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Casino Suisse : guide complet des meilleurs établissements de jeux en ligne et terrestres

Le monde des casinos en Suisse offre une expérience unique, combinant tradition et modernité dans un cadre réglementé. Que vous soyez amateur de jeux terrestres ou que vous préfériez les plateformes en ligne, la Confédération helvétique propose des options variées pour tous les types de joueurs. Les établissements suisses se distinguent par leur qualité et leur conformité aux normes strictes imposées par la législation locale.

Le paysage des casinos terrestres en Suisse

La Suisse compte actuellement 21 casinos terrestres répartis sur l’ensemble de son territoire. Ces établissements sont classés en deux catégories principales selon la loi fédérale sur les jeux d’argent : les concessions de type A (grands casinos) et les concessions de type B (casinos de plus petite taille). Les casinos de type A peuvent proposer une offre de jeux illimitée, tandis que ceux de type B ont certaines restrictions concernant les mises et les types de jeux disponibles.

Parmi les établissements les plus renommés, on trouve le Casino de Baden, considéré comme l’un des plus prestigieux d’Europe. Situé dans une élégante bâtisse historique, il propose une ambiance raffinée et un large éventail de jeux. Le Casino de Montreux, quant à lui, offre une vue imprenable sur le lac Léman et les Alpes, créant une atmosphère unique pour les joueurs.

La répartition géographique des casinos suisses assure une bonne couverture du territoire :

  • Suisse romande : Montreux, Fribourg, Neuchâtel
  • Région zurichoise : Baden, Zurich, Pfäffikon
  • Suisse centrale : Lucerne, Schwytz
  • Région de Berne : Berne, Interlaken
  • Tessin : Lugano, Locarno, Mendrisio

Les établissements terrestres suisses se distinguent par leur haut niveau de service et la qualité de leurs installations. Ils proposent généralement des restaurants gastronomiques et des espaces de divertissement complémentaires pour offrir une expérience complète aux visiteurs. Découvrez plus d’infos ici sur les établissements recommandés selon votre région.

Les casinos en ligne légaux en Suisse

Depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle loi sur les jeux d’argent en 2019, seuls les casinos terrestres détenteurs d’une concession peuvent proposer des jeux de casino en ligne. Cette réglementation vise à protéger les joueurs et à lutter contre le jeu illégal. Les plateformes en ligne légales en Suisse sont donc exclusivement opérées par les casinos physiques officiels, garantissant ainsi leur fiabilité et leur conformité aux normes suisses.

Les principales plateformes légales incluent des sites comme Swiss Casinos Online, Jackpots.ch, ou encore Casino777.ch. Ces opérateurs proposent une gamme complète de jeux similaire à celle disponible dans leurs établissements physiques : machines à sous, roulette, blackjack, poker et jeux live avec croupiers en direct.

Pour reconnaître un casino en ligne légal en Suisse, il faut vérifier plusieurs éléments essentiels :

  • Le site doit être opéré par un casino terrestre suisse détenteur d’une concession
  • Le domaine doit se terminer par « .ch »
  • La présence du logo de la Commission Fédérale des Maisons de Jeu (CFMJ)
  • Des informations claires sur la protection des joueurs et la prévention contre la dépendance

La légalisation des casinos en ligne a permis d’offrir aux joueurs suisses un environnement sécurisé et régulé, tout en garantissant que les bénéfices générés contribuent à l’AVS et à d’autres projets d’utilité publique, conformément à la tradition suisse.

Réglementation et sécurité des jeux d’argent en Suisse

La Suisse dispose d’un cadre réglementaire parmi les plus stricts au monde concernant les jeux d’argent. La Commission Fédérale des Maisons de Jeu (CFMJ) supervise l’ensemble du secteur et veille au respect des normes. Les casinos suisses sont soumis à des contrôles réguliers et rigoureux pour garantir la transparence et l’équité des jeux proposés.

Un aspect important de cette réglementation concerne la lutte contre le blanchiment d’argent et la protection des joueurs vulnérables. Les casinos ont l’obligation de mettre en place des mesures de prévention contre la dépendance au jeu, incluant la possibilité d’exclusion volontaire ou obligatoire pour les personnes à risque.

La législation suisse prévoit également des mesures strictes contre les opérateurs illégaux. Depuis 2019, les sites de jeux en ligne non autorisés sont bloqués par les fournisseurs d’accès internet suisses, rendant leur accès impossible depuis le territoire helvétique. Cette approche vise à canaliser les joueurs vers les offres légales et sécurisées.

Les tendances actuelles du marché des casinos suisses

Le secteur des casinos en Suisse connaît plusieurs évolutions notables ces dernières années. La digitalisation progresse rapidement avec l’intégration croissante des technologies modernes dans les établissements terrestres. De nombreux casinos proposent désormais des applications mobiles permettant de consulter les programmes d’événements, de réserver une table ou même de participer à des promotions exclusives.

L’offre de jeux se diversifie également, avec une attention particulière portée aux préférences des nouvelles générations de joueurs. Les tournois de poker, par exemple, gagnent en popularité et attirent un public plus jeune et plus connecté. Parallèlement, les casinos suisses misent sur une expérience globale qui dépasse le simple jeu, avec une offre gastronomique haut de gamme et des spectacles réguliers.

Sur le segment en ligne, la concurrence s’intensifie entre les différents opérateurs légaux. Cette émulation favorise l’innovation et l’amélioration constante des plateformes, au bénéfice des joueurs. Les technologies de réalité virtuelle et les jeux avec croupiers en direct connaissent un développement particulièrement dynamique, rapprochant l’expérience numérique de celle vécue dans un établissement physique.

Le marché suisse des casinos, qu’ils soient terrestres ou en ligne, continue donc d’évoluer tout en maintenant les standards élevés de qualité et de sécurité qui font la réputation de la Suisse dans ce domaine comme dans tant d’autres.

Source : contribution externe

Kylian Mbappé s’excuse après son penalty raté contre la Suisse

La qualification pour les quarts de finale de l’Euro 2021 s’est finalement jouée aux tirs au but. Lundi 28 juin 2021, la France affrontait la Suisse à Bucarest (Roumanie) lors des huitièmes de finale de la compétition. Si les Bleus partaient favoris face à l’équipe helvète, la rencontre haletante s’est soldée par un 3-3 après 90 minutes de jeu.

Tir au but contré par le gardien

A l’issue des prolongations, qui n’ont pas permis de départager les deux équipes, les Bleus ont dû faire face à l’épreuve des tirs au but. Et c’est finalement Kylian Mbappé, le prodige de Bondy (Seine-Saint-Denis), qui enterre les chances de la France de se qualifier pour les quarts de finale avec son tir repoussé par le gardien suisse Yann Sommer.

Une lourde responsabilité pour le jeune joueur de 22 ans, alors que ses prédécesseurs Paul Pogba, Olivier Giroud, Marcus Thuram et Presnel Kimpembe étaient parvenus à piéger le gardien et inscrire un but chacun. 

Source et article complet : Actu.fr

Euro 2016 : La France rencontrera la Roumanie, la Suisse et l’Albanie dans son groupe

euro_2016Nous connaissons désormais les adversaires de la France dans le Groupe A de l’Euro 2016 : les joueurs de Didier Deschamps devront affronter la Roumanie, l’Albanie et la Suisse afin d’accéder aux phases finales de cet Euro que le pays accueille. Un groupe à priori abordable, avec la Suisse qui apparaît comme le pays le plus dangereux pour les bleus.

Détails des groupes :

  • Groupe A :
    • France
    • Roumanie
    • Albanie
    • Suisse
  • Groupe B :
    • Angleterre
    • Russie
    • Pays de Galles
    • Slovaquie
  • Groupe C :
    • Allemagne
    • Ukraine
    • Pologne
    • Irlande du Nord
  • Groupe D :
    • Espagne
    • République tchèque
    • Turquie
    • Croatie
  • Groupe E :
    • Belgique
    • Italie
    • Irlande
    • Suède
  • Groupe F :
    • Portugal
    • Islande
    • Hongrie
    • Autriche

Assurance Maladie et Sécurité Sociale : et si l’on était obligé de s’orienter vers le modèle Suisse ?

comparateur_CAFMis en place au lendemain de la seconde guerre mondiale, la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) est un organisme lié à la santé et exerçant une mission de service public en France, lié à . Avec l’augmentation de l’espérance de vie, le budget de la Sécurité Sociale a été mis à mal avec un déficit constant et des dettes difficiles pour l’état à résorber.

L’état providence issu de la seconde moitié des années 40s est-il en train de s’effondrer ? Chez notre voisin Suisse, la situation est bien différente. Un résident Suisse a le choix de sa propre couverture maladie et peut changer de caisse maladie à tout moment. Un comparateur caisse maladie existe notamment pour déterminer quelles sont les prestations couvertes, le coût annuel et les contraintes éventuelles. Chaque année, plus de 700 000 Suisses changent de caisse maladie afin de profiter de tarifs abordables, mais aussi de prestations complémentaires.

Ce qui peut sembler aberrant dans l’hexagone semble être devenu la routine chez nos voisins helvétiques. Des sociétés telles que We Group SA se livrent une bataille acharnée pour attirer de nouveaux clients alors qu’en France, le monopole imposé en 1945 garantit les mêmes tarifs pour tout le monde. A noter que, jusqu’à récemment, les frontaliers qui travaillent en Suisse pouvaient se soustraire à ce monopole et obtenir une couverture santé Helvétique bien moins chère.

A l’heure où tous les monopoles sont en train de s’effondrer et où les acquis obtenus à une époque bien différente sont parfois remis en question, le devenir de la Sécurité Sociale et des CPAM restent d’actualité. La libéralisation à outrance et la volonté pour l’Union Européenne d’uniformiser les prestations pour plus d’égalité au sein du territoire européen pourraient, sur le long terme, nous amener à nous orienter vers le modèle Suisse. Bien entendu, cette question tabou reste pour l’instant dans les cartons, mais qui aurait imaginé en 1950 que le rail, le téléphone, l’électricité ou même le gaz allaient être libéralisés, offrant à différents fournisseurs d’appliquer leurs propres tarifs et leurs propres conditions ?

Scandale sur la corruption à la FIFA : le monde découvre t-il l’univers du Foot ?

Foot_Stade_FranceL’information fait grand bruit : 14 personnes dont 7 responsables de la FIFA (Fédération Internationale de Football) ont été inculpées pour des affaires de corruption et de dessous de tables, notamment dans l’attribution de précédentes coupes du monde. Et ce n’est qu’un début ! En effet, les enquêteurs étudient de près quelles ont été les conditions d’obtention par le Qatar et la Russie de la fameuse coupe du monde qui fait tant rêver les jeunes et les moins jeunes.

Une perquisition a eu lieu au sein du siège à Zurich (Suisse), afin d’éclaircir notamment les conditions d’attribution des coupes du monde 2018 et 2022. Sepp Blatter, son président, reste de marbre et promet de sanctionner tous ceux qui n’ont pas respecté les règles du jeu.

Le foot et l’argent

Une congrès de la FIFA a lieu aujourd’hui en vue de l’élection de son nouveau président le lendemain. Les policiers Suisse sont venus perquisitionner dans un hôtel 5 étoiles (Baur Au Lac du centre de Zurich) où sont logés les dirigeants de la FIFA. Alors que de nombreux supporters de foot ne vivent qu’avec très peu de moyen, à la FIFA, on ne se refuse rien.

Selon le quotidien le New York Times, les accusations visent des faits de corruption portant sur :

  • des attributions de Coupes du monde
  • des droits de marketing et de télévision
  • des escroqueries par voie électronique
  • des faits de racket et de blanchiment d’argent

Les membres de la Fifa inculpés sont:

  • Jeffrey Webb, vice-président de la Fifa et président de la Concacaf (Confédération de football d’Amérique du nord, d’Amérique centrale et des Caraïbes)
  • Eduardo Li, membre des comités exécutifs de la Fifa et de la Concacaf
  • Julio Rocha, chargé du développement à la Fifa; Costas Takkas, attaché au cabinet du président de la Concacaf
  • Eugenio Figueredo, actuel vice-président de la Fifa
  • Rafael Esquivel, membre du comité exécutif de la Conmebol
  • José Maria Marin, membre du comité d’organisation de la Fifa pour les jeux Olympiques
  • Nicolas Leoz, ancien membre du comité exécutif de la Fifa
  • Jack Warner, ancien membre du comité exécutif de la Fifa, déjà impliqué dans de nombreuses affaires de corruption.

Un très mauvais exemple pour la jeunesse

Le football est un sport très apprécié par la jeunesse en Europe. Ce sport ne nécessite généralement pas énormément de moyen (inscription club amateur, des chaussures-crampons, des protèges-tibias  et éventuellement des gants pour le gardien de but). Des personnalités aussi charismatiques que fantasques et bling-bling font aussi rêver une partie de la jeunesse souvent en mal d’avenir. Le football permet parfois de s’échapper d’une vie morose et sans réel espoir d’amélioration. Les supporters sont généralement des personnes de la classe ouvrière, des clubs de supporters regroupent des copains ou des collègues de travail.

Cette triste affaire, si elle est avérée, portera à coup très dur à ce rêve déjà bien terni par l’argent qui gravite autour de ce monde bien particulier. Quel exemple donner à notre jeunesse ? Comment ensuite les raisonner sur le fait de ne pas céder à la tentation de l’argent facile ? Cette exemplarité que l’on attend également du côté de la politique ne semble pas la priorité dans le monde du sport et tout particulièrement dans le monde du foot.

Article complet décrivant ce scandale, cliquer ici.