Archives du blog
L’hôpital Ballanger à Aulnay-sous-Bois rénove ses formations infirmière et de puériculture dans un contexte tendu sur ces métiers
Des salles de cours et un amphi qui n’ont jamais été rénovés depuis son ouverture en 1981… Le “coup de frais” apporté aux instituts de formation de l’hôpital Robert Ballanger est plus que bienvenu, explique Lydia Schull, sa directrice. Depuis le 1er octobre, les travaux d’extension et de réhabilitation sont enfin lancés grâce à une double subvention de la région Île-de-France. Ils concernent l’Institut de formation en soins infirmiers (IFSI), l’Institut de formation d’auxiliaire de puériculture (IFAS) et l’Institut de formation d’aide-soignant.
Source et article complet : 94 Citoyens
Forum des métiers de la sûreté, de la sécurité et de la défense à Aulnay-sous-Bois
Dans la continuité des précédentes éditions de Prox’Raid Aventure, qui renforçaient le lien entre la population et les forces de l’ordre, la Ville organise un forum des métiers de la sûreté, de la sécurité et de la défense, mercredi 8 octobre de 10h à 18h au gymnase Pierre-Scohy.
Plongez au cœur des métiers de la sécurité et de la défense et venez rencontrer les hommes et les femmes qui s’engagent chaque jour pour protéger, former et innover.
Découvrez les forces de l’ordre et les professionnels de la sécurité et de la défense : Police nationale, Gendarmerie, Armée de Terre et de l’Air, Pompiers, Pénitentiaire, Douanes.. mais aussi les écoles et entreprises spécialisées !
Au programme :
- Rencontres avec des policiers, gendarmes, pompiers, militaires de l’armée de terre, agents des douanes et de la pénitentiaire
- Informations sur les formations et les carrières
- Démonstrations et animations immersives pour découvrir l’univers de ces professions essentielles à notre sécurité
Retrouvez le programme complet prochainement !
Formation technicien d’assistance informatique via Simplon à Aulnay-sous-Bois
Parcours délivrant un diplôme reconnu par l’État, « Technicien d’assistance en informatique »*, titre RNCP de niveau 4 (ancien niveau IV), équivalent Bac
*Si toutes les compétences ne sont pas acquises à l’issue de la formation, une validation partielle de la certification RNCP est possible.
Taux de réussite des apprenants présentés à la certification d’avril 2019 à mars 2021 : 97% dont 97% totalement et 0% partiellement.
Pour en savoir plus sur cette formation, cliquer ici.
Rendez-vous au Forum de l’Emploi, de la Formation et de l’Orientation professionnelle le jeudi 14 avril à Aulnay-sous-Bois
Cette année le grand rendez-vous de l’emploi, de la formation et de l’orientation professionnelle d’Aulnay-sous-Bois aura lieu le Jeudi 14 avril 2016 à l’Espace Pierre Peugeot (site PSA).Cette année, le Forum Emploi propose à ses visiteurs :
- Un espace dédié Emploi : près de 50 entreprises, tous secteurs confondus, seront présentes
- Un espace dédié Formation/Orientation Professionnelle : avec la présence d’une vingtaine de centres de formations.
- Des démonstrations et des témoignages, dans les domaines de la photographie, la coiffure, la beauté, la sécurité, les systèmes d’information avec le Campus des métiers, le centre de formation IMEPP et le campus L’Oréal d’Aulnay
- Un atelier informatique avec l’organisme Simplon le plus grand réseau de fabriques labellisées « Grande école du numérique »
- Un atelier de conseil en image, avec le centre de formation Jaelys , spécialisé dans les nouveaux métiers de la mode
- Restauration sur place : Food Trucks
Catherine Medioni : Comment artificiellement faire baisser les chiffres du chômage ?
Les citoyens de la France d’en bas assistent, de plus en plus consternés et désabusés, à l’incurie généralisée de leurs dirigeants, qu’ils soient de gauche ou de droite, à enrayer les pertes continuelles d’emploi et à modifier un système qui est devenu incapable de créer des emplois pérennes, tout au plus des emplois aidés, c’est à dire des emplois financés ponctuellement par l’état, donc par les contribuables qui ont encore la chance d’avoir un emploi, mais jusqu’à quand encore ?
Ces « mesurettes » de pacotille, bien que fort coûteuses pour la collectivité, ne servent qu’à sortir illusoirement des jeunes sans qualification ou des seniors qualifiés violemment débarqués de leur métier, des chiffres du chômage ! Loin d’être idéales, ces solutions qui n’en sont absolument pas, reposent sur le postulat qu’il est toujours préférable d’avoir une activité même très mal payée, plutôt que d’être au chômage. Si cela est en parti vrai, cela ne saurait justifier les nouveaux systèmes d’exploitation mis en œuvre par nos dirigeants pour confiner les « bénéficiaires » (c’est un euphémisme )dans la pauvreté et la précarité, ce qui est tout à fait contraire aux droits de l’homme et du citoyen.
Ces contrats aidés avec la manne publique ne sont par conséquent rien d’autre que des contrats précaires, payés de surcroît à des tarifs très inférieurs au smic et qui ne débouchent malheureusement que très rarement sur des emplois durables ! En effet, rares sont les employeurs qui conservent leurs employés en contrat aidé au terme de celui-ci, et cela d’autant plus que l’aide financière d’état s’arrête…On peut donc en déduire que c’est une fausse bonne solution… puisque les candidats aidés retournent le plus souvent à pôle emploi !
Que penser de la proposition du gouvernement actuel de débloquer des fonds pour faire entrer en formation des chômeurs ? L’idée est fort louable et pieuse, mais ne peut s’adresser qu’à des personnes sans qualification. A moins que ce même gouvernement envisage de l’imposer aussi à des chômeurs qualifiés dans d’autres métiers, sans qu’il soit tenu compte de leurs compétences et de leur envie… Dans ce cas, nous pourrions penser alors que nous ne sommes plus dans le pays des libertés et des droits de l’homme, mais dans un pays totalitaire où les humains perdraient le droit de choisir leur métier…
Article proposé par Catherine Medioni du 21 janvier 2016
Compte personnel de formation (CPF) : s’informer sur www.moncompteformation.gouv.fr
Vous avez des questions sur la mise en place du compte personnel de formation (CPF) à partir du 1er janvier 2015 :
- je suis salarié(e), combien d’heures vais-je acquérir en 2015 ?
- quelle différence entre le compte formation et le DIF ?
- je suis licencié(e), que deviennent les heures de mon compte personnel de formation ?
Retrouvez dès à présent tout ce qu’il faut savoir sur www.moncompteformation.gouv.fr notamment si vous êtes salarié du secteur privé ou en recherche d’emploi :
- projet professionnel (conseil en évolution professionnelle, entretien professionnel),
- liste des formations éligibles,
- modalités de financement des formations,
- interlocuteurs pouvant vous accompagner dans vos démarches,
- et, à partir de janvier 2015, un espace personnel permettant notamment de suivre le nombre d’heures acquises et leur utilisation.
Le CPF suit chaque individu à partir de 16 ans tout au long de sa vie professionnelle même en cas de changement d’emploi ou de chômage (compte crédité chaque année de 24 heures par an les 5 premières années et de 12 heures les années suivantes dans la limite d’un plafond de 150 heures).
Au 31 décembre 2014, le droit individuel à la formation (DIF) prend donc fin, les heures acquises dans le cadre du DIF et non consommées étant utilisables jusqu’au 31 décembre 2020. Attention, dans la fonction publique, le DIF est maintenu.
C’est la loi relative à la formation professionnelle, à l’emploi et à la démocratie sociale publiée au Journal officiel du 6 mars 2014 qui a créé le CPF à la suite de l’accord national interprofessionnel sur la formation professionnelle du 14 décembre 2013.
Source : Service-public.fr
Demandeurs d’emploi : le plus d’une expérience à l’étranger
À l’instar du célèbre Erasmus pour les étudiants, le programme Leonardo a pour objectif de favoriser et développer la mobilité au sein de l’Union européenne, pour les demandeurs d’emploi et les apprentis de la formation professionnelle. La Région soutient financièrement les stagiaires Leonardo via des subventions aux structures franciliennes pour l’emploi telles que les missions locales et associations qui proposent des aides mobilité des demandeurs d’emploi. (lire encadré ci-dessous)
La mission locale des Bords de Marne, au Perreux-sur-Marne (94) est l’une d’entre elles. Fanny Soares y est coordinatrice du Pôle européen de mobilité pour les 11 missions locales du département. Elle est donc amenée à rencontrer tous les jeunes candidats à un stage en Europe via le programme Leonardo. « Il s’agit de 18-25 ans, la tranche d’âge suivie par les missions locales », précise-t-elle. « Nous avons fait le choix de favoriser un public au niveau de qualification inférieur à bac +2. Beaucoup d’entre eux n’ont d’ailleurs que le bac. Les critères essentiels pour prendre part à ce programme : être suivi en mission locale, avoir un projet professionnel bien défini et être en recherche d’emploi. »
« Le stage fait la différence »
Si la motivation première des jeunes concernés est d’améliorer leur niveau de langue, les bénéfices d’un stage professionnel de 14 semaines à l’étranger vont bien au-delà. Et à la mission locale des Bords de Marne, on a cœur de leur en faire prendre conscience. « Il m’arrive souvent de demander à un jeune d’imaginer qu’il est en concurrence, pour un poste, avec quelqu’un qui a le même niveau d’anglais, raconte Fanny Soares. Et bien, c’est le stage à l’étranger qui va faire la différence. »
Un pari tenu pour Brigitte Boulogne, qui a, elle, sollicité Pôle Emploi International pour effectuer un stage à Malte après une longue période de chômage de deux ans. « J’ai retrouvé un emploi en Île-de-France deux mois après. A mon retour, j’ai été à plusieurs reprises contactée par des sociétés d’interim ou des cabinets de recrutement pour des remplacements temporaires, des offres auxquelles je n’ai pas donné suite parce que j’étais en période de pré-embauche en CDI ! Rien à voir avec l’été précédent où malgré mes recherches soutenues, je n’avais jamais été contactée. »
Elle attribue notamment ce rebond à la motivation et la confiance en soi que lui ont donné ces quelques mois en entreprise. « C’est fort appréciable quand on a subi deux ans de chômage. Cela aide à reprendre confiance en soi. Je suis certaine également que cette expérience à l’étranger a crédibilisé mon CV et suscité l’intérêt des employeurs ».
Comme elle, 52 % des stagiaires Leonardo en Île-de-France retrouvent un emploi, et 25% sont inscrits dans un cursus de formation. 17% redéfinissent leur projet professionnel suite à cette expérience.
Tourisme et commerce
Les secteurs économiques les plus représentés chez les stagiaires franciliens sont le tourisme (hôtellerie et restauration) et le commerce- vente. Logique pour des secteurs dans lesquels, même pour travailler en France, la maîtrise d’une langue étrangère et la connaissance des us et coutumes des clients internationaux est un atout, voire un factuer essentiel. Sans surprise, les pays européens anglophones (Royaume-Uni, Irlande) sont les destinations majoritairement choisies à une époque où la maîtrise de l’anglais est un impératif.
Pour les jeunes de la mission locale, le stage en lui-même n’est qu’un « moment » de ce programme, précédé par une formation linguistique et culturelle. Les 14 semaines à l’étranger sont suivies, au retour, d’une autre formation, avec un bilan des compétences acquises sur place. « Leur retour, c’est la partie que je préfère, souligne Fanny Soares. Les jeunes ont visiblement grandi. Leur curiosité s’est ouverte, certains ont visité leur pays d’accueil, ils ont rencontré des jeunes de toute l’Europe… Et Leonardo, c’est aussi comprendre et vivre la citoyenneté européenne. »
