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Le harcèlement scolaire, un fléau sous-estimé et des parents livrés à eux-même ?
Il y a quelques jours, un petit garçon de 10 ans, du nom de Thibault, a mis fin à ses jours. Scolarisé dans une école de Montbrison (Auvergne – Rhône Alpes), il subissait un véritable harcèlement à l’école, tant moral que physique. Insulté, martyrisé, brutalisé, il est même revenu un jour avec une main cassée.
Face à ces brimades, la mère a tout naturellement contacté le responsable de l’établissement, qui lui aurait rétorqué qu’elle « couvait trop son fils ». Finalement, rien ou presque rien n’a été mis en place, et le drame – qui aurait pu être évité – a touché de plein fouet la famille du petit garçon.
Le cas de Thibault n’est pas isolé : d’autres enfants se sont suicidés, alors scolarisés en primaire ou au collège, faisant la une des journaux locaux, puis sombrant dans l’oubli. Quels outils pour éviter ces drames ? Certains évoquent que les enfants harcelés doivent tout simplement changer d’école. Dans d’autres cas, les parents d’enfants victimes prennent le taureau par les cornes et, telle la loi du talion, vont effectuer des représailles ciblées contre les enfants bourreaux, allant de la menace au tabassage en règle. Une méthode qui fonctionne parfois, mais qui peut engendrer des poursuites judiciaires, allant jusqu’à la prison.
Et vous, l’un de vos enfants a-t-il subi des brimades à l’école ? Quelles ont été vos réactions et comment la situation s’est apaisée ? En tout cas, ce n’est pas en ne faisant rien et en excusant l’inexcusable chez les enfants bourreaux que la situation va s’améliorer…
Table ronde à Rosny-sous-Bois sur l’inclusion des enfants en situation de handicap le 18 mars
Le dispositif législatif qui visent à aider et protéger les personnes en situation de handicap et notamment les enfants se veut protecteur : la loi de 2005 en particulier a affirmé haut et fort le droit à la scolarisation en milieu ordinaire de tous les enfants en situation de handicap et organisé une série de dispositifs innovants mis en place notamment au travers des Maisons départementales (MDPH) ; la Convention Relative aux Droits des Personnes Handicapées de 2007, publiée en France par décret en 2010, pose un certain nombre de principes, dont celui de « la non-discrimination » et de « l’acceptation des personnes handicapées comme faisant partie de la diversité humaine et de l’Humanité ».
Mais, s’il est important d’affirmer des droits, encore faut-il qu’on agisse pour qu’ils deviennent effectifs. Or il reste en France aujourd’hui un fossé entre les droits et la réalité. Comme en témoignent les situations difficiles, voire les situations d’exclusion et de violence (physiques, psychologiques ou institutionnelles) que subissent nombre de familles et d’enfants en situation de handicap. Et l’insuffisance des moyens qui sont dévolus à leur accompagnement.
Une femme condamnée pour avoir dirigé une école non-déclarée et insalubre à Aulnay-sous-Bois
Des enfants de trois à six ans étaient pris en charge, pour leur proposer des activités de peinture, de musique ou l’apprentissage. « On leur enseignait plusieurs domaines », détaille Amara. Enseigner, comme dans une école ?, rebondit la présidente du tribunal. « Non, pas vraiment », hésite Amara. « On leur apprenait des choses, mais je n’ai pas les compétences d’enseignantes et n’en ai pas les capacités », ajoute-t-elle sans détour.
Pourtant, comme le fait remarque la présidence, le fonctionnement de l’association s’apparentait fortement à une école : des évaluations étaient proposées, le calendrier était calqué sur celui de l’Education nationale et le nom même de l’association portait la mention école. « On l’avait appelé ‘école’ sans réfléchir, mais on n’avait pas du tout cette vision », raconte Amara. Mère de plusieurs enfants, elle avance que « tout ce que je voulais, c’était me rapprocher de mamans et m’occuper d’enfants. »
Des locaux insalubres
En juin 2020, son établissement est visité par l’inspection nationale. 48 élèves sont alors présents. Lors de la visite, un état insalubre des lieux est constaté, avec des câbles dénués à portée des enfants. Des conditions qui entrainent la fermeture immédiate des locaux.
Des démarches de légalité ont été entamées, explique Amara. « J’ai tenté d’ouvrir un compte en banque au nom de l’association, mais cela m’a été refusé ». Dès lors, toutes les opérations de l’établissement se font en liquide. Amara déclare amasser au nom de l’association 6500 euros par mois, après déduction du loyer.
Source et article complet : Actu.fr
Vers une nouvelle grève dans les écoles le 20 janvier 2022 ?
« Nous n’avons pas été entendus« . C’est le message envoyé par la FSU, via son Karim Bacha, directeur d’une école élémentaire à l’Île-Saint-Denis et représentant du SNUipp-FSU 93. Joint par France Bleu Paris, lance un nouvel appel à la grève pour jeudi 20 janvier dans le département. « Les promesses sont largement insuffisantes, quelques masques par enseignants, éventuellement des reports des évaluations CP ou des reports des épreuves du bac de mars. Des promesses de recrutement de contractuelles dont on sait déjà qu’elles ne seront pas honorées car nous savons qu’aujourd’hui les rectorats ne parviennent pas à recruter », ajoute Karim Bacha, insatisfait des mesures annoncées après la grève massive du 13 janvier dernier.
Source et article complet : France Bleu
Le protocole sanitaire modifié à l’école pour faire face à la vague Omicron
Cet allégement intervient alors que 9202 classes sont fermées dans tout le pays, un chiffre au plus haut depuis le printemps dernier.
Tests, maintien des élèves à l’école… on fait le point sur ce qui change.
Le cycle de tests simplifié
La principale mesure concerne les tests. Auparavant, tous les élèves devaient faire un test antigénique en cas de contamination dans leur classe, puis un autre à J+2 et un autre à J+4. Si un enfant était alors testé positif à ce moment-là, tout le cycle était à refaire pour tous.
A présent, comme l’explique le protocole sanitaire mis à jour, « le cycle de dépistage ne redémarre que si le second cas confirmé a eu des contacts avec les autres élèves après un délai de sept jours suite à l’identification du premier cas ».
Voici donc à quoi ressemble le schéma du dispositif :
- J0 : information de la survenue d’un cas confirmé ;
- J0 : réalisation du premier test ;
- J2 : réalisation du premier autotest ;
- J4 : réalisation du second autotest ;
- A compter de J7 : si un nouveau cas positif apparaît le cycle de dépistage doit être mise en œuvre (test antigénique ou PCR puis autotests)
Source et article complet : Actu.fr
Le masque obligatoire dans les écoles de Seine-Saint-Denis
Décidément, on ne voit pas le bout du tunnel avec cette pandémie de Covid. Le masque reste toujours obligatoire dans les écoles de Seine-Saint-Denis dans la mesure où le seuil de 50 cas positifs pour 100 000 habitants est toujours franchi. Le discours du président Emmanuel Macron n’augure rien de bon pour celles et ceux qui veulent tourner définitivement la page de cette épidémie inédite depuis 1920.
Aulnay En Commun s’inquiète de la situation sanitaire dans les écoles
Nous souhaitons attirer votre attention sur la situation sanitaire de nombreuses écoles de notre ville. Des parents d’élèves, des agent.e.s communaux-ales et des enseignant.e.s nous ont informées de leurs inquietudes et incompréhensions quant au non respect du protocole sanitaire, alors que nous subissons la seconde vague de propagation de la Covid -19.
Nous avons pu constater par nous-mêmes des manquements dans plusieurs groupes scolaires.
Il s’agit principalement de problèmes d’entretien des locaux. Les employees de la société AMG, malgré leur investissement et toute leur bonne volonté, n’arrivent pas à réaliser le travail supplémentaire engendré par le renforcement du protocole sanitaire.
Elles sont très fatiguées et certaines souffrent de tendinites en raison des gestes répétitifs. Pour assurer pleinement la sécurité sanitaire des enfants et du personnel éducatif, elles ont besoin de renforts et de matériels supplémentaires. Il semblerait que le délégataire soit prêt à renforcer les effectifs, à condition que la ville fasse un avenant au marché initial.
Nous partageons des preoccupations de la communauté éducative d’Aulnay-sous-Bois et appuyons les revendications du personnel d’entretien, en cette période anxiogène de crise sanitaire.
Nous savons que le protocole sanitaire s’impose a toutes les collectivités territoriales et qu’il engendre des dépenses supplémentaires non négligeables sur le budget communal.
Nous savons aussi que les agent.e.s communaux-ales se sont fortement mobilisées pour nettoyer de nombreuses écoles en !’absence des personnels de la société AMG, ce qui ne sera pas sans consequence pour leur état de sante si cela devait se reproduire.
Par conséquent, ii serait inconcevable de fermer les yeux sur ces problématiques pour des raisons budgétaires.
Vous réaffirmant notre détermination à faire que toutes les écoles d’ Aulnay-sous-Bois bénéficient du meilleur, nous vous prions de croire, Monsieur le Maire, à l’assurance de nos sincères salutations.
Source : Communiqué Aulnay En Commun
Hadama Traoré exige des travaux d’urgence à l’école Croix Saint-Marc à Aulnay-sous-Bois
Le mouvement LREEM a été contacté par des parents d’élèves de l’école Croix Saint Marc. L’état de vétusté des lieux interpelle les parents au sujet de l’entretien de l’établissement..
Nous nous faisons écho des parents pour vous remonter ce point afin que le nécessaire puisse être effectué. L’idée étant d’améliorer les conditions d’accueil des enfants fréquentant l’école Croix Saint-Marc.
L’école islamique illégale cachée d’Aulnay-sous-Bois racontée par des voisins
C’était une école clandestine, non déclarée, totalement illégale. À Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), 43 enfants, âgés de trois à six ans étaient scolarisés dans le plus grand secret. Fermée en janvier dernier, cette école, voisine d’une mosquée était officiellement une association, dispensant des cours d’apprentissage de l’Islam. En réalité, les enfants y étaient scolarisés quatre jours par semaine. En caméra cachée, les riverains témoignent anonymement de ces allers-retours : « Tous les matins, jusqu’à l’après-midi vers les 16h. C’était toute la semaine. Ça se voyait, les gosses jouaient dans la cour. »
« Personne ne pouvait savoir »
En janvier, un contrôle de la préfecture démasque l’établissement. L’école est soupçonnée d’enseigner une vision fondamentaliste de l’école. « Personne ne pouvait savoir, sauf les services de l’état qui ont fait une enquête, qu’en fait ces enfants au lieu d’avoir un enseignement à domicile, tous les matins étaient emmenés par leur parent dans un lieu qu’ils appelaient école, où ils avaient un programme qui n’avait rien à voir avec le programme de l’éducation nationale« , explique Bruno Beschizza, maire d’Aulnay-sous-Bois. En deux ans, près de six établissements clandestins ou hors contrat auraient été fermés.
Source : FraceInfo