Archives de Catégorie: Cinéma

Hommage à Alan Rickman , acteur de la saga « Harry Potter »

imagesTS62YH44Alan Rickman fut un acteur; réalisateur, scénariste, metteur en scène brittanique principalement connu pour son rôle de Séverus Rogue dans la saga « Harry Potter » de 2001 à 2011.

Il est également connu pour ses rôles de premier plan comme le shérif de Nottingham dans le film à succès de 1991, Robin des Bois, prince des voleurs, ainsi que le colonel Brandon dans Raison et Sentiments d’Ang Lee, sorti en 1995. Plus récemment, il a été sollicité par Tim Burton pour jouer le juge Turpin dans Sweeney Todd et pour donner ses traits et sa voix au personnage de la chenille dans la nouvelle adaptation d’Alice au pays des merveilles. Le quotidien britannique The Guardian a mentionné Alan Rickman comme étant l’un des meilleurs acteurs susceptibles de remporter un Oscar et à ne pas avoir été encore nommé

Du côté de la réalisation, il signe en 1997 le film L’Invitée de l’hiver et réitère en 2014 avec Les Jardins Du Roi.

source: Wikipédia:https://fr.wikipedia.org/wiki/Alan_Rickman

Il vient de décédé à l’âge de 69 ans à Londres, La rédaction d’Aulnay cap a choisi de lui rendre un hommage à travers un diaporama photos retraçant la célèbre saga « Harry Potter »

La rédaction d’Aulnay cap rend hommage à Michel Galabru

louis-de-funes-et-michel-galabruLa rédaction d’Aulnay cap, touchée par le décès de Michel Galabru lui rends hommage, grand homme du cinéma et du théâtre, il restera pour chacun de nous  » l’adjudant Gerber » des gendarmes de saint Tropez, pour cet hommage nous avons volontairement choisi de prendre la musique des gendarmes de St tropez.

La presse française au service de Disney pour Star Wars 7, le réveil de la force

star_wars_7Il y a des moments où l’on se demande si la presse française (et internationale) ne surfe pas sur la vague pour tenter de vendre quelques unités en plus, où si les grosses sociétés du Cinéma ne sponsorisent pas certains articles de presse. Le dernier épisode en date, et vous ne l’avez certainement pas raté, concerne le septième épisode de Star Wars. Une nouvelle trilogie lucrative attend donc les fans de la série, avec d’un côté la force obscure et de l’autre les gentils accompagnés de merveilleuses créatures. Depuis des semaines, la sortie de ce film fait la une des médias télé et radio. Même sur France Info, des émissions y sont consacrées.

Autant le dire de suite, je n’ai pas vu le film. N’étant pas vraiment fan de la série, je préfère ne pas donner à Disney (et à UGC) les quelques euros pour contempler un énième épisode qui, selon les premières critiques, n’apportent pas grand chose.

Car si tout le monde s’accorde pour dire que cet épisode n’a pas lésiné sur les effets spéciaux, le scénario reste quant à lui, toujours selon de nombreux cinéphiles l’ayant regardé, très plat, en réchauffant quelques idées et en faisant ressortir quelques acteurs que l’on pensait à la retraite.

Pour ma part, j’ai apprécié les deux premiers épisodes (enfin, Star Wars 4 et 5 si on suit l’ordre chronologique de l’histoire de la série), qui était plus en adéquation avec ce que je recherche dans un film mélangeant science-fiction, aventure et réflexion. L’empire contre-attaque reste pour moi le meilleur de la série (des 6 que j’ai pu regarder, tous à la télé). J’ai nettement moins apprécié le 3ème opus (le retour du jedi), où le virage « puéril » commençait à s’opérer (qui se souvent des ewoks ?)

Les 3 autres épisodes plus récents finalisaient une direction que les concepteurs voulaient : des films dédiés aux 8-12 ans, plus faciles à convaincre, et dont les produits dérivés ne manqueraient pas de les allécher. Un peu comme le Hobbit ou autres séries où niaiseries, combats improbables et humour potache sont roi.

Ce septième épisode semble confirmer cette direction selon les critiques qui commencent à foisonner. Peut-être verra t-on prochainement un nouvel Indiana Jones avec la même volonté de devenir un film familial, avec pourquoi pas quelques personnages insolites faisant rire les plus jeunes.

En attendant, belle réussite pour les actionnaires de Disney et pour les acteurs qui obtiendront un bon cachet. A défaut de regarder ce film au cinéma, il faut bien avouer que l’opération Marketing a été un franc succès…

Ciné-rencontre autrement avec des légumes à Aulnay-sous-Bois le 3 décembre

affiche_legumesUne opération Ciné-rencontre est organisée au cinéma Jacques Prévert (134 Avenue Anatole France à Aulnay-sous-Bois). En partenariat avec les AMAP d’Aulnay-sous-Bois : La Tomate Farceuse, La Grange aux légumes  et Le Poti’marrant, de Clichy-sous-Bois, Le Blanc-Mesnil, Livry-Gargan et l’AMAP Île-de-France.

Pour y participer : 4,40 € par personne (3,80 € pour les adhérents).

Plus d’information en cliquant sur l’image ci-contre.

Les films réalisés par les élèves du collège Claude Debussy à Aulnay-sous-Bois pour la résidence Olivier Babinet

Debussy_AulnayDans le cadre de la résidence In Situ 2012/2013 du réalisateur Olivier Babinet au collège Debussy d’Aulnay-sous-Bois, qui a été financée par le département de la Seine-Saint-Denis, la rédaction vous invite à regarder 4 court-métrages réalisés par les collégiens, à savoir :

La rédaction remercie Olivier Babinet pour cette information.

 

Ciné-Débat organisé par Amitié Palestine Solidarité le 19 juin à Aulnay-sous-Bois

Galion_Aulnay_PalestineL’association Amitié Palestine Solidarité vous invite à débattre de la situation en Palestine autour de la question de l’eau dans les territoires palestiniens.

Projection du Film : « L’EAU DE CHEZ NOUS, L’EAU DE CHEZ EUX » de Frédéric VIGNÉ – documentaire France réalisé en partenariat avec l’Agence Française de Développement. Cette projection a lieu le vendredi 19 juin à 19h00 Salle Dumont (12 Boulevard du Général Gallieni)

En croisant les témoignages d’acteurs israéliens et palestiniens, ce documentaire décrypte de façon inédite la question de l’eau et de l’assainissement dans une région sous tension. Là-bas, dans un espace quasi-désertique, l’eau est rare et devient un objet de conflit entre deux populations en guerre depuis plus de soixante ans. L’auteur nous questionne sur le rôle de l’eau dans la quête de la paix au Proche-Orient. Cette soirée sera aussi l’occasion de présenter l’association, ses projets, ses campagnes de solidarité. Vente d’objets artisanaux sur place au bénéfice des projets solidaires.

Source : communiqué Amité Palestine Solidarité

Le projet « Dans mon hall » s’arrête à Aulnay-sous-Bois les 23 et 24 mai

dans_mon_hall_aulnayAprès être notamment passé par la Guadeloupe, la Bretagne, et Grenoble, le projet « Dans mon hall » s’arrête pour la première fois en Île-de-France, à Aulnay-sous-Bois.

En collaboration avec la CSF (Confédération syndicale des familles), une équipe de tournage s’est installée au 21 rue Edgar Degas dans le quartier de la Rose des vents.

Nora el Hourch, la réalisatrice, qui présente cette semaine le court métrage Quelques secondes au Festival de Cannes pour la quinzaine des réalisateurs, a rencontré des habitants du quartier de la Rose des Vents et  de la Cité de l’Europe pour mieux les connaitre et pour s’inspirer d’eux et des lieux en vue de la réalisation de trois courts métrages. « Je fais le repérage, je rencontre les gens, je m’inspire de leur vécu, et puis j’écris : le but est de faire participer tout le monde et de donner une autre image de ces quartiers souvent stigmatisés dans les médias »

Des quartiers où le foisonnement de talents a surpris le directeur de production Adoum Djibrine-Peterman  de la société « De l’autre côté du périph’ » qui est partie prenante du projet « Nous faisons de belles rencontres. Nous ne sommes là que depuis quelques jours et nous avons déjà croisé des chanteurs, des comédiens, des écrivains, des entrepreneurs et entrepreneuses : toutes ces personnes méritent d’être mises en valeur et elles ne demandent qu’à s’en sortir. Aulnay est un vivier incroyable de compétences. Nous mettons en place des choses pour les aider à faire valoir ces compétences et j’espère que le mouvement continuera après notre départ. Il y a des gens que nous suivrons de près, toujours avec le soutien de la CSF ».

Le tournage aura lieu les 23 et 24 mai. Pour en savoir plus, rendez-vous au siège local de la CSF, 21 rue Edgar Degas à Aulnay-sous-bois.

« De l’autre côté du périph’ », DACP, récompensée par le Grand Prix Talents des Cités, est une société de production crée par Laurence Lascary.

Source : communiqué de Tarik Laghdirik habitant d’Aulnay-sous-Bois

Mad Max : Fury Road, le retour de Max et de Hugh Keays-Byrne, mais sans Mel Gibson

FURY ROADEn ce long week-end de l’ascension, l’actualité classique est un peu en sommeil. Du côté ludique par contre, il reste toujours des œuvres à découvrir. Une fois n’est pas coutume, nous allons vous parler cette fois-ci de Cinéma, mais pas de n’importe quel film ! En effet, nous allons évoquer le retour de Mad Max, le célèbre anti-héros ultra-violent des routes d’Australie.

Retour en arrière

Si vous êtes de ma génération, alors vous étiez un peu trop jeunes pour avoir pu assister à la sortie du premier opus en 1979. Son nom : Mad Max. Avec un scénario très simple et un budget très limité, le film a été le précurseur du genre. Un certain Mel Gibson, alors inconnu du grand public, incarne un personnage lunatique appelé « Max Rockatansky ». Membre des « Main Force Patrol », celui-ci entrera malgré dans une bataille sanglante avec une bande de motards, les NightRiders (ou Aigles de la Route en français). Sa famille sera décimée, ce qui transformera à jamais Max en un être dépourvu d’humanisme, capable de torturer et de tuer ses ennemis sans la moindre émotion. D’où son nom : « Mad Max ». Le grand méchant, le leader des NightRider, appelé ToeCutter, est incarné par Hugh Keays-Byrne, inconnu dans l’hexagone mais acteur reconnu en Australie.

Le désert Australien et les petits villages atypiques collèrent parfaitement à ce monde fictif représentant une société en déclin, où la violence grandissait au fur et à mesure que le pétrole se raréfiait. Avec la crise de 1973 et les premières inquiétudes sur les réserves de pétrole, George Miller, le directeur du film, surfait sur une tendance de monde post-apocalyptique.

Si j’ai adoré le premier opus, j’ai un peu aimé le second. Toujours sur le même type de scénario, Mad Max II est encore plus violent. Plus de société, plus de « Main Force Patrol » : l’anarchie complète règne dans le désert ou des gangs tentent de s’accaparer des dernières ressources en Pétrole. Ce sera l’un des plus grands succès de la série, et le budget alloué pour la production était bien plus importante que le premier opus.

Enfin, pour terminer la trilogie, Mad Max : Beyond Thunderdome, toujours avec Mel Gibson mais aussi avec Tina Turner. Le scénario est encore plus simple, et l’histoire un peu invraisemblable par rapport aux deux premiers films. Personnellement, je n’ai pas vraiment aimé.

Le retour du guerrier de la route

30 ans après le dernier Mad Max, voici donc Max Rochatansky de retour sur les routes. Mais plusieurs différences majeurs sont à noter :

  • Mel Gibson, jugé trop vieux par Goerges Miller, ne joue plus le rôle de Max. C’est désormais Tom Hardy qui joue ce rôle
  • Hugh Keays-Byrne, le leader tyrannique des NightRiders du film sorti en 1979, revient en incarnant toujours le grand méchant : « Immortan Joe »
  • Ce n’est plus le désert Australien mais le désert Namibien (Afrique Australe), qui sert de décor.

Toujours aussi violent d’après les premières critiques, ce nouvel opus garde ce qui a bien fonctionné jusqu’à présent : motos, violence, désert, cascades. De quoi passer un bon moment pour les amateurs du genre.

Un autre épisode en préparation

Mad Max ne tirera pas sa révérence à la fin de ce film puisqu’un autre épisode, appelé « Furiosa », devrait sortir prochainement. Le désert Namibien sera toujours le lieu du tournage. Mais ça, c’est une autre histoire !

Pour découvrir la Bande Annonce, cliquer ici.

 

Libres ! Documentaire du 25 au 28 mars au cinéma Jacques Prévert d’Aulnay-sous-Bois

libresUne envie de cinéma ? Le thème de(s) énergie(s) est toujours d’actualité et les documentaires de Jean-Paul Jaud de qualité (« Nos enfants nous accuserons », « Severn, la voix de nos enfants « ..)

ALORS NE MANQUEZ PAS  « LIBRES ! »  ..du 25 au 28 mars au cinéma Jacques Prévert (134 Avenue Anatole France)

Libres !
Un documentaire de Jean-Paul Jaud
(France, 2015, 1h45)

En France, des enfants insouciants et joyeux participent à un stage «Musique et Nature», en bordure de la Gironde, non loin de la centrale nucléaire du Blayais. Au Japon, des enfants en exil de leur ville natale, réfugiés et isolés de leurs amis et de la nature, prennent brutalement conscience de ce qu’ils ont perdu à jamais et de l’irréversibilité de leur vie. Au Danemark, dans l’île de Samso, des enfants insouciants et joyeux ont pour ligne d’horizons sur la mer, d’élégantes éoliennes qui tournent, tournent, tournent… Libres ! est un film poétique, qui par la voix de ses intervenants issus des sociétés civile et politique, aux mots forts et prégnants, nous propose de reconquérir notre liberté, celle intimement liée aux énergies renouvelables, les énergies du XXIe siècle.

« A travers ces trois situations contrastées, Jaud livre un plaidoyer convaincant sur la sortie du nucléaire et la nécessité de la transition énergétique. (…) Le style de Jaud est patient, poétique, ondoyant. » LES INROCKUPTIBLES

Source : communiqué Cinéma Jacques Prévert

Harmandeep Palminder, héros de Bébé Tigre, vit à Aulnay-sous-Bois

Harmandeep_PalminderHaramandeep Palminder, alias Bébé Tigre, a été repéré par une directrice de casting dans une manifestation contre la peine de mort en Inde. Il vit désormais à Aulnay-sous-Bois.

Le « Bébé tigre » du titre a les traits juvéniles de Many, un garçon du Penjab, arrivé illégalement en France. Son passeur l’abandonne aux bons soins de l’Aide sociale à l’enfance, lui offrant, sans qu’il le sache encore, la vie d’un adolescent ordinaire. Many s’intègre, va au lycée, a une petite amie. Son quotidien présente les atours de la normalité, à cette réserve que le garçon a le statut de mineur isolé étranger. A sa majorité, le régime de protection dont il bénéficie sera révolu, et son obtention de la nationalité française, soumise à évaluation.

L’argument social semble dominer dans le premier film de Cyprien Vial mais le geste humaniste l’emporte sur toute autre prérogative.

Source : Le Monde et Le Parisien. Photo : Le Parisien