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L’acteur Forest Whitaker va investir dans la jeunesse de Seine-Saint-Denis pour lutter contre la pauvreté
L’acteur américain Forest Whitaker va investir… en Seine-Saint-Denis ! Ce dernier entend aider les jeunes à se former « aux techniques de médiation, de résolution de conflit et à l’entrepreneuriat », a-t-on appris jeudi auprès de son ONG, en marge du Forum de Paris sur la Paix.
Envoyé spécial de l’Unesco pour la paix et la réconciliation depuis 2014, Forest Whitaker est également le fondateur et président de la Whitaker Peace and Development Initiative (WPDI), une ONG créée en 2012 qui finance des projets éducatifs pour les jeunes vivant dans des régions touchées par la violence ou les conflits : Soudan du Sud, Ouganda, Mexique, États-Unis, Afrique du Sud… Et désormais en France.
Source et article complet : Le Parisien
Plus de 600 éducateurs et médiateurs au secours des jeunes dont plusieurs à Aulnay-sous-Bois
Le ministère de la Ville annonce l’embauche en juillet puis octobre de 300 médiateurs et 300 éducateurs spécialisés pour 45 quartiers prioritaires. « Sous-dimensionné », répondent des acteurs de terrain.
« Mettre du bleu partout dans les quartiers, et des coups de matraque, ce n’est pas suffisant ! » Au ministère de la Ville, on l’assure : le mieux aller des quartiers populaires ne passe pas uniquement par la répression. A la place : de l’humain au contact des jeunes qui tiennent les murs. 600 « adultes-relais » vont être embauchés et déployés dans 45 quartiers prioritaires (QPV). Dans le détail : 300 médiateurs et 300 éducateurs spécialisés. Les premiers seront recrutés à Echirolles (Isère) en mai, 300 autres d’ici le 14 juillet, et le reste, en octobre. Une mesure à 26 millions d’euros pour 2021-2022.
Ce dispositif avait été annoncé par le Premier ministre Jean Castex lors du comité interministériel des villes (CIV) à Grigny (Essonne) fin janvier. Le gouvernement avait promis 3,3 milliards d’euros pour la banlieue, dont 2 milliards d’euros pour la rénovation urbaine. Un énième plan Marshall ? « Ces adultes-relais massivement embauchés sous l’impulsion de Nadia Hai montrent que la promesse se veut concrète », insiste-t-on au cabinet de la ministre. Les 45 quartiers sélectionnés, soient 900 000 habitants concernés, l’ont été selon différents critères sociologiques : une famille sur cinq monoparentale, un jeune sur six de moins de 26 ans au chômage, une famille sur deux vivant sous le seuil de pauvreté.
Chacun aura son rôle : les médiateurs seront mobilisés « dans les halls », « en bas des bâtiments », « tard le soir ou le week-end », détaille Mourad Remili, chargé du projet auprès de Nadia Hai. Ils seront financés à hauteur de 20 000 euros par an par l’Etat, et embauchés par les collectivités ou les associations dédiées. Quant aux éducateurs spécialisés, charge à eux de faire revenir les jeunes dans le giron scolaire, de l’emploi, en les orientant notamment. « Ils seront payés entièrement par l’Etat », précise-t-on avenue de Ségur. Dans les deux cas, ils signeront un contrat de trois ans.
Comment mesurer leur impact ? « Tous les trois mois, six, ou neuf mois, nous évaluerons différents indicateurs comme le taux de décrochage scolaire, le taux de délinquance, le chômage, au regard de quartiers comparables », détaille le Ministère. Aujourd’hui, on estime à 3000 le nombre de médiateurs en France, un chiffre en baisse depuis 20 ans.
«Les promesses du gouvernement, je les juge sur pièce»
Qu’en disent les concernés ? « Les promesses du gouvernement, je les juge sur pièce », résume Mehdi, trentenaire d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), considéré comme un « repère » par les plus jeunes. Pour lui, « les quartiers sont trop souvent le moyen de se refaire une beauté à bon compte » pour les politiques. S’il juge que « l’humain, c’est toujours une bonne idée », Mehdi veut aussi surtout qu’on « donne du travail » aux jeunes, « des remplaçants pour les profs », et qu’on « condamne sans tortiller les policiers auteurs de violences ». Car dans ces quartiers difficiles, les services publics sont en recul. A titre d’exemple, en 2018, un rapport parlementaire pointait la Seine-Saint-Denis comme moins bien dotée en matière d’école, de justice et de police.
Les rencontres de la réussite pour les 16-25 ans sur les jeux vidéos à Aulnay-sous-Bois
Dans la continuité du « Bus de la réussite », la ville propose les « Rencontres de la réussite » afin de répondre aux besoins d’informations des 16-25 ans sur des domaines d’activités spécifiques et porteurs.
Une occasion de découvrir de nouveaux métiers, des formations ou de candidater à des stages ou emplois grâce à ces rencontres organisées avec de nombreux partenaires locaux (Fnac, Darty, UGC, etc.).
Dates des rencontres
- 24 mars 2021 « Le monde du Gaming »
Panorama des métiers du jeu vidéo
À l’Espace Jules Verne de 14h à 18h - 28 avril 2021 « Boxe et Réussite »
Parcours de champions et d’entrepreneurs
À la Rose-des-Vents de 14h à 18h - 26 mai 2021 « Confiance en soi et Éloquence »
Estime de soi et valorisation au travail
À Mitry de 14h à 18h - 23 Juin 2021 « Métiers du Cinéma »
À UGC O’Parinor de 14h à 18h
Attention : ce calendrier est prévisionnel, il susceptible d’être modifié en fonction de l’évolution de la crise sanitaire.
Informations et inscriptions
Source : site de la ville d’Aulnay-sous-Bois
Aulnay-sous-Bois s’engage auprès de sa jeunesse
Dès demain, 4 espaces de coworking sont mis en place pour les lycéens et étudiants isolés qui suivent leurs cours en distanciel. Pour rompre l’isolement, ces espaces seront ouverts tous les jours du mardi au vendredi de 10h à 16h.
Dès demain, la Ville d’Aulnay-sous-Bois met en effet à la disposition des lycéens et des étudiants des espaces de travail partagés en libre accès dans les antennes jeunesse.
Pour en savoir, cliquer ici.
Jeunes de banlieue et ambitieux à Aulnay-sous-Bois
Une centaine de jeunes de 14 à 22 ans ont participé à la dictée organisée par l’association la Nouvelle ambition, ce dimanche.
Confiance en soi et réussite professionnelle : voilà les deux priorités de la Nouvelle ambition. En organisant, ce dimanche, une dictée et des tests de logique – auxquels ont participé une centaine de jeunes de 14 à 22 ans – les membres de l’association d’Aulnay-sous-Bois souhaitent travailler sur la question de l’autocensure. Elle est, pensent-ils, particulièrement active dans les territoires périphériques.
« Il y a des jeunes qui se victimisent, qui pensent être voués à l’échec parce qu’ils viennent de banlieue, constate Anis Kaaroud, président de l’association. Mais penser ça, c’est être dans le négatif avant même de commencer sa vie ! On entend : même si je fais bac + 5, je vais être au chômage. Non, ce n’est pas vrai ! On manque d’ambition. »
Liberté de penser
Hamza, 20 ans, a fait sien cet état d’esprit. Etudiant en informatique à l’université Paris-XIII-Villetaneuse, il souhaite s’orienter vers la sécurité informatique ou la finance. Venu pour « évaluer son niveau de langue », il dit avoir, depuis quelques années, fait un travail sur lui pour acquérir une liberté de penser.
« Avant, je me fixais énormément de limites. Je me disais : je ne peux pas porter ça parce que ça ne me va pas. Je ne vais pas faire de basket, c’est pour les gens grands. Je ne vais pas faire de danse, c’est pour les filles etc., raconte le jeune homme. Et puis j’ai appris à oser. J’ai rencontré des personnes qui m’ont appris à casser les stéréotypes, à faire ce qui me plaisait et pas ce que la société voulait que je fasse. »
Source et article complet : Le Parisien
Des images contre les stéréotypes : le prix « Jeunesse pour l’égalité » est lancé
Un garçon, ça aime décider. Par contre les filles sont dociles par nature. Etre handicapé et sportif de haut niveau, c’est impossible. Les étrangers réussissent moins bien que les autres à l’école. Quand on est fille ou fils d’ouvriers, on n’est pas fait pour être ingénieur…Vous en avez assez des clichés ?
Alors à vos caméras, appareils photo, téléphones, ordinateurs… ! L’Observatoire des inégalités lance la deuxième édition du prix « Jeunesse pour l’égalité », un concours de communication visuelle (vidéos, photos, animations web, affiches…) pour vous donner la parole sur les inégalités et les discriminations. Quels sont les préjugés qui vous choquent ? Que trouvez-vous juste ou injuste ? Des filles aux garçons, des ouvriers aux grands patrons, des étrangers aux français, en passant par les homosexuels, les handicapés, les SDF… les stéréotypes sont nombreux.
Partez en campagne contre les idées reçues qui véhiculent les inégalités et les discriminations !
Comment ça marche ?
Pas besoin d’être un pro pour participer. Il suffit d’avoir envie de vous exprimer sur le sujet… Le jury privilégiera le message à la forme. On ne vous en voudra pas de ne pas utiliser la toute dernière caméra haute définition des professionnels…
Le support : des images. Ensuite, la forme est totalement libre : vidéos (3 minutes maximum), affiches, photos, dessins, animations web… Témoignez, racontez, imaginez, bref étonnez-nous ! Il y a deux catégories : les films d’un côté, et de l’autre, tous les autres supports de communication visuelle.
Qui peut participer ?
Le concours est ouvert à tous les jeunes de 11 à 21 ans. Vous pouvez solliciter l’aide technique d’adultes pour la réalisation de vos créations, mais vous devez nous garantir que vous en êtes les auteurs exclusifs.
Seule contrainte : il faut être en équipe de deux minimum.
Date limite pour envoyer vos productions : le 14 février 2014 minuit.
Qui tranche ?
Un vote en ligne permettra de sélectionner 30 finalistes parmi lesquels le jury élira les lauréats.
Composition du jury :
Présidente : Isabelle Rattier, comédienne et metteure en scène (Les Monologues du vagin)
Greg Ruggeri, réalisateur (Il paraît qu’eux)
Benjamin Parent, réalisateur (Ceci n’est pas un film de cow-boy)
Silver et Pochep, dessinateurs de BD et co-fondateurs du Projet 17 Mai
Lilian Moimeaux, animateur jeunesse
Adèle Maurin, étudiante en BTS audiovisuel
Un binôme de l’Afev (un jeune élève accompagné par un étudiant bénévole)
Nina Schmidt, responsable du projet Jeunes à l’Observatoire des inégalités.
Que gagne-t-on ?
Pour chaque catégorie d’âge (les 11-15 ans, les 16-18 ans, les 18-21 ans), deux prix seront décernés dans la catégorie vidéo et deux prix dans la catégorie « autres supports de communication visuelle ».
1er prix : chèques cadeaux de 350 euros
2ème prix : chèque cadeaux de 250 euros
Les 30 finalistes du vote en ligne seront invités à la cérémonie de remise des prix le 9 avril 2014 à Paris, qui sera suivie d’une conférence. Les lauréats seront annoncés ce jour-là parmi l’ensemble des nominés présents.
Toutes les créations seront mises en ligne sur notre site, visité par plus d’un million de personnes par an. Elles pourront aussi servir à une campagne nationale de communication sur les préjugés dans les médias.
Inscription
Pour vous inscrire et participer, c’est tout simple : envoyez-nous votre création accompagnée du règlement ci-dessous que vous aurez lu, dûment complété, daté et signé, soit par mail à concoursvideo@inegalites.fr soit par la poste à Observatoire des inégalités, 26 bis rue du Château Landon, 75010 Paris.
Pour connaître le détail des modalités de participation, téléchargez le règlement.
Les séjours-vacances hiver/printemps : pré-inscriptions
Afin de tout savoir sur les séjours vacances hiver/printemps 2013/2014, proposés par la direction Enfance Jeunesse
Des séjours accessibles à tous… c’est ce que vous propose la Ville d’Aulnay pour les vacances d’hiver et de printemps. Retrouvez le catalogue séjours-vacances et toutes les démarches pour inscrire vos enfants. Cette année, les pré-inscriptions à partir du 25 novembre 2013 et se termine le 6 décembre 2013 clos à 17h30 dans les antennes jeunesse de la ville. Vous pouvez également vous pré-inscrire directement en ligne.
Pour obtenir le catalogue, cliquer ici.