation (14 élus) est le résultat des élections et de la confiance que nous témoigne l’ensemble du personnel, Il n’est donc pas question pour nous d’accepter d’être traité de la sorte !!!! 

FO demande à être reçu dans les plus brefs délais pour trouver ensemble un mode de fonctionnement qui convienne à tous… 

Source : communiqué FO Communaux d’Aulnay-sous-Bois

Après les attouchements dans une école d’Aulnay-sous-Bois, le papa de la fillette dénonce une « agression sexuelle »

ecole-maternelle1Le père de la fillette qui a été abordé par un garçon de 6 ans, pantalon baissé et sexe devant sa bouche, a qualifié les événements du 8 janvier comme une agression sexuelle. Le garçon avait été pris en flagrant délit par un agent territorial spécialisé des écoles maternelles. Il s’était introduit discrètement dans la cabine des toilettes où la jeune fille de 5 ans faisait ses besoins.

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