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Il y a également des soucis avec les feuilles mortes à Sevran
Il n’y a pas qu’à Aulnay-sous-Bois où les feuilles mortes empoisonnent la vie des habitants. A Sevran également, le constat est amer.
Merci à Jessy Miller pour la photo.
Y-a-t-il un pilote dans l’avion à Aulnay-sous-Bois ? Encore un méfait des élagueurs fous
Les riverains de l’avenue Paul Langevin et de la rue du Gros peuplier ont dû se plaindre : on avait à peine la place de passer et on devait se baisser pour marcher sous les arbres, à cause « des drageons et des jeunes rameaux présents au plus près des troncs des arbres » (lettre de M. SANOGO, Adjoint au Maire Environnement- Espaces verts – Voirie). Il a donc annoncé « une taille d’entretien » ! Voici le résultat :
Plus aucune ombre pour les piétons. Comment les arbres vont-ils survivre à une taille « à blanc » en pleine canicule ?
Normalement, on peut penser qu’une personne chargée des espaces verts n’ignore pas que la météo, ça compte pour la végétation, (surtout à la veille de l’été et en phase de réchauffement climatique), et qu’elle consulte les prévisions avant de déclencher des travaux en début de canicule. Pas à Aulnay.
Entre un élagage des drageons et des branches basses et une taille sévère, on sait faire la différence. Pas à Aulnay.
Plus gênant : la lettre de M. Sanogo parle de « rideaux de platanes». Ou les élagueurs se sont trompé de rues, ou M. Sanogo ne sait pas faire la différence entre tilleuls et platanes. Complétons donc la formation initiale de notre « responsable des espaces verts » :
- Platanes, taillés quand il le faut, au début du printemps, et photographiés au même moment.
- Tilleuls (certes difficilement identifiables, vu ce qu’il en reste)
L’avantage des platanes, outre la différence absolue des écorces et des feuilles, c’est qu’ils ne « drageonnent » pas. M. Sanogo ne semble pas le savoir, ni se souvenir qu’avec les tilleuls, c’est chaque année le même problème.
On est tenté par 3 réponses :
Réponse a : la colère
Réponse b : l’incompétence de nos élus est suffisamment établie pour que ça ne vaille plus la peine de réagir
Réponse c : expliquez-nous ce qui a pu conduire à une telle aberration et discutons d’une « Charte de l’arbre »
En bons démocrates, on serait tentés par la réponse c. Mais quel sera le retour de la municipalité ?
Réponse a : silence méprisant
Réponse b : les gens ont demandé un élagage, ils n’ont plus qu’à la boucler !
Réponse c (qui suppose un certain sens de l’humour) : ok, on a fait une erreur, discutons-en !
Quelle sera la réponse ? On parie ?
Source : Aulnay Environnement
Des arbres foudroyés à Aulnay-sous-Bois
Les conditions météorologiques de ce soir ont entraîné la chute de plusieurs arbres dans différents secteurs de la ville.
Les équipes techniques de la ville d’Aulnay-sous-Bois sont actuellement mobilisées sur le terrain pour sécuriser les zones concernées et rétablir la situation dans les plus brefs délais.
Abattage de platanes malades à Aulnay-sous-Bois, une nécessité pour la sécurité
Depuis 2017, un champignon dangereux, le phellin tacheté, s’attaque aux platanes de la ville d’Aulnay-sous-Bois. Il fragilise leur bois en profondeur, au point de provoquer la chute de grosses branches, voire de l’arbre entier.
En 2024, un diagnostic sanitaire indépendant a révélé que 24 arbres sur 44 examinés sont gravement atteints et représentent un danger pour les piétons, les automobilistes et les enfants. Les platanes touchés par le phellin tacheté représentent un danger car ce champignon attaque l’intérieur du bois des arbres, sans forcément montrer de signes visibles à l’extérieur.
Concrètement :
- Il fragilise la structure de l’arbre en profondeur,
- Les branches principales peuvent se casser soudainement,
- Dans les cas les plus graves, l’arbre entier peut tomber,
- Cela met en danger les piétons, les automobilistes, les enfants à proximité, ainsi que les bâtiments ou véhicules autour.
C’est pourquoi les arbres les plus atteints doivent être abattus rapidement, avant qu’un accident ne se produise.
Ces platanes vont être abattus dans les prochaines semaines :
- 11 sur le boulevard Lefèvre
- 3 sur l’avenue Jean Jaurès
- 3 sur l’avenue Pierre Jouhet
- 5 sur la route de Bondy
- 1 dans la cour de l’école Nonneville
- 1 au Multi accueil du Gros Saule
Les riverains concernés seront informés individuellement des dates d’intervention.
Les arbres seront replantés à l’automne/hiver 2026 avec des essences variées et plus résistantes, pour un environnement plus durable et diversifié.
Le scandale écologique des terres Montceleux à Sevran : Jessy Miller dénonce le double jeu du maire Stéphane Blanchet
Présenté comme un “quartier écologique d’avenir”, le projet “Terre d’eaux” est le nouveau programme d’aménagement urbain porté par la municipalité de Sevran.
Implanté sur les terres naturelles Montceleux, ce projet prévoit la construction de plusieurs centaines de logements, une crèche, une école, des voiries, des espaces dits “végétalisés”, ainsi que divers équipements publics.
Affiché comme un symbole de mixité, de modernité et de transition écologique, il s’étendra sur plus de 18 hectares d’un espace encore largement préservé et vivant.
Mais pour Jessy Miller, candidat aux élections municipales de 2026, ce projet est tout sauf écologique.
Il y voit une opération de densification brutale, masquée derrière une communication séduisante, qui sacrifie le vivant et accentue les dérèglements climatiques, en contradiction flagrante avec les discours portés par le maire sortant.
Il dénonce aussi une orientation de fond : Stéphane Blanchet livre la ville aux promoteurs immobiliers, et en particulier aux bailleurs sociaux, sans vision d’ensemble, au détriment des équilibres urbains et de l’environnement.
Une écologie de Vitrine : Derrière le rose bonbon, le béton
Sur le site même des terres naturelles Montceleux, un grand panneau flambant neuf a été installé. Couleurs pastel, visuels souriants, slogans rassurants : tout y est pour séduire le regard.
On y évoque la “nature en ville”, la “sobriété énergétique”, la “qualité de vie”… mais ce vernis rose bonbon masque une tout autre réalité.
Derrière l’emballage, ce sont 18 hectares de sol fertile qui vont être artificialisés. Des arbres seront abattus, des prairies rasées, la biodiversité chassée. Des immeubles sortiront de terre là où se trouvait encore un espace vivant. Le béton remplacera les haies, les routes remplaceront les fourrés.
« Ce n’est pas une erreur. C’est une stratégie. On repeint la destruction en vert, on parfume le béton avec des mots doux. C’est de la communication, pas une vision…ce n’est que du marketing politique et rien d’écologique » — Jessy Miller
Le Maire connait les risques : Il a fait le choix de bétonner
Lors d’une réunion publique en date du 31 janvier 2024, le maire Stéphane Blanchet a lui-même reconnu que les terres naturelles MONTCELEUX constituent “le point le plus chaud de Sevran”, selon les relevés de température.
Une telle information aurait dû inciter à la préservation, à la création d’un îlot de fraîcheur, d’un refuge naturel.
Mais au lieu de cela, c’est précisément là qu’il a choisi de densifier, de construire, de bétonner.
Pour Jessy Miller, ce n’est pas un aveuglement, mais un choix politique assumé, en contradiction totale avec les discours sur la transition écologique. Stéphane Blanchet soutient la densification urbaine au détriment de la qualité de vie et de l’écologie.
MONTCELEUX, sacrifié pour des projets incohérents
Avant “Terre d’eaux”, les terres naturelles Montceleux avaient déjà fait l’objet de plusieurs projets absurdes : un cinéma multiplex, un stade de rugby de 90000 places refusé par la Fédération, et une vague de surf artificielle prévoyant de pomper dans la nappe phréatique locale.
Ce dernier projet n’a été stoppé que grâce à la mobilisation citoyenne, jamais par volonté municipale.
« La mairie ne recule jamais d’elle-même. C’est toujours la population qui se lève pour défendre son territoire. À chaque fois, un nouvel emballage. À chaque fois, la même logique : bétonner. » — Jessy Miller
Contre EuropaCity à Gonesse, pour la bétonisation à Sevran ?
Jessy Miller rappelle que Stéphane Blanchet et Clémentine Autain s’étaient publiquement opposés au projet EuropaCity, centre commercial géant prévu sur les terres agricoles du Triangle de Gonesse.
Ils dénonçaient alors l’artificialisation des sols, la menace sur la biodiversité, l’absurdité climatique d’un tel projet.
« Stéphane BLANCHET trouvait scandaleux qu’on sacrifie des terres agricoles à Gonesse, mais aujourd’hui il sacrifie les terres naturelles de Sevran avec le sourire. Quelle est la différence, sinon l’adresse du chantier ? » — Jessy Miller
Leçons aux multinationales, béton pour les sevranais. L’exigence climatique « Laisse béton à Sevran ! ».
En 2018, la ville de Sevran annonçait fièrement sa participation à une action judiciaire collective contre Total Energies pour inaction climatique.
Le Maire Stéphane Blanchet signait, avec 12 autres collectivités et plusieurs ONG, un courrier à destination du PDG de Total pour l’inviter à modifier son plan de vigilance et limiter ses émissions de gaz à effet de serre.
« Face au réchauffement climatique, Sevran et 12 autres collectivités interpellent Total, l’un des plus gros pollueurs en France, pour l’inciter à intégrer dans son plan de vigilance l’objectif de limiter à 1,5 °C ses émissions de gaz à effet de serre. » (extrait site officiel de la mairie)
Mais aujourd’hui, ce même maire porte un projet à Sevran qui artificialise, détruit un îlot de biodiversité, et aggrave les effets du réchauffement urbain.
« Interpeller les grands pollueurs, c’est bien. Mais encore faut-il ne pas leur ressembler localement. » — Jessy Miller
Un contre-projet : Une forêt urbaine avec 1000 arbres, pas 1000 tonnes de béton
Face à ce qu’il considère comme une erreur morale et politique, Jessy Miller propose une alternative claire : planter 1000 arbres sur les terres naturelles Montceleux.
Un geste simple et puissant pour rafraîchir le climat local, protéger le vivant, renforcer le lien social et préserver l’avenir.
« Quand on coupe un arbre, on coupe une respiration. Quand on rase un espace vivant, on rase aussi une part de notre avenir. » — Jessy Miller
Municipales 2026 : le choix entre storytelling et vérité
À l’approche des élections, le projet “Terre d’eaux” devient le miroir d’une gestion municipale.
D’un côté, des visuels flatteurs, des slogans écologiques, des promesses marketing.
De l’autre, la réalité d’une destruction environnementale dissimulée.
« La maison brûle. Et pendant ce temps, ils enrobent leurs projets de slogans verts pour mieux bétonner les terres naturelles Montceleux. Ce n’est pas de l’écologie. C’est une imposture. » — Jessy Miller
Et maintenant ? Un appel à l’union pour Sevran
Ce projet de bétonisation des terres naturelles Montceleux n’est pas une fatalité. Il peut encore être stoppé.
Mais cela exige une mobilisation citoyenne large, consciente et déterminée.
Autour de la candidature de Jessy Miller pour les élections municipales de 2026, une dynamique s’organise. Elle rassemble toutes celles et ceux qui refusent que l’on sacrifie le vivant, que l’on trahisse l’écologie au profit du béton, que l’on maquille la destruction par des slogans.
Faire échouer le projet Terre d’eaux, c’est possible. Mais cela commence maintenant, en rejoignant celles et ceux qui défendent une autre vision pour Sevran.
Source : Jessy Miller, candidat aux municipales 2026 à Sevran
Le Maire d’Aulnay-sous-Bois protège enfin les arbres dans sa ville !
Depuis quelques temps, nous percevons des inquiétudes de la part des riverains du boulevard Émile Zola. Une grande propriété richement arborée venant de changer de main, son propriétaire a manifesté l’intention de la lotir et de suivre la mode locale en sacrifiant les grands arbres. Un entrepreneur proche du Maire a déjà défrayé la chronique en entamant la construction de deux pavillons sur une petite parcelle, avec des caractéristiques contraires au règlement du PLU, et, face à l’opposition des riverains, s’est vu contraint de détruire une partie de ce qui avait été construit.
Pour cette nouvelle affaire, notre Maire a réagi, et a fait distribuer un courrier (il y a déjà quelques mois, mais nous n’en prenons connaissance que maintenant) qui fait notre ravissement : on y lit que les inquiétudes sont « légitimes » et que les arbres en question « font l’objet d’une vigilance particulière pour les préserver ». Il n’hésitera pas à invoquer le Code de l’Urbanisme et « les éléments paysagers à protéger ».
On peut se demander pourquoi quelques riverains du boulevard Émile Zola, comme naguère ceux de la rue de Belfort, ont obtenu gain de cause, alors que les 500 signatures de la pétition demandant une protection pour le plus vieux chêne de la ville, sur l’ancien Centre le Camus, n’ont reçu aucune autre réponse que l’abattage immédiat de tous les arbres de la parcelle.
La réponse s’impose : c’est un miracle, Alléluia ! Le temps des grands abattages, Place Abrioux, Centre le Camus, terrain de la Croix Blanche et ailleurs, c’est fini ! Nous avons enfin à la tête de la commune un protecteur des arbres. Nous le savons les plus zélés sont les nouveaux convertis. Il lui reste cependant encore un petit pas à faire : reprendre avec les Aunaysiens l’élaboration de la Charte de l’Arbre promise juste avant les précédentes élections.
Et puis surtout, il reste à notre maire à faire publiquement son « coming out » environnemental : MONSIEUR BESCHIZZA AIME ET PROTÈGE NOS ARBRES !
Faut-il sauver les arbres à Aulnay-sous-Bois ? Suite…
Une correction : il apparaît que la parcelle sur laquelle se trouve ce magnifique chêne n’a pas encore changé de propriétaire.
Mais cela ne rend pas notre démarche inutile. Justement, c’est bien en amont qu’il faut agir, tout en considérant que cet arbre est d’abord un symbole, parce qu’il est visible de tous, et qu’il s’agit aussi de la sauvegarde de tous les autres grands arbres de notre commune.
Quelles sont les pistes d’action ?
- Cette parcelle est en plein dans la Zone d’Aménagement Concerté lancée par la commune ! Elle occupe une position exceptionnelle, à la descente de la passerelle piéton qui traverse les voies du RER. Il faut exiger un plan d’aménagement prévoyant la sauvegarde de cet espace richement arboré, ainsi que d’autres signalés par les habitants.
- Cet arbre n’est pas répertorié dans la liste des arbres remarquables relevés par le PLU et n’est donc pas protégé. Cette liste doit être complétée. Nous invitons les Aulnaysiens à consulter cette liste sur le site de la commune (onglet Ma ville / PLU en vigueur/4 Les annexes au règlement p73 à 92) et à relever les arbres remarquables oubliés et qui leur tiennent à coeur. Nous demanderons ensuite une révision de cette liste.
- Demandons un atelier avec les habitants pour rédiger la Charte de l’Arbre qu’on nous avait promis (juste avant les élections !)
Il faut que le massacre cesse : combien d’arbres ont été abattus ou défigurés par un élagage aberrant ces derniers temps ? Un règlement existe : Si l’arbre a des tiges hautes et un tronc mesurant 70 cm ou plus de circonférence et 1,50 m minimum de hauteur, une autorisation de la commune est nécessaire. (articles L.414-4 du Code de l’environnement et L.642-6 du Code du patrimoine, article 1422-1 du code de l’urbanisme ) Sans autorisation, on s’expose à une amende de 1500 €.
Si tant d’arbres ont été coupés, c’est que la commune l’a bien voulu, ou qu’elle a laissé faire !
Pour que cela change, rejoignez-nous en laissant un commentaire de l’article publié sur notre site https://aulnayenvironnement.fr et en participant à notre prochaine réunion le mardi 2 avril à 20h Foyer Dumont 1 étage, ou encore à notre Assemblée Générale le vendredi 19 avril salle Dumont, 19-22h.
Source : Aulnay Environnement
Amélioration du cadre de vie dans le quartier de Mitry à Aulnay-sous-Bois avec des arbres plantés
Ce jeudi 21 mars 2024 a débuté, dans le quartier Mitry-Ambourget, la plantation d’arbres et d’arbustes secteur Vélodrome.
Les travaux se poursuivront dans les jours à venir Rue Ambourget.
Au total, ce sont près de 50 arbres et 150 arbustes qui font leur apparition sur ce secteur
Ces plantations s’inscrivent dans une rénovation globale des espaces publics du quartier, avec la requalification des chaussées et le renforcement de l’offre de stationnement. La première tranche, réalisée entre 2019 et 2022, a déjà permis la plantation de 65 arbres.
Il faut sauver les arbres à Aulnay-sous-Bois
Ces derniers jours, peu après qu’Aulnay Environnement, grâce au budget participatif du département de Seine Saint Denis, ait pu faire accrocher avenue Jean Jaurès un grand panneau appelant à la sauvegarde de nos rescapés de la forêt de Bondy, une belle exposition de dessins des enfants des écoles est apparue sur les grilles de la Mairie. Nos élus ont-ils subitement acquis une sensibilité écologique ? Ont-ils enfin compris l’intérêt de nos grands arbres du point de vue du paysage, de l’équilibre climatique et de la biodiversité ?
Ne rêvons pas : cette exposition relèverait de la seule initiative du Conseil Municipal des Enfants. Pour les adultes, le chemin est probablement encore long pour ceux qui
- ont décidé l’arrachage des tilleuls centenaires de l’ex-place Camélinat, dont la plupart étaient sains
- n’ont rien fait pour empêcher la disparition de tant de grands arbres, comme le grand marronnier de la rue du docteur Roux.
- n’ont rien fait pour éviter le massacre de tous les arbres de l’ex-centre Le Camus, après le dépôt sur le bureau du Maire d’une pétition de 500 signatures pour lui demander d’intervenir auprès du promoteur pour qu’il conserve le plus possible de grands arbres. La seule réponse a été que tous les arbres, dans la semaine, ont été abattus ! Il y avait là un énorme cèdre, et parmi la demi-douzaine de très vieux chênes survivants de la forêt de Bondy, celui qui était sans doute le plus bel arbre de notre commune !
La réponse qui consisterait à dire que la municipalité ne peut rien faire sur les terrains privés ne tient pas !
le Maire a les moyens d’inciter les promoteurs à respecter les arbres, c’est la volonté qui manque !
L’argument qui consiste à se vanter de replanter des arbres a lui-même peu de valeur :
Comment 10 jeunes arbres portant chacun 300 feuilles remplaceraient-ils un hêtre de 80 ans qui en porte 800 000, avec l’oxygène ( = les besoins de 10 personnes), la biodiversité, l’ombre et les degrés en moins que cela implique ?
(Peter A. Thomas, Trees. Their Natural History, Cambridge University Press, 2014. Voir Wikipedia, article « feuille »)
Devons-nous nous résigner ?
Aulnay Environnement propose aux Aulnaysiens de se mobiliser pour défendre un grand et bel arbre qui pourrait être bientôt sur la liste : celui de la rue Jeanne d’Arc, sur une propriété aujourd’hui vendue. Face à la Poste, c’est un magnifique ornement de notre ville.
Il peut devenir l’emblème du refus de la minéralisation de notre ville
Rejoignez-nous sur notre site https://aulnayenvironnement.fr pour la sauvegarde de cet arbre-là et de tous les autres qui vous tiennent à coeur, et nous programmerons une réunion publique pour organiser cette mobilisation.
SAUVONS NOS ARBRES, C’EST NOTRE PATRIMOINE À TOUS !
Source : Aulnay Environnement







