Archives de Catégorie: Education

Admission post-bac (APB) : inscriptions et voeux depuis le 20 janvier 2014

LEL0503292.jpgEntre le 20 janvier et le 20 mars 2014, tous ceux qui souhaitent poursuivre des études supérieures doivent s’inscrire en ligne sur www.admission-postbac.fr afin de pouvoir formuler leurs vœux.

Cette procédure d’admission post-bac (APB) 2014 s’adresse aux :

  • lycéens de terminale,
  • titulaires du baccalauréat (ou d’un diplôme équivalent),
  • étudiants de première année en réorientation

Les différentes phases sont organisées entre le 20 janvier et le 19 juillet 2014 :

  • inscription, choix des vœux et liste ordonnée du 20 janvier au 20 marspour toutes les formations,
  • date limite de validation et d’envoi des dossiers-papier le 2 avril,
  • consultation de la réception par les établissements destinataires des dossiers de candidature du 6 au 9 mai,
  • possibilité de modifier le classement des vœux jusqu’au 10 juin,
  • phase d’admission avec consultation et réponse des candidats du 23 juin au 19 juillet :
    • première phase : du 23 juin (14h) au 27 juin (14h),
    • deuxième phase : du 4 juillet (14h) au 8 juillet (14h),
    • troisième phase : du 14 juillet (14h) au 19 juillet (14h).

À noter : pour ceux qui n’ont pas eu de proposition d’admission, il existe également une procédure complémentaire du 5 juillet au 15 septembre 2014.

Pour rappel, APB est un dispositif qui regroupe sur un site internet des informations sur l’orientation et les procédures en vue de s’inscrire dans l’enseignement supérieur.

Refonder la politique de l’éducation prioritaire

rythmes-scolairesLe ministre de l’éducation nationale a présenté une communication relative à la refondation de la politique de l’éducation prioritaire.

Le Président de la République a pris des engagements devant la Nation pour une école plus efficace et plus juste. Ces engagements ont été traduits dans la loi d’orientation pour la refondation de l’école du 8 juillet 2013, à travers notamment l’objectif de réduction à moins de 10 % des écarts de maîtrise des compétences entre les élèves de l’éducation prioritaire et les autres.

La refonte de la politique de l’éducation prioritaire permettra d’atteindre cet objectif dont l’importance a été confirmée par les acteurs du terrain pendant les Assises de l’éducation prioritaire tenues dans les académies à l’automne 2013.

Expérimentée sur une centaine de réseaux préfigurateurs dès la prochaine année scolaire, la réforme de l’éducation prioritaire sera déployée à compter de la rentrée 2015 autour de trois volets, sur un millier de réseaux dont 350 regrouperont les situations les plus difficiles.

Le volet pédagogique aidera les enseignants à travailler autrement et à accompagner tous leurs élèves en faisant de l’éducation prioritaire le lieu privilégié de l’innovation pédagogique. A la maternelle, la scolarisation des enfants de moins de trois ans sera assurée dans chaque réseau d’éducation prioritaire avec pour objectif un taux de scolarisation de 30% d’ici la fin du quinquennat. A l’école élémentaire, le dispositif « plus de maîtres que de classes » sera étendu progressivement au cours du quinquennat dans chacune des 7000 écoles de l’éducation prioritaire. Dans tous les collèges de l’éducation prioritaire, les élèves de 6ème seront pris en charge de façon continue jusqu’à 16h30 grâce à des recrutements d’assistants d’éducation permettant de leur proposer des activités pédagogiques et éducatives en petits groupes lorsqu’ils n’ont pas cours. Enfin, dans le cadre du programme des Investissements d’avenir et en collaboration avec les collectivités locales, des internats de la réussite seront développés.

Le volet « ressources humaines » viendra soutenir et stabiliser les équipes éducatives. Afin d’encourager cette stabilité, dans l’ensemble de l’éducation prioritaire, les indemnités d’exercice spécifiques seront substantiellement revalorisées jusqu’à être doublées dans les situations les plus difficiles. Les enseignants des 350 réseaux les plus difficiles bénéficieront par ailleurs d’un temps pour se former, travailler en équipe et développer les relations avec l’élève et sa famille. Associé à un renforcement de l’accompagnement des nouveaux personnels et des équipes, un grand plan de formation continue contribuera à enraciner une véritable culture du collectif. Enfin, quant au déroulement de carrière, le fait d’avoir exercé en éducation prioritaire constituera un critère d’éligibilité au « grade à accès fonctionnel » en cours de définition.

Le volet « environnement scolaire » assurera le développement d’un cadre propice aux apprentissages. Appuyés par les équipes académiques, les réseaux établiront des projets pérennes sur la base des meilleures pratiques recensées dans un référentiel, et se verront garantir dans la durée les moyens pour les mettre en œuvre. Les actions pédagogiques les plus innovantes et l’animation des réseaux feront l’objet d’un financement académique spécifique. Les dispositifs facilitant l’implication des parents dans la vie de l’école seront également encouragés. La sécurité sera recherchée par le doublement du nombre d’assistants de prévention et de sécurité dans les collèges. Les réseaux les plus difficiles seront enfin dotés d’une infirmière supplémentaire, afin que les besoins des écoles soient mieux pris en compte.

Établie en cohérence avec les dispositifs de la politique de la ville et ceux en faveur des territoires fragiles, cette mobilisation pour la refondation de la politique d’éducation prioritaire devra associer tous les ministères concernés, ainsi que les collectivités territoriales. Conformément à l’engagement du Président de la République, les moyens de l’éducation nationale seront ainsi attribués selon une logique de progressivité et de justice.

La Région renforce son action en faveur du logement étudiant

idf_logement_etudiantFace à la pénurie de logements pour les étudiants en Île-de-France, la Région lance un plan de mobilisation avec l’État.

Pour accélérer le développement du logement étudiant, la Région passe à l’offensive. À l’occasion de la conférence régionale annuelle du logement des jeunes et des étudiants, le président du conseil régional, Jean-Paul Huchon, a annoncé mercredi 15 janvier l’actualisation du Schéma régional du logement étudiant.

Équilibrage et cohésion

Ce schéma fixe la géographie prioritaire d’implantation des résidences pour rééquilibrer et renforcer la cohésion des territoires. Il tient compte de la proximité avec les lieux d’études, des zones de forte pénurie et s’articule avec le Nouveau Grand Paris des transports.

Dans cette optique, la Région travaille avec l’État sur un plan de mobilisation en faveur des conditions de vie des étudiants. Le conseil régional souhaite également accompagner l’État dans la mise en œuvre de son dispositif CLE, qui apporte une caution locative publique aux étudiants les plus en difficultés.

Des besoins à combler

Cette implication répond à un besoin fort sur le territoire francilien, où 5 logements sociaux étudiants sont disponibles pour 100 étudiants, contre 8 pour 100 dans le reste de la France.

Depuis 2010, la Région, premier financeur du logement des jeunes et des étudiants en Île-de-France, a cofinancé la création de près de 12.000 logements destinés à ces publics et a investi 95 millions d’euros. Au total, elle compte financer la création de 4.000 places étudiantes et de 1.000 places de logements pour les jeunes chaque année.

Vidéo de l’impressionnant chantier du 7ème collège d’Aulnay-sous-Bois

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Vidéo

Les travaux avancent très rapidement sur le chantier du 7ème collège d’Aulnay, situé aux abords de la route de Bondy. Les engins et les grues s’activent pour que les élèves puissent bénéficier des nouvelles infrastructures dès la rentrée scolaire 2014.

Les voisins sont eux bien moins enthousiastes à l’idée de voir sous leur fenêtre les centaines de collégiens déambuler sur la rue. Le garage Renault situé juste à côté nous confiait avoir des craintes concernant les voitures en révision ou réparation qui seront stationnées aux abords. Des habitants ont peur également par rapport à la hauteur des murs et à la baisse de la luminosité. Certains estiment que leur bien ont perdu 30% de leur valeur à cause de ce 7ème collège.

Pour visionner la vidéo, cliquer sur l’image ci-contre.

Réforme des rythmes scolaires : l’AMF réitère sa demande d’un soutien financier pérenne de l’Etat

AMF_12388_COMMUNIQUE_Page_1À l’issue de sa réunion du 11 décembre 2013, le Bureau de l’AMF réaffirme ses positions concernant la réforme des rythmes scolaires. Si l’AMF a obtenu satisfaction sur deux de ses demandes (la reconduction du fonds financier en 2014 et le desserrement du calendrier d’élaboration du projet d’organisation de la semaine scolaire pour 2014 jusqu’au 31 janvier), des inquiétudes persistent chez de très nombreux élus tant au niveau financier qu’au niveau organisationnel.

Ainsi, si 83% des maires ayant mis en place la réforme dès la rentrée 2013 et ayant répondu à l’enquête réalisée par l’AMF se disent plutôt satisfaits ou très satisfaits, ils font néanmoins part d’un partenariat contrasté avec les acteurs éducatifs, de la complexité de mise en oeuvre de la réforme et demandent à pouvoir réaménager, si nécessaire pour la rentrée 2014, l’organisation du temps scolaire.

Surtout, 77% des communes rencontrent des difficultés financières dans la mise en place de la réforme. Or, comme Jacques Pélissard, président de l’AMF, l’a rappelé lors du Congrès des maires, les coûts d’organisation de la semaine de quatre jours et demi sont permanents, les communes ayant à engager des dépenses spécifiques chaque année. Il a également souligné la situation ubuesque dans laquelle la CNAF place les communes dont le périscolaire existant est organisé sous forme d’un ALSH en effet, en n’acceptant l’allègement des normes d’encadrement que pour les seules heures périscolaires « Peillon », elle leur impose de mettre en place deux organisations différentes pour l’accueil de loisirs périscolaire, selon qu’il s’agit ou non d’heures liées à la réforme.

En conséquence, l’AMF tient à réaffirmer les demandes exprimées lors du dernier Congrès des maires :

  • la pérennisation du fonds d’amorçage

Le coût médian de mise en place de trois heures d’activités périscolaires s’élève à 150 euros par enfant et par an, avec des variations selon les territoires, soit un total de 900 millions par an pour les 6 millions d’élèves.

Les communes, comme les intercommunalités, ne sont pas en mesure, alors que leurs dotations sont en baisse, de financer durablement un tel montant de dépenses. Aussi, l’AMF demande à l’Etat de transformer le fonds d’amorçage en un fonds pérenne, stabilisant ainsi sa participation au financement de la réforme.

  • Le respect par la CNAF de la généralisation de l’allègement des normes d’encadrement à l’ensemble des heures périscolaires

L’AMF dénonce depuis des mois l’interprétation restrictive de l’allègement des normes d’encadrement par la CNAF qui ne les accepte que pour les trois nouvelles heures périscolaires. Cet allègement, obtenu par l’AMF pour l’ensemble des accueils périscolaires déclarés, permettait d’en diminuer le coût et de redéployer les sommes ainsi économisées vers le financement des trois nouvelles heures périscolaires.

La CNAF, qui justifie sa décision par des contraintes budgétaires fortes, a néanmoins accepté récemment d’étudier un assouplissement de cette position très restrictive. L’AMF, qui ne méconnaît pas ces contraintes, attend toutefois de la Caisse un dispositif plus ouvert, respectueux de la réglementation, traitant de manière égalitaire les communes, et propose qu’il soit assorti d’une clause de revoyure pour en apprécier la viabilité dans le temps.

Enfin, l’AMF attend de l’Etat davantage de cohérence entre ses différents services dans la mise en oeuvre de la réforme.

Source : communiqué de l’Association des Maires de France

Ouverture des inscriptions scolaires pour la rentrée 2014/2015 à Aulnay-sous-Bois

inscriptions_scolairesL’année 2014 commence à peine, et pourtant la rentrée scolaire de septembre prochain se prépare dès aujourd’hui.

Réception des dossiers jusqu’au 31 mars 2014
Inscriptions au centre administratif ou en mairies annexes

Quand s’inscrire ?

Les inscriptions scolaires se clôtureront le 31 mars 2014.
Cependant, si votre enfant est déjà inscrit et ne change pas d’établissement, il n’est pas nécessaire de renouveler l’inscription.

À quel âge ?

Dès 3 ans. Ils peuvent également être admis dans la limite des places disponibles.

Dans quelle école ?

Pour la première année scolaire de votre enfant dans une école publique, renseignez-vous à la mairie pour connaître l’école de votre secteur.

Quelles démarches ?

Rendez-vous au centre administratif ou la mairie annexe de votre quartier muni des pièces à fournir : 

Inscriptions au centre administratif ou en mairies annexes

Les pièces à fournir :

  • Livret de famille
  • Carnet de santé de l’enfant attestant des vaccinations obligatoires pour son âge (antidiphtérique, antitétanique, antipoliomyélitique)
  • Justificatif de domicile

Adresses et horaires :

Centre administratif– 16 bd Félix-Faure
Ouverture du lundi au vendredi : 8h30-11h30 et 13h30-17h /Samedi : 8h30-12h

Mairie annexe du Galion –galerie Surcouf – Tél. : 01 48 79 41 19

Mairie annexe Ambourget –rue du 8-mai-1945 – Tél. : 01 48 79 41 18

Mairie annexe Gros-Saule –1-3 passerelle Fleming -Tél. : 01 48 79 41 77

Mairie annexe du Sud– 79 avenue de la Croix-Blanche – Tél. : 01 48 79 41 93

Horaires des mairies annexes: Lundi au vendredi : 9h-11h30 et 13h30-17h – Samedi : 8h30-12h

Plus d’infos au : 01 48 79 41 46

Aulnay-sous-Bois : Malaise au lycée Voillaume et fin de grève des enseignants

Voillaume_AulnayLes enseignants du lycée Voillaume à Aulnay-sous-Bois (ils sont plus de 200 pour plus de 2000 élèves) terminent aujourd’hui une grève de trois jours. Ils seront devant les grilles, ce matin dès 7h30, pour discuter avec les élèves et les parents des suites à donner à leur mobilisation pour obtenir le soutien du rectorat. Ils réclament une aide à la direction, du personnel supplémentaire (prof de philo, surveillants, agents de nettoyage). Sollicité hier, le rectorat n’a pu être joint.

Source : Le Parisien du 10/01/2014

Aulnay-sous-Bois : Les cours d’arabe font le plein à la Rose-des-Vents dans l’ex-école Bougainville

arabe_ecole_aulnayDans la cour de récréation, les gamins ont pris d’assaut un château gonflable. Un peu plus tôt, les petits reprenaient en chœur une chanson sur « les papas et les mamans », les plus grands corrigeaient un exercice d’orthographe. Aux murs des classes, dessins et peintures, liste des jours de la semaine.

A première vue, l’école El-Amel (l’espoir, en arabe) a tout d’une « vraie » école… à commencer par les locaux! Voilà plus de trois ans que l’association EMJF s’est installée dans l’ancien groupe scolaire Bougainville, à Aulnay, désaffecté depuis que le quartier de la Rose-des-Vents s’est vidé d’une partie de ses habitants au gré des démolitions de la rénovation urbaine.

1150 élèves ont cours le mercredi et le week-end

Ici, on fait classe le mercredi et le week-end. El-Amel revendique 1150 élèves, dont 800 enfants âgés de 3 à 12 ans. Les cours d’arabe sont dispensés par une vingtaine d’enseignants bénévoles, des femmes pour la plupart. Certaines ont déjà enseigné dans des pays du Maghreb, comme cette épouse de chirurgien, heureuse de pouvoir « s’occuper des enfants ».

Les élèves, eux, ne chôment pas. Trois heures de classe par semaine, avec devoirs, leçons et exercices. Inès, petite Tremblaysienne de 8 ans, est contente : « On apprend de nouvelles choses, de nouvelles lettres. » « Il existe des cours d’arabe dans beaucoup de villes, mais la plupart ont lieu dans les mosquées, indique Hassen Farsadou, président de l’EMJF. Les parents cherchent quelque chose de professionnel. »

Abdelmalek, de Mitry-Mory (Seine-et-Marne), juge « primordial » que sa fille apprenne l’arabe « pour dialoguer avec ses grands-parents qui ne parlent pas français ». « On a aussi besoin qu’on enseigne nos valeurs, nos racines », estime un autre père, tout en précisant immédiatement : « Mais il s’agit d’un complément. L’école de la République reste la plus importante à nos yeux. »

On aperçoit, ici et là, quelques fillettes voilées, tandis que la plupart des enseignantes portent le foulard. Hassen Farsadou assure que l’école ne dispense pas d’enseignement religieux au sens strict. C’est l’engagement pris auprès de la municipalité, qui lui prête les locaux. Un papa évoque pourtant des « cours de religion ». « Il s’agit de cours de morale, de bon comportement, corrige le directeur de l’école, Abdelkader Bentabet. Nous y consacrons un quart d’heure, de façon régulière, au même titre que nous enseignons le respect de l’environnement, la propreté… »

Source et image : Le Parisien du 17/12/2013

L’école musulmane d’Aulnay -sous-Bois en bonne voie

emjfUne association doit acquérir aujourd’hui un terrain afin d’y bâtir une école confessionnelle. Un projet qu’elle souhaite financer grâce à des dons.

Une école privée musulmane bientôt construite à Aulnay-sous-Bois? Le projet, vieux de plusieurs années, se précise. Aujourd’hui mardi, l’association Espérance musulmane de la jeunesse française (EMJF), doit acquérir un terrain de 3500 m2, dans le nord de la ville, afin d’y bâtir une école confessionnelle.

« Le projet avance très bien », affirme Hassen Farsadou, président de l’EMJF, qui travaille désormais sur les plans du futur bâtiment avec un architecte. Le sujet était au cœur des débats du conseil municipal d’octobre dernier, puisque la parcelle, voisine du magasin Bricoman, non loin de la nationale 2, était jusqu’alors propriété de la ville. Les élus (PS, PRG, UMP, UDI) ont voté deux délibérations. La première permet de déclassifier la zone afin qu’elle puisse accueillir un bâtiment privé. La seconde transfère le terrain à la société Deltaville, en charge de l’aménagement du quartier Mitry-Princet.

L’opération a fait tiquer les élus communistes (qui se sont abstenus, ainsi que le groupe Europe Ecologie). « Ce qui nous pose problème, c’est qu’il s’agit d’un terrain public, transformé en site privé pour y construire cette école », indique Miguel Hernandez, maire adjoint PC. Mais le maire socialiste Gérard Ségura invoque un « principe d’égalité », la commune comptant déjà deux établissements catholiques (l’Espérance et le Protectorat Saint-Joseph). « De toute façon, le projet devra obtenir l’agrément de l’Education nationale », souligne-t-il, assurant que la décision n’a rien à voir avec la proximité des prochaines municipales : « Un autre endroit était à l’étude, à côté de l’école des Petits Ormes, mais la gare du Grand Paris a changé la donne. Cela a pris du temps. » Solidement implantée à Aulnay, l’EMJF avait un temps espéré s’installer dans une ancienne école publique, qu’elle occupe déjà « à titre associatif ».

L’association affirme qu’elle pourra collecter, par une campagne de dons, la somme nécessaire à l’achat de la parcelle. « On l’achètera au prix des Domaines », glisse Hassen Farsadou. Ce sera plus difficile pour la construction. Le chantier devrait coûter 1 M€. Dans un premier temps, l’association pourrait donc installer ses élèves dans des préfabriqués. Car, affirme-t-elle, de nombreuses familles attendent la création d’un tel établissement.

« Ce serait génial si ça pouvait se faire, estime ainsi Malika, maman d’un petit garçon qui fréquente déjà les cours d’arabe de l’EMJF. Il n’y a pas assez d’écoles privées musulmanes. » Cette mère au foyer est prête à sacrifier certaines dépenses pour payer l’inscription de son fils : « Ce sera peut-être des vacances en moins, mais c’est une question de choix. »

Source : Le Parisien du 17/12/2013

Rythmes scolaires : les résultats de l’enquête à Aulnay-sous-Bois

rythmes-scolairesDu mois de juin a septembre la ville a mis en ligne sur son site internet un questionnaire pour approfondir la concertation sur la réforme des rythmes scolaires.
Retrouvez ici les résultats complets de cette enquête auquel près de 4 000 familles ont répondu, ainsi que le document synthétisé.

Source : site de la ville d’Aulnay-sous-Bois