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Palmarès des lycées du Parisien, Voillaume meilleur que Jean Zay et l’Espérance à Aulnay-sous-Bois !

La méthodologie exclusive du Parisien/Aujourd’hui en France se base sur la progression des élèves de la seconde au bac et non la performance pure des élèves en Terminale. Notre classement met donc en valeur plutôt des lycées méconnus mais qui, avec un accompagnement fort des professeurs, font progresser leurs effectifs par rapport à une moyenne nationale (en partant des résultats du brevet, de la structure de la population du lycée, critères socio démo) : des lycées qui permettent un ascenseur social.

Dans le classement en Seine-Saint-Denis, l’établissement Voillaume arrive en 10e position alors que le lycée Jean Zay n’arrive qu’en 29e position. Le lycée l’Espérance arrive en 25e position.

Source : Le Parisien

A Aulnay-sous-Bois, les lycéens de Voillaume rêvent d’un autre monde

Plus de solidarité, d’autonomie, de considération, de confiance, de reconnaissance. De maraude sociale aux compétitions handisport en passant par la visite d’un lycée autogéré, les jeunes de Voillaume dessinent leur autre monde.

Elle parle cru, elle parle la rue, elle est authentique avec des plaies à peine cicatrisées. Quand Elina Dumont raconte ses années SDF, le premier appartement à 44 ans, les sévices et pressions sexuelles qu’elle a subies, il n’y a pas un bruit dans le studio. La classe de seconde du lycée Voillaume écoute ce témoignage et cette langue d’un autre temps qu’ils ne comprennent pas toujours et cette voix éraillée qui ne cache pas les stigmates des épreuves traversées. La sincérité du témoignage fomente l’émotion.

Source et article complet : France Inter

Plusieurs lycées de la Seine-Saint-Denis parmi les meilleurs de France, perte de vitesse pour ceux d’Aulnay-sous-Bois

Le lycée Claude-Nicolas-Ledoux des Pavillons-sous-Bois figure en tête des meilleurs établissements du département selon le classement effectué par Le Parisien. Plusieurs établissements du 93 trustent même les premières places au niveau national 

Au niveau départemental, c’est le lycée Claude-Nicolas-Ledoux aux Pavillons-sous-Bois qui prend la tête du palmarès avec 47 points de valeur ajoutée. À noter : cela ne concerne que ses deux classes de terminale ES et non pas ses filières professionnelles, notre classement étant ciblé sur les classes générales et technologiques. Suivent les lycées Germaine-Tillion au Bourget, l’établissement privé pour garçons Merkaz-Hatorah à Gagny et les lycées Suger et Angela-Davis à Saint-Denis.

« Le lycée Ledoux est un établissement où il y a une bonne cohésion au sein de l’équipe », témoigne deux enseignants peu surpris de ce résultat. L’an passé, ses élèves de terminale générale ont affiché un taux de réussite de 100 % au bac contre un attendu de 90 % (calculé en tenant compte des conditions d’enseignement à distance liées à la crise sanitaire). Un carton plein qu’on retrouve dans 17 autres établissements de Seine-Saint-Denis. Il faut dire que le taux de réussite au bac a été particulièrement élevé l’an passé avec l’annulation des épreuves finales de l’examen due à l’épidémie de Covid-19 : 98,2 % des élèves scolarisés en filière générale avaient obtenu leur diplôme, contre 87,5 % l’année précédente.

Au niveau du classement départemental, les établissements de la ville d’Aulnay-sous-Bois décrochent. Pour ces établissements, le classement est :

  • Le Protectorat Saint-Joseph (34e position)
  • Lycée Voillaume (43e position)
  • Lycée général et technologique Jean Zay (46e position)
  • Lycée l’Espérance (48e position)

Pour obtenir tout le classement, cliquer ici.

Source : Le Parisien

Ouverture de l’Académie d’Aulnay-sous-Bois, des Rugbywomen au Lycée Voillaume

Une Académie Pôle Espoir (APE) a ouvert ses portes cette année, au lycée Voillaume d’Aulnay-Sous-Bois. A l’image de l’Académie de Lakanal ou du Centre Régional d’Entraînement et de Formation de Brétigny (CREF), elle permet de concilier études et formation sportive vers le haut niveau. Il s’agit d’une grande première pour le département de la Seine Saint Denis, où le rugby féminin est déjà bien implanté et se structure pour grandir.

Les joueuses franciliennes remplissant les critères de sélection étaient jusqu’alors systématiquement orientées vers le CREF. Elles pourront désormais se tourner vers l’une ou l’autre structure en fonction notamment de la cohérence avec leur projet scolaire et de la proximité avec leur club, comme nous l’explique Pascal Giraud, Vice-Président de la formation à la LIFR  :

 «  Le CREF et l’Académie d’Aulnay sont complémentaires car géographiquement positionnés au nord et au sud de Paris, permettant ainsi une occupation territoriale cohérente. Il a été convenu que les deux pôles de formation puissent partager des entraînements de haut niveau ensemble, ce qui permettra encore d’améliorer la formation et le partage des compétences. Au regard du potentiel de la Région Ile-de-France, cela fait plusieurs années que la LIFR souhaite avoir 2 structures permettant aux jeunes filles de poursuivre le double projet études/sport. »

Source : Ligueidf.ffr

Pétition du lycée Voillaume à Aulnay-sous-Bois : des conditions humaines et matérielles suffisantes pour la scolarité de nos enfants !

Pétition à l’attention de

  • Daniel Auverlot, recteur de l’académie de Créteil
  • Valérie Pécresse, présidente de la Région Ile-de-France

C’est dans le contexte de l’après confinement que le Ministère de l’Education Nationale, de la jeunesse et des sports s’est donné, dans sa circulaire de rentrée, « la priorité absolue de consolider les apprentissages des élèves en identifiant leurs besoins et en y apportant une réponse personnalisée ».

Les parents d’élèves du lycée Voillaume souhaitent que ces paroles soient assorties à des actes !

Pour la livraison sous 3 semaines du bâtiment « atelier »

Si nous sommes ravis des travaux engagés au lycée Voillaume, nous le sommes nettement moins de l’impossibilité pour les élèves des filières PRO, des STI2D du LGT et des étudiants en BTS de pouvoir suivre une scolarité normale.

En effet, après un an de retard sur le chantier, le bâtiment où doivent se tenir les cours techniques en atelier a été livré inachevé quelques jours après la rentrée avec des défauts tels qu’ils sont impraticables voire dangereux ! Les anciens locaux sont quant à eux en cours de destruction ce qui annihile toute solution de repli.

Le rectorat de Créteil a récemment informé Le Parisien qu’il « met tout en œuvre pour que les élèves puissent bénéficier des cours nécessaires à leur apprentissage par la priorité mise sur les cours théoriques, un soutien par la création d’un blog dédié et la mise en place d’aides aux devoirs en fin de journée scolaire ». Il affirme également que « les cours en atelier sont dispensés durant trois ans pour les lycéens de la voie professionnelle, et deux ans pour les étudiants de BTS. Cette réorganisation temporaire n’est donc pas bloquante pour la réussite de leurs examens. »

Les parents d’élèves et d’étudiants ne partagent pas cet avis ! Ils ont déjà fait les frais de l’échec des cours à distance durant le confinement et sont toujours confrontés à la fracture numérique.

Les parents d’élèves demandent donc à ce que tout soit mis en œuvre pour que la mise aux normes de ce chantier soit achevée sous trois semaines et que sa livraison ait lieu dès la rentrée des vacances de la Toussaint, soit le 2 novembre prochain.

Pour le remplacement sans délai des professeurs absents

Selon le rapport Cornut-Gentille, « un élève de Seine-Saint-Denis perd en moyenne un an sur sa scolarité en raison de la difficulté à remplacer les professeurs absents ».

Face à ce nouveau baccalauréat qui s’étire sur deux ans de contrôle continu, comment les élèves du LGT et du PRO pourraient-ils être prêts au BAC ?

Selon la FCPE, 20 millions seraient économisés par l’Etat chaque année en ne remplaçant pas les enseignants. C’est inacceptable !

Lorsque l’absence des enseignants dure moins de quinze jours, ce serait à l’établissement de trouver une solution pour les remplacer. Or dans le contexte des plannings difficiles inhérents aux E3C ; de la mise en œuvre de l’aide aux devoirs (pendant les jours de classe et les vacances scolaires) et de la COVID cela est impossible !

C’est dans ce contexte que nous vous demandons de réduire votre délai d’intervention pour remplacer les professeurs absents avant ce délai de 15 jours par tous les moyens possibles : TZR (titulaires affectés sur zone de remplacement) ou enseignants « contractuels ».

Pour signer la pétition, cliquer ici.

Des déchets sont présents à l’arrêt de bus situé en face du lycée Voillaume à Aulnay-sous-Bois

Des déchets sont présents à l’arrêt de bus situé en face du lycée voillaume.

A cet arrêt, la poubelle est absente.


Aussi, il est souhaité qu’une poubelle soit installée à cet endroit, tout comme il est souhaité que, nous, aulnaysiens, soyons civilisés, et mettions nos déchets dans la poubelle, et non parterre.

Une intervention pour nettoyer les lieux est souhaitée.

 

 

Ces photos ont été prises par mes soins hier soir.

Covid-19, réquisition de l’internat du lycée Voillaume à Aulnay-sous-Bois pour accueillir les malades

Sur réquisition du préfet de la Seine-Saint-Denis, l’internat du Lycée Voillaume est mis à disposition par la Région Île-de-France avec le soutien de la Ville d’Aulnay-sous-Bois afin d’y accueillir des malades.

À l’issue de la réquisition, les locaux seront entièrement désinfectés pour la sécurité des élèves qui sont hébergés dans l’internat durant la période scolaire. Le déconfinement, ce n’est pas pour maintenant.

Mathilde Levesque, professeure de lettres du lycée Voillaume à Aulnay-sous-Bois, estime les agresseurs comme non responsables

Vidéo

Mathilde Levesque est une professeure de lettres reconnue du lycée Voillaume à Aulnay-sous-Bois. Très proche de ses élèves avec lesquels elle s’amuse des nouveaux mots inventés (cf « lol est aussi un palindrome), Madame Levesque a, dans une vidéo affirmé que les agresseurs sont souvent des victimes qui ne sont pas responsables de leurs actes et qui sont le reflets de pulsions et d’émotions. 

Madame Levesque estime qu’il ne faut pas aller dans la surenchère de la violence et que l’habileté rhétorique  permettrait de surpasser cette violence et amener l’agresseur à réfléchir.

Si un jour vous êtes agressé dans la rue, le RER ou même chez vous, essayez donc des jeux d’esprit et des répliques bien placées pour transformer votre agresseur en partenaire.

pour visionner la vidéo, cliquer sur l’image ci-contre ou ci-dessous.

Une année dans la classe de Madame Levesque sur France 2 au lycée Voillaume à Aulnay-sous-Bois

Le documentaire «Je dis donc je suis», diffusé ce mardi soir (23h40), a été tourné durant un an dans la classe de seconde de Mathilde Levesque, prof de français au lycée Voillaume.

« Elle est énergétique, la prof. Ça se dit, énergétique ? » A cette question, posée face caméra par une élève de Mathilde Levesque, on serait tenté de répondre : oui, ça peut se dire.

Car on sent bien, tout au long du documentaire « Je dis, donc je suis », diffusé ce mardi soir sur France 2 dans l’émission « Infrarouge » (à 23h40), à quel point l’enseignante de lettres nourrit ses élèves d’Aulnay-sous-Bois de tout ce qui peut, selon elle, les instruire et les construire.

Deux jours de tournage par semaine durant un an

Pour ce film, l’équipe de la réalisatrice Marie Bonhommet a passé un an dans la salle de classe de Mathilde Levesque, en seconde, au sein du lycée Voillaume, l’un des plus grands du 93.

« Ce n’était pas évident : deux jours par semaine environ, il fallait faire cours avec quatre caméras et 18 micros », confie la prof trentenaire, à qui l’on doit déjà deux ouvrages inspirés du bagou de ses élèves : « LOL est aussi un palindrome » (2015) et « Figures stylées » (2017).

Source, image et article complet : Le Parisien

Tentative d’intrusion dans le lycée Voillaume à Aulnay-sous-Bois, intervention de la police

La tension était encore palpable au lycée Voillaume ce matin à Aulnay-sous-Bois. La grille était bloquée ce matin par un groupe de lycéens, des feus de poubelle ont été provoqués, et des individus ont défoncé un grillage en fin de matinée et sont entrés de force dans l’enceinte de l’établissement, provoquant l’arrivée des forces de l’ordre.

Flash-ball, gaz lacrymogène ont été utilisés pour faire fuir les émeutiers. Très peu d’élèves ont finalement pu aller au collège et de nombreux enseignants ont fait valoir leur droit de retrait.

Une réunion a lieu ce mardi 12h00 en salle des professeurs pour faire le point de la situation.

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