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Marine Le Pen condamnée à quatre ans de prison et à cinq ans d’inéligibilité avec application immédiate

L’ancienne présidente du Rassemblement national (RN) a été reconnue coupable de détournement de fonds publics dans l’affaire des assistants parlementaires du Front national (devenu RN). Elle a été condamnée à une peine de quatre ans d’emprisonnement dont deux ans ferme, aménageable avec un bracelet électronique,  et à 100 000 euros d’amende, et cinq ans d’inéligibilité, avec exécution provisoire.

Si elle peut conserver son mandat de députée, elle ne pourrait pas se présenter à l’élection Présidentielle de 2027. Si cette condamnation n’a que peu d’impact en Seine-Saint-Denis (le RN faisant ses plus faibles scores), elle pourrait chambouler les prochaines municipales en 2026, cette condamnation – que certains voient comme une cabale – pouvant booster les différents candidats RN.

Hadama Traoré porte plainte pour soupçons de prise illégale d’intérêt et détournement de fonds publics concernant la copropriété La Morée à Aulnay-sous-Bois

Hadama Traoré, leader de l’association Force Citoyenne qui représente environ 20% des copropriétaires de La Morée, vient de saisir le Parquet National Financier (PNF) pour soupçons de prise illégale d’intérêt et détournement de fonds publics concernant cette copropriété. Il attaque également pour abus de faiblesse et soustraction de facture et d’écritures comptables.

Le parquet national financier qui a compétence nationale spécialisé en matière de grande délinquance économique et financière, devra se prononcer sur le versement de 14.121,816 euros d’argent public qui n’ont pas permis le fonctionnement normal de la résidence « La Morée », selon lui.

Théo et ses frères plongés dans une affaire d’escroquerie aux emplois aidés avec 1 million d’euros détournés

Mickaël, Théo et Grégory Luhaka répondent d’escroquerie en bande organisée au détriment d’un organisme chargé d’une mission de service public et de blanchiment. Selon la justice, cinq associations ou sociétés créées par la fratrie entre 2014 et 2017 ont ponctionné plus de 1 million d’euros d’aides publiques.

Au premier rang, à la 15e chambre du tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis), ce mercredi, les trois frères Luhaka se lèvent à tour de rôle pour répondre aux questions très précises du président, Jean-Louis de Ré. Tous les trois élancés et immenses. Dans un survêtement rouge brique, Théodore, dit Théo, 27 ans, n’est pas le plus impliqué dans cette vaste affaire de détournement, mais assurément le plus médiatisé. Après avoir été très grièvement blessé par un policier en février 2017, il souffre d’une infirmité permanente. Il est devenu l’un des visages des violences policières. Mais ce n’est pas le propos de cette audience.

Source et article complet : Le Parisien

Il détourne 134 000€ du dispositif «Coup de pouce Vélo» avec des réparations fictives à Rosny-sous-Bois

Il est dit que la nature a horreur du vide. Il en va de même pour les escrocs toujours à l’affût de la moindre occasion. L’affaire qui doit être jugée ce vendredi 4 février devant le tribunal judiciaire de Versailles (Yvelines) pourrait en être la parfaite illustration.

Selon les informations d’Actu17, un homme de 27 ans, domicilié à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) est poursuivi pour escroquerie avec falsification et utilisation de faux administratifs, entre les mois d’octobre 2020 et juillet 2021, en Ile-de-France. Steve A. a été interpellé, en juin dernier, par les enquêteurs de la division de lutte contre la criminalité financière de la police judiciaire de Versailles, dans le cadre d’une autre escroquerie pour laquelle il a été placé en détention provisoire. Au cours de la perquisition de son logement, les policiers versaillais ont été intrigués par la présence d’une impressionnante flotte de téléphone. Près de 150 portables sont recensés et portent tous une étiquette affichant un nom et un numéro de téléphone. Informé de cette découverte, le parquet de Versailles a décidé d’ouvrir une enquête incidente. Le suspect a été placé en garde à vue mais a refusé de s’expliquer. En exploitant plusieurs portables saisis à son domicile, les enquêteurs ont compris qu’ils avaient mis au jour une arnaque en lien avec les déconfinements dus à la pandémie de Covid-19. Et jusqu’alors inconnue.

Source et article complet : Actu17