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26 Algériens en transit bloqués depuis 42 jours à l’aéroport Paris Charles-de-Gaulle
26 passagers algériens en transit sont toujours bloqués dans un terminal de l’aéroport Paris Charles-de-Gaulle. Une escale entre Londres et Alger qui s’éternise.
En provenance de Londres, les voyageurs n’ont jamais pu prendre l’avion devant les conduire à Alger, déboutés par les autorités algériennes. « Officiellement, elles invoquent des raisons sanitaires mais ça ne tient pas debout, souligne l’avocat des voyageurs bloqués, Me Alexandre André.
Tous les jours, des vols de rapatriement sanitaire assurés par Air France partent de l’aéroport en direction de l’Algérie ». Des informations confirmées par Aéroports de Paris (ADP) qui précise que les vols réguliers entre l’Angleterre et l’Algérie sont suspendus.
Un surbooking à l’origine du blocage
« Les gens se rendent en Algérie sans problèmes, y compris lorsqu’ils viennent de Londres, comme les joueurs de football de l’équipe nationale algérienne qui ont embarqué à Roissy il y a deux semaines », souligne l’avocat. Celui-ci invoque une « surréservation » de l’avion et des billets vendus à d’autres voyageurs pour expliquer ce blocage.
Source : Actu.fr
Lucie Morent, du lycée Jean Zay à Aulnay-sous-Bois au prestigieux lycée Charles de Gaulle à Londres
Certaines histoires permettent d’avoir une lueur d’espoir pour l’éducation dans les établissements publics de Seine-Saint-Denis. Lucie Morent, alors élève en seconde au Lycée Jean Zay l’année dernière, pourra accéder au prestigieux lycée français Charles-de-Gaulle à Londres. Les frais de scolarité (700 € par mois) seront en grande partie payés par une bourse. Elle fait partie des lycéens d’élite sélectionnés par la France pour accéder à l’établissement.
Source de l’article : martinique.franceantilles
Peut-on vraiment progresser dans sa carrière professionnelle sans parler l’anglais ?
Si le Brexit a été ces derniers jours un sujet de discussion redondant avec, selon les analystes alarmistes, une possible prochaine déroute économique de la Grande Bretagne, le contexte international fait que l’anglais est et restera une langue de communication et commerce, même au sein de l’Union Européenne sans nos voisins anglais.
Que vous alliez dans l’Est de l’Europe, en Amérique Centrale, en Grèce, chez nos voisins allemands ou dans le Sud-Est asiatique, la langue étrangère utilisée par les populations locales pour communiquer avec les touristes ou hommes d’affaire est la langue de Shakespeare. Si de nombreux français, par chauvinisme, s’attendent à ce que la population du pays visité parle le français, ils déchantent rapidement. Hormis l’Afrique Francophone et une grande partie du Quebec, rien ne sert de s’adresser en français à un commerçant, à un fonctionnaire ou à un passant dans la rue. Même les pays autrefois francophiles comme le Vietnam, la Pologne ou la Roumanie perdent l’usage de la langue de Molière.
Outre ce constat, celles et ceux qui travaillent dans une grande multinationale ou un grand groupe français dont l’activité économique est vouée à l’export ont certainement constaté que l’anglais a pris une part prépondérante dans la direction le management. On peut être très fort techniquement, être rigoureux, avoir fait ses preuves sur le terrain. Cependant, ne pas maîtriser l’anglais reste un frein considérable à l’accès à certains postes, notamment dans le Marketing, la Communication, le Management et encore plus la Direction. L’usage de l’anglais dans les conférences, les réunions, les séminaires est de plus en plus courant même au sein des entreprises françaises. Dans une réunion, il suffit d’une seule personne ne sachant parler que l’anglais pour forcer toutes les autres à s’exprimer dans cette langue au lieu du français. L’inverse n’est pas vrai !
Si vous n’avez pas pu maîtriser l’anglais lors de votre cursus scolaire, vous pouvez toujours vous tourner vers les formations ou lire de nombreux livres permettant de parfaire votre anglais. Il faut savoir que l’anglais est une langue qui se maîtrise beaucoup facilement que le français ou l’allemand. Idéale pour le business, cette langue possède quelques exceptions et subtilités, mais peu d’anglais ou américains eux-mêmes ne les emploi. Il faut savoir distinguer l’anglais littéraire, l’anglais parlé et l’anglais professionnel. Quelques règles grammaticales sont à apprendre afin de pouvoir écrire ou parler la langue correctement, et surtout éviter les contresens qui peuvent rendre difficile toute conversation. Il existe pour cela de nombreuses revues et de nombreux manuels pour maîtriser l’anglais, comme par exemple english grammar in use composé de trois manuels selon le niveau : débutant, intermédiaire et expert.
Enfin, je ne saurais trop vous conseiller un séjour linguistique dans un pays anglophone comme le Royaume-Uni. Rien ne vaut une véritable immersion et se forcer à parler l’anglais tous les jours pour maîtriser l’anglais oral et surtout, comprendre ses interlocuteurs. Et si vous optez pour Londres, vous pourrez toujours retrouver les très nombreux expatriés français, notamment autour d’un verre à Charing Cross. Sachez également qu’en tant que français, votre cerveau est habitué à entendre une certaine tonalité, une certaine fréquence. Les natifs anglo-saxons utilisent une autre fréquence avec un intonation particulière. Sans entraînement, vous aurez d’énormes difficultés à comprendre le sens des phrases qui vous sont adressées. En quelques mois, vous serez déjà nettement plus à l’aise. Et si vous ne pouvez pas voyager, n’hésitez pas à vous forcer à regarder des films en français, voire BBC news…