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Jean-Claude Seknagi, l’homme que les médecins ne voulaient plus réanimer à Aulnay-sous-Bois, a retrouvé la parole

En janvier 2022, cet habitant de Bondy âgé de 70 ans a été admis en réanimation à l’hôpital Robert-Ballanger à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Alors que l’équipe médicale s’était accordée pour arrêter les soins en cas de rechute, son état de santé s’est considérablement amélioré. Son fils se confie.

« Quand tes cheveux s’étalent/Comme un soleil d’été… » La bouche pâteuse, Jean-Claude Seknagi récite par cœur les premières paroles du tube « Que je t’aime » de Johnny Hallyday. Sa tête repose sur un oreiller d’hôpital qui ne ressemble en rien à un champ de blé. Donné pour mort par la communauté médicale, ce patient mélomane de l’hôpital Robert-Ballanger, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) sort alors d’un coma… de quatre mois.

Source et article complet : Le Parisien

Jean-Claude Seknagi hospitalisé à l’hôpital Ballanger Aulnay-sous-Bois risque l’euthanasie

Sur décision du corps médical, Jean-Claude Seknagi ne serait pas réanimé si son état de santé venait à se dégrader. Une perspective qui scandalise la famille de cet habitant de Bondy, hospitalisé dans divers établissements depuis trois mois à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). La justice vient de nommer un médecin expert pour trancher ce cas épineux.

D’un côté, la douleur d’une femme et de ses trois enfants confrontés à la perspective de la mort de leur mari et père. De l’autre, un corps médical uni dans sa décision de renoncer à une « escalade thérapeutique » qui confinerait, estime-t-il, à une obstination déraisonnable. Le cas de Jean-Claude Seknagi, un patient de 70 ans admis le 6 janvier au centre hospitalier intercommunal (CHI) Robert-Ballanger à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), symbolise tristement la complexité des débats autour de la fin de vie.

Source et article complet : Le Parisien

De graves dysfonctionnements constatés dans l’hôpital Ballanger à Aulnay-sous-Bois

Une équipe de contrôleurs a procédé, du 16 au 20 novembre 2020, à une visite des unités de psychiatrie du centre hospitalier intercommunal Robert Ballanger d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). En raison des graves dysfonctionnements constatés, la Contrôleure générale des lieux de privation de liberté a adressé un courrier d’alerte au ministre de la santé à l’issue de la visite.

Le rapport provisoire rédigé ultérieurement a été soumis à l’examen contradictoire de la direction de l’établissement, de l’agence régionale de santé, des chefs de juridiction du tribunal judiciaire de Bobigny ainsi que du préfet de Seine-Saint-Denis afin de recueillir leurs observations. La procureure de la République près le tribunal judiciaire de Bobigny a indiqué, par courrier du 21 mai 2021, n’avoir aucune observation à formuler.

Le 29 juillet 2021, la direction du centre hospitalier a adressé des éléments de réponse apparaissant parfois en contradiction avec les constats opérés lors de la visite, dont les contrôleurs persistent à penser qu’ils sont fondés.

En réponse au courrier qui lui a été adressé par la Contrôleure générale à l’issue de la mission, le ministre de la santé a fait parvenir ses propres observations le 19 août 2021.

L’ensemble des observations recueillies est intégré au présent rapport.

Le centre hospitalier Robert Ballanger, situé sur trois communes (Aulnay-sous-Bois, Tremblay-en-France et Villepinte), dispose de sept pôles cliniques dont un de pédopsychiatrie et un de psychiatrie adulte, composé de trois secteurs géographiques et d’une unité d’accueil et de crise. Le pôle de psychiatrie adulte comprend trois unités pour un total de soixante-six lits d’hospitalisation à temps complet, et celui de pédopsychiatrie, intersectoriel, dispose de huit lits d’hospitalisation à temps complet.

Les difficultés très marquées de recrutement de praticiens hospitaliers (PH) sont partiellement compensées par l’embauche de six praticiens assistants étrangers en cours de formation en psychiatrie, certains ne maîtrisant pas la langue française de façon adaptée à la prise en charge psychiatrique. En conséquence, les soins psychiatriques ne sont pas équivalents entre les trois unités selon qu’ils sont dispensés par des médecins titulaires ou non d’une qualification ordinale en psychiatrie. A contrario, la pédopsychiatrie jouit d’un recrutement de médecins adapté à la réalisation de ses missions, sans déficit.

Si les contrôleurs ont noté la qualité de la prise en charge en pédopsychiatrie et la diversité des activités proposées aux adolescents, ils ont constaté de graves atteintes à la dignité et aux droits des patients au sein du pôle de psychiatrie adulte, qui ont motivé l’envoi d’un courrier au ministre de la santé, dès leur retour de mission.

  • Une méconnaissance des dispositions légales relatives à l’information des patients sur leur situation et leurs droits prévues par le code de la santé publique.

Source et rapport complet : CGLPL.fr

On maltraite les patients dans l’hôpital Ballanger à Aulnay-sous-Bois selon Clémentine Autain

Une soignante de l’hôpital Robert Ballanger d’Aulnay-sous-Bois, affirme avoir été contrainte de maltraiter des patients. Ces propos sont rapportés par Clémentine Autain, députée de La France Insoumise à Sevran.

Selon le témoignage dans la vidéo ci-dessous, les patients ne seraient pas soulagés lorsqu’ils ont froid ou lorsqu’ils ont du mal à aller faire leurs besoins.

Dans un service de réa à Aulnay-sous-Bois: «Tout le monde est épuisé, physiquement et psychologiquement »

Chambre numéro 4, une lueur rouge clignote. Par-dessus les bips des machines, une voix : «Il faut appeler la famille.» Ce mercredi, peu après 10 heures du matin, ce malade du Covid d’une soixantaine d’années est mort au sein du service de réanimation de l’hôpital Robert-Ballanger, à Aulnay-sous-Bois. Ses proches n’ont pas pu arriver à temps pour lui dire au revoir. «Il était jeune», glisse Alexandre Avenel, blouse blanche sur ses larges épaules, les yeux tournés vers son corps immobile. «Pour nous, les chiffres qu’on entend quotidiennement à la télévision sont des visages, des personnes dont on s’occupe pendant des jours et des nuits», poursuit le médecin réanimateur d’une quarantaine d’années.

Source et article complet : Libération

Omicron va contaminer quasiment tout le monde selon Benjamin Rossi, infectiologue à Aulnay-sous-Bois

Invité sur le plateau de LCI ce mercredi matin, l’infectiologue Benjamin Rossi explique que ce virus est « complètement différent », qui est « plus contagieux » et « qui donne des symptômes ORL. » Un virus plus contraignant pour les enfants puis que « quand ils ont du mal à respirer la nuit, qu’ils ont de la fièvre, ça inquiète les parents et puis ça peut donner des problèmes respiratoires donc les enfants vont plus aux urgences », assure ce médecin du centre hospitalier d’Aulnay-sous-Bois. « Omicron pour moi c’est une évolution de la maladie et elle va contaminer quasiment tout le monde« , lance Benjamin Rossi avant de rassurer : « Effectivement, elle est moins grave donc c’est peut-être une bonne évolution à titre individuel, mieux vaut être infecté par Omicron aujourd’hui que par Delta hier. »

Source et article complet : Gala

L’ACSA offre des cadeaux de Noël pour les enfants soignés à l’hôpital Ballanger d’Aulnay-sous-Bois

L’association G8 et l’ACSA les Trois Quartiers ont distribués des cadeaux de Noël aux enfants de l’hôpital Robert Ballanger d’Aulnay-sous-Bois.

L’ACSA dit un grand merci à l’équipe du centre, aux bénévoles, habitants du quartier qui les ont aidés à préparer les jouets, et à l’Oréal qui a permis d’offrir des cadeaux aux participantes.

Une collecte de peluches pour un Noël solidaire à Usines Center vers les enfants hospitalisés à Aulnay-sous-Bois

À l’occasion des fêtes de fin d’année, Usines Center de Gonesse (Val-d’Oise) lance en partenariat avec l’association Les P’tits Doudous, une collecte de peluches au profit du service des enfants de l’hôpital Robert Ballanger d’Aulnay-Sous-Bois (Seine-Saint-Denis).

Petits et grands peuvent venir déposer au centre de marques, les peluches en bon état qu’ils souhaitent donner. Une vitrine dédiée, aux couleurs de l’association, est mise à leur disposition, il suffira d’y glisser les dons.

Source et article complet : Actu.fr

L’association CéKeDuBonheur auprès des enfants malades de l’hôpital Ballanger à Aulnay-sous-Bois

Magnifique après midi à l’Hopital Robert Ballanger d’Aulnay-sous-Bois auprès des enfants malades pour l’association CéKeDuBonheur qui déploie son énergie afin d’améliorer le quotidien des enfants hospitalisés

Des cadeaux pour des enfants qui ne peuvent pas fêter Noël à la maison. Bravo à tout le service pédiatrique de l’hôpital et pour leur engagement !

Source : Mohamed Bouhafsi

Les hôpitaux comme celui d’Aulnay-sous-Bois au bord de la rupture à cause du manque de moyens

Des personnels soignants sont sous tension. Dans de nombreux hôpitaux du pays, les infirmiers et les aides-soignants sont en sous-effectif. Pour les syndicats, les établissements publics vivent une situation jamais connue jusqu’à présent. « Quand vous avez une infirmière pour 29 patients non-autonomes, deux aides-soignantes pour prendre en charge ces mêmes patients, quelles conditions de travail, quelle décence d’accueil pour nos personnes âgées », regrette Patrice Veteran, du syndicat CGT à l’hôpital Robert Ballanger d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). 

Des manifestations partout en France

Conséquence directe du manque de personnel, 20% des lits en France sont fermés, soit un lit sur cinq. À la Pitié Salpêtrière, à Paris, les soignants évoquent une surcharge de travail mais aussi un impact sur le suivi médical des patients.

Source et article complet : France Info

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