Ferme du Vieux-Pays
30 rue Jacques Duclos
Téléphone : 01 48 79 63 38
Horaires d’ouverture : du lundi au vendredi de 9h à 12h (sauf le jeudi) et de 13h30 à 17h30
Source: site officiel de la ville d’Aulnay
Emmanuel Macron est attendu aux alentours de 10h30 à Stains. Il sera accompagné d’Elisabeth Borne, la ministre du Travail, et de Sarah El Hairy, la Secrétaire d’Etat à la jeunesse, four inaugurer officiellement les locaux de «L’industreet».
Emmanuel Macron arrive avec plusieurs propositions visant à promouvoir l’emploi et la formation pour la jeunesse. Le gouvernement lance ce lundi une véritable bourse aux stages avec 30 000 offres proposées dans toute la France. Cette plateforme, 1jeune1solution.fr, vise à aider les jeunes diplômées à trouver leur premier emploi. En enveloppe de 6,7 milliards d’euros est consacrée pour la jeunesse afin de relancer les perspectives et ne pas laisser cette frange de la population sur le carreau.
700 000 jeunes arrivent sur le marché du travail et si la plateforme ne propose qu’un peu plus de 10 000 offres, Emmanuel Macron espère pouvoir relancer la machine grippée par une pandémie jamais connue depuis le début des années 1920s. Pour Emmanuel Macron, c’est aussi le début de la campagne des présidentielles 2022. S’il est le grand favori, sa rivale Marine Lepen (RN) commence à lui faire de l’ombre.
Face à la précarité des moins de 30 ans, leurs difficultés à se projeter vers l’avenir et leur détresse psychologique organisons une soirée-débat en direct pour échanger et tenter de trouver des solutions à la hauteur de leurs souffrances. Elle se tiendra jeudi 25 février à 19h , sur la page Facebook des élus Aulnay En Commun.
Source : Les élu.e.s Aulnay en Commun
Vous avez entre 16 et 20 ans et vous souhaitez adhérer au conseil municipal des jeunes à Aulnay-sous-Bois ? Vous pouvez tenter votre chance et vous inscrire ici.
Si ce conseil municipal n’a aucun pouvoir et est un bon moyen pour la municipalité de dresser un bilan positif de ses actions, cela peut vous permettre de mieux comprendre le fonctionnement et la lecture des délibérations.
Dès demain, 4 espaces de coworking sont mis en place pour les lycéens et étudiants isolés qui suivent leurs cours en distanciel. Pour rompre l’isolement, ces espaces seront ouverts tous les jours du mardi au vendredi de 10h à 16h.
Dès demain, la Ville d’Aulnay-sous-Bois met en effet à la disposition des lycéens et des étudiants des espaces de travail partagés en libre accès dans les antennes jeunesse.
Pour en savoir, cliquer ici.
Zaineb se dit révoltée après que son garçon de 7 ans, handicapé, a été exclu de l’école au motif qu’il cracherait sur les autres élèves… Elle dénonce un défaut de prise en charge de son enfant.
C’est le combat d’une maman contre la décision « injuste » d’une école. Laquelle, de son côté, assure qu’elle fait « tout ce qu’elle peut ». Au cœur des tensions : Ilyès, 7 ans, un petit garçon atteint d’autisme « à un degré sévère », précise Zaineb, sa mère. Le 8 décembre, il a été exclu — temporairement — de son école d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Fait « rarissime », confirment les autorités éducatives : selon elles, le garçonnet, dispensé de masque à cause de sa pathologie, cracherait sur les autres.
Une « injustice sur fond de crise du Covid-19 », jure sa mère, qui « soulève le problème de la prise en charge des autistes dans les écoles traditionnelles ». Elle affirme que « rien » n’a été fait pour empêcher de « mettre son fils en échec ».
« Fin octobre, j’ai été prévenue que mon fils présentait des problèmes d’apprentissage et de comportement. Soit. J’ai proposé des solutions, comme expliquer à la maîtresse qu’il fallait travailler avec des renforçateurs (NDLR : un objet utilisé comme stimulus). J’ai même proposé d’être moi-même l’auxiliaire de vie scolaire (AVS) de mon fils ! Mais tout a été refusé », développe-t-elle.
Une décision qui surprend et choque la mère de famille
Un mois plus tard, une nouvelle réunion est organisée, début décembre. Cette fois-ci, pour lui expliquer que son fils, qui ne porte pas de masque par dérogation médicale, cracherait sur les autres enfants.
Etrange, selon Zaineb. « Aucun des professionnels, psychologue et orthophoniste, qui voient mon fils n’ont eu affaire à ça. Mais si c’est exact, c’est que cela traduit une mauvaise prise en charge », tacle encore Zaineb. Qui propose alors de fournir un plexiglas à installer autour de la table de son fils, et de mettre en place une distanciation sociale lors de la récréation. Rien n’y fait : « Ils refusent tout ! »
Une semaine plus tard, on lui signifie l’exclusion de son fils jusqu’aux vacances de Noël. D’abord à l’oral, « sur un ton menaçant », regrette-t-elle, puis par écrit, mardi 8 décembre.
Source, image et article complet : Le Parisien
Six jeunes vont pouvoir suivre des cours dans leur propre classe, tout en partageant des temps de vie scolaire avec les autres élèves.
En passant devant la classe, on ne remarque pas tout de suite la différence. Il faut y pénétrer pour voir les changements, comme ces bureaux individualisés placés contre les murs, afin de permettre aux enfants de travailler au calme, et de limiter leurs stimuli sensoriels. Ou cette table ronde autour de laquelle ils peuvent réfléchir en groupe.
Ce lundi matin, Boubakar, Adam, Rafi et leurs camarades ont fait leur rentrée en 6e au collège Le Parc d’Aulnay-sous-Bois. Ils intègrent la première Unité d’enseignement externalisée pour enfants souffrant de troubles du spectre autistique (UEEA) ouverte en France dans l’enseignement secondaire.
Cantine et récréation avec les autres élèves
Grâce à ce dispositif, ces six adolescents vont pouvoir suivre leur scolarité dans un collège classique. Si le conseil départemental de Seine-Saint-Denis a réalisé quelques aménagements pour qu’ils aient leurs propres locaux, ils partageront leur repas à la cantine et leur récréation avec les autres élèves.
Source et article complet : Le Parisien