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MA France, rassemblement ce matin devant la maison de la justice et du droit à Saint-Denis

Le 4 avril, à l’occasion d’un déplacement du Président de la République à Saint-Denis, les personnels de l’éducation en lutte avaient décidé de porter leurs revendications pour un plan d’urgence pour l’éducation en Seine-Saint- Denis directement auprès d’Emmanuel Macron. Une action pacifique et bon enfant animée par des enseignants, des parents d’élèves, des lycéens, des militants syndicaux. Malgré le calme de cette action des agents de la BRAV-M ont trouvé le moyen de créer une tension et de réprimer le secrétaire départemental de la CGT 93, en le plaçant en garde à vue. Cet épisode intervient dans un contexte d’aggravation de la répression contre de nombreux acteurs des mouvements sociaux et environnementaux. En Seine Saint Denis, comme ailleurs en France, les convocations dans les commissariats de militants syndicaux engagés pour la défense du bien commun se multiplient. On assiste avec effarement à des tentatives d’intimidation judicaire d’acteurs de premier plan du débat public. La criminalisation du soutien à la paix en Palestine et Israël fait glisser notre démocratie sur les pentes de l’illibéralisme.

Nous faisons face à une spirale autoritaire sans précédent qui est d’autant plus dangereuse à une époque où l’offensive politique de l’extrême droite, aidée par des médias de masse d’un milliardaire réactionnaire, connait une dynamique rarement atteinte et porte de lourd danger pour l’ensemble de la société.

Les présidences d’Emmanuel Macron ont été marquées par de nombreuses lois restreignant les libertés publiques. Des dispositions de l’Etat d’urgence sont entrées dans le droit commun. Ainsi la loi « pour une sécurité globale » contre laquelle la mobilisation a été massive, avec des manifestations auxquelles participaient jusqu’à 500 000 personnes en France. La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) avait alors alerté sur un texte qui « porte atteinte à de nombreux droits fondamentaux » …

Cette boulimie législative, s’ajoute à d’autres mesures mises en place par décret, ou dans des textes de lois qui ne concernaient pas directement les libertés.

Parmi ses dispositions pour ne prendre que quelques exemples :

  • la création d’une cellule de renseignement dédiée aux « atteintes au monde agricole »
  • le maintien de l’usage des LBD et de la technique de la nasse dans le nouveau schéma du maintien de l’ordre (décembre 2021)
  • la possibilité de ficher les opinions politiques et

Notre département remuant, revendicatif et qui a l’engagement pour l’égalité chevillé au corps, souhaite rappeler qu’il n’y a pas de conquêtes sociales sans libertés syndicales, et que chaque atteinte à nos libertés publiques fragilise la démocratie.

Nous appelons à nous rassembler, le 11 juin à 10h00 lors de la convocation du secrétaire de l’UD CGT 93, devant la maison de la justice et du droit rue des boucheries à Saint-Denis, pour exiger l’abandon des poursuites et dire dans l’unité

notre attachement aux libertés syndicales, d’expression, de réunion, de manifestation et d’association.

Refusons dans l’unité les atteintes à notre édifice démocratique !

Source : Syndicats

La lutte des MA France porte la colère des ouvriers de l’industrie du pays !

Depuis le 17 avril, nous sommes en lutte pour défendre nos emplois et nos droits.

MA France, équipementier automobile qui produit des pièces de carrosserie, est la dernière usine de cette filière dans le 93. Elle a été liquidée en moins d’une semaine. L’impunité de la violence patronale a été totale dans cette affaire. Le donneur d’ordre Stellantis (ex PSA) , de connivence avec notre propriétaire CLN peuvent, jeter à la rue 400 salariés sans que les « garants de l’ordre public » ne disent un mot.

Il existe à travers le pays de nombreux sous-traitants de l’industrie automobile dont les emplois sont menacés. Les multinationales de la filière essorent les sous-traitants avant de délocaliser.

La finance exige des marges généreuses, quoi qu’il en coûte aux ouvriers. L’Etat continue de signer de généreux chèques aux grosses entreprises, sans contrepartie notamment en termes d’emplois, et c’est à la collectivité d’assumer le « cout social » des stratégies financières des donneurs d’ordres.

A travers notre lutte résonne la question du devenir du monde ouvrier. Nous nous battons pour des travailleurs qui produisent alors que le patronat souhaite nous transformer en livreur précaire. Nous défendons notre usine, pour ne pas la voir se transformer en entrepôt, comme ce fut le cas pour l’ex usine de PSA Aulnay.

Sauver nos emplois, c’est défendre notre appareil productif, et à terme préserver notre écosystème. Alors en suivant leur logique qui seront les prochains ? Hordain ? Poissy ?Luton ?La montée en puissance de l’usine de Turquie a de quoi inquiéter

Les politiques doivent entendre la colère sociale du monde ouvrier et agir pour ne pas laisser le pouvoir au Capital

« Je pense que les grands donneurs d’ordre, Renault et Stellantis, dans cette période de transition très brutale, très rapide où la compétition est féroce, notamment avec la Chine, doivent faire attention à leurs sous-traitants. » Bruno Lemaire.Quel beau discours M.Le Ministre ! Pourtant nos usines continuent d’être délocalisées, et les donneurs d’ordre ne cessent d’évacuer leurs responsabilités sociales. Il faut des actes forts !

Alors aujourd’hui montrons leurs notre solidarité et notre détermination sans faille !!!

 Soutenez et contribuer à la caisse de grève pour la lutte des ouvriers de MA France

Des élus EELV auprès des salariés de MA France Aulnay-sous-Bois

Un élu de la région Île-de-France, Kader Chibane qui est Président du Pôle Écologiste Région Île-de-France,  Conseiller Municipal à Saint-Denis et Président du groupe des élus EELV/Citoyens  à Plaine Commune, est venu rendre visite et soutenir les salariés grévistes de l’entreprise MA France en liquidation judiciaire depuis le 13 Mai 2024.

Il était accompagné d’autres responsables écologistes comme Marine Tondelier, Secrétaire nationale EELV, Abdoulaye Diarra ou Hacène Chibane.

 

Stellantis Aulnay-sous-Bois (ex-PSA) détruit nos emplois et notre environnement !

Depuis le 16 avril 2024 les salariés de M.A France (sous traitant de Stellantis ) se sont mis en grève pour défendre leurs droits et le maintien de leurs outils de travail et de leurs savoir faire en France. Par la même occasion s’opposer au projet de délocalisation de l’industrie française orchestré par Stellantis (ex-PSA) , avec la complicité passive du gouvernement et d’une partie de la classe politique.

L’entreprise M.A France (propriété du groupe italien CLN) est en liquidation judiciaire depuis le 13 mai 2024 sur décision du Tribunal de commerce de Bobigny permettant à Stellantis (ex-PSA) de délocaliser nos emplois et outils de travail en Turquie à plus de 3500 km d’ici !

Alors que notre planète souffre de désastres écologiques, Stellantis (ex-PSA) ne trouve rien de mieux que de contribuer à l’aggravation de la pollution atmosphérique et au réchauffement climatique au mépris de tous les grands traités internationaux !!!

Encore une fois les grandes multinationales toujours avides de plus en plus de profits sacrifient notre belle planète et sa biodiversité.

Ainsi, quel héritage environnemental allons nous laisser à nos enfants ?

Nous appelons l’ensemble des forces vives de la Nation, la société civile, les citoyens/citoyennes, les associations, les syndicats, les élus à mener un combat digne et responsable à la hauteur des enjeux de survie des conditions optimales de vie de l’humanité.

Soutenez la caisse de grève en envoyant vos dons pour nous aider à continuer notre combat :

Source : Section syndicale CGT MA-France

Même pas une banderole sur le fronton de la mairie d’Aulnay-sous-Bois pour MA France !

Le 13 mai, MA France, la dernière usine automobile du 93 est tombée. Cette société installée sur l’ancien site PSA fabriquait des pièces de carrosserie à 80 % pour Stellantis, groupe italo-franco-américain, fusion de PSA, Fiat et Chrysler. Malgré l’aide de l’État dès 2012 pour sauver PSA, récemment 1,5 milliard € d’argent public et de gros bénéfices en 2023,  Stellantis  délocalise l’activité de MA France en Turquie, avec des salaires plus bas. Pour faire plus de profits, donner davantage aux actionnaires, 400 salariés sont sacrifiés et risquent de ne pas retrouver un emploi, la majorité ayant plus de 50 ans.

Sidérant ! 1 mois de grève, le soutien des aulnaysiens, des élus du PS, PC et citoyens et de la Députée mais B. BESCHIZZA reste muet, complice de l’État pour accepter la délocalisation et la fermeture définitive, ne daignant même pas se déplacer pour rencontrer le personnel.

10 ans après la fermeture de Citroën et 3 000 chômeurs, le clap de fin retentit à Aulnay, sans aucune réaction des élus de droite.

Depuis le 1er conseil municipal de 2014, les élus PS, PC demandent au maire une vraie volonté politique pour réindustrialiser PSA pour de nouveaux emplois de proximité. Au contraire, B. Beschizza a livré le site à la spéculation foncière sans vrai projet, à l’exception de la maintenance du métro ligne 16 de la SGP déjà actée en 2012 par la majorité de gauche. En 2024 le constat est accablant, que de la logistique qui capte beaucoup de foncier pour très peu d’emplois et une usine de traitement de déchets chimiques.

Les Aulnaysiens, depuis 2014 voient partir une à une leurs usines et déplorent que le maire brade les emplois au bénéfice des actionnaires et grands patrons.

Source : Tribune Oxygène de l’opposition de Gauche à Aulnay-sous-Bois

Compte-rendu de la réunion du Parti des Travailleurs du 15 mai 2024 : MA France, pauvreté, Ukraine…

Adel Zorgui, délégué CGT de MA France, intervenant à la réunion publique du PT le 15 mai, réunion animée par Mahel, étudiant en Lettres et candidat sur la liste du PT « Pour le pain, la paix, la liberté » conduite par Camille Adoue

Les vingt présents, lycéen, employé municipal, locataires en HLM, salariés de MA France en grève contre la liquidation de leur entreprise, retraités, ont écouté Mahel expliquer notamment l’intitulé de notre liste :

Le pain ? La misère s’étend. Le gouvernement Macron remet en cause toutes les conquêtes sociales. J’ai 19 ans. J’ai rejoint le POID devenu PT au moment du combat contre les retraites. L’avenir de nous, les jeunes, est lié à la classe ouvrière.

La Paix ? Biden, Macron, tous les gouvernements capitalistes surarment l’Ukraine. Le mouvement ouvrier a toujours été contre toutes les guerres. C’est une guerre entre l’impérialisme US et l’OTAN d’un côté, l’impérialisme de Poutine de l’autre. Nous avons rassemblé plus de 20 000 signatures sur notre appel « A bas la guerre ! Pas un sou, pas une arme, pas un homme pour la guerre ! » Les 413 milliards du budget doivent être confisqués et financer l’école, les hôpitaux.

La liberté ? Syndicalistes arrêtés, étudiants réprimés parce qu’ils manifestent contre le génocide en cours par Israël à Gaza. Ce gouvernement, il faut le chasser.

Je vous appelle tous à venir au meeting international le 2 juin. A la tribune, parmi les orateurs, un travailleur russe et un ukrainien combattant contre la guerre dans leur pays, un étudiant palestinien membre de l’organisation « One Democratic State Initiative » (Initiative pour un seul Etat démocratique ».

Nous, les militants de la Fédération des Jeunes Révolutionnaires, avons participé à toutes les mobilisations contre le massacre à Gaza. Et nous combattons pour exiger du gouvernement Macron l’arrêt de toute livraison d’armes à Israël. Et de toute livraison d’armes à l’Ukraine. Nous organisons une rencontre internationale de jeunes à la fin de l’été, avec des participants d’une dizaine de pays, russe, ukrainien, palestinien, de plus d’une dizaine de pays, contre l’impérialisme et la guerre.

Adel, délégué CGT MA France, au nom des salariés présents à notre réunion, a expliqué :

Nous sommes en grève depuis le 16 avril. Stellantis a préparé depuis plusieurs mois la fermeture, en commun avec le patron italien de MA France, CLN. Ils ferment en France pour ouvrir la même usine en Turquie avec des salaires plus bas.

Macron et son gouvernement parlent de modernisation du travail, de réindustrialisation. Et ils sont complices de Stellantis ! Ils lui ont versé une aide de 1, 5 milliards d’euros cette année ! Stellantis a fait d’énormes bénéfices et ils ferment notre usine, la dernière travaillant pour l’automobile dans le 93.

Il y a 10 ans, avant la fermeture de PSA, ils lui avaient versé des milliards et après l’usine a fermé.

Le PDG Tavarès touche 100 000 € par jour ! Et nous, notre salaire mensuel est entre 1 500 et 2 000 € ! La majorité des salariés a plus de 50 ans. Comment retrouver du travail ?

Une seule solution : la grève pour défendre notre emploi et nourrir notre famille.

Parmi les interventions de la salle, cette question posée par un autre salarié de MA France : « Il faudrait l’unité. Pourquoi y-a-t-il plusieurs partis de gauche ? » Un camarade du PT lui a répondu : « Bien sûr il faut l’unité des rangs ouvriers contre les capitalistes et Macron. Par exemple le PT appelle à manifester samedi prochain le 18 mai contre le génocide – la deuxième Nakba – à Gaza et la préparation de l’invasion armée israélienne à Rafah, sur ses mots d’ordre, avec de nombreuses autres organisations.

Mais comment comprendre que les représentants des partis dits de « gauche » LFI, PS, PCF, écologistes ont voté au Parlement européen pour 50 milliards supplémentaires d’armement à l’Ukraine ? Etre d’accord avec Macron sur l’armement de l’Ukraine (et même l’envoi éventuel de soldats en Ukraine pour Gluckman, soutenu par le PS), n’est-ce pas se priver de combattre sa politique dans son ensemble ? Car cette politique forme un tout : guerre à l’extérieur contre les peuples, guerre à l’intérieur contre les travailleurs et la jeunesse.

Et pourquoi les dirigeants syndicaux et politiques de gauche » n’appellent-ils ensemble pour dire : « Dehors Macron » ? Pourquoi ne mobilisent-ils pas réellement pour « Pas un seul licenciement, interdiction des licenciements » ?

Le PT combat pour un gouvernement des travailleurs, en rupture avec les institutions, qui osera confisquer les 413 milliards du budget militaire pour les cinq prochaines années, les 116 milliards de la spéculation (en 2023) pour financer une école qui instruise, des hôpitaux qui soignent correctement et dignement. Un gouvernement qui osera renationaliser EDF, la SNCF, toutes les entreprises qui ont été privatisées depuis 1983 par la « gauche » comme par la droite.

Un appel à « prendre le Parti des Travailleurs » a été entendu par la compagne d’un salarié de MA France qui a adhéré, d’autres veulent encore réfléchir. Plusieurs personnes se sont engagées à participer au meeting du 2 juin (33 inscrits actuellement).

La réunion s’est terminée par un pot amical et le chant des travailleurs, l’Internationale. Vous aussi, prenez le Parti des Travailleurs ! Abonnez-vous à la Tribune des Travailleurs !

PRENEZ VOTRE BON DE PARTICIPATION AU MEETING INTERNATIONAL CONTRE LA GUERRE DIMANCHE 2 JUIN 14H30

Espace Charenton, 327 rue de Charenton Paris 12e (M° Porte de Charenton)

Source : Parti des Travailleurs Aulnay-sous-Bois

Fin de partie pour MA France à Aulnay-sous-Bois placé en liquidation judiciaire

Clap de fin pour MA France. Le tribunal de commerce de Bobigny a placé lundi en liquidation judiciaire l’équipementier, dernière usine automobile de Seine-Saint-Denis, employant 280 personnes à Aulnay-sous-Bois et sous-traitant du géant de l’automobile Stellantis. Les activités de l’entreprise ne sont pas maintenues en attendant sa liquidation par des mandataires.

Plus d’une centaine d’employés de MA France ont convergé lundi après-midi devant le tribunal judiciaire de Bobigny pour demander au procureur de faire appel de la décision de la cessation d’activité. Un important dispositif policier bloquait l’accès au tribunal.

Source et article complet : Le Parisien

Vidéo. Nadège Abomangoli s’insurge contre la liquidation de MA France et de la trahison de Stellantis

Stellantis veut liquider MA France à Aulnay, dernier site auto en Seine-Saint-Denis, virer 400 salariés et délocaliser.

Malgré des bénéfices et dividendes énormes pour Tavares et plus d’un milliard d’aides publiques ! Inacceptable! Que va faire l’État pour sauver les salariés et le site ?

Source et vidéo : Nadège Abomangoli, députée de la circonscription d’Aulnay-sous-Bois

MA France à Aulnay-sous-Bois suit le chemin de PSA et se prépare à la fermeture

Le sort de MA France et de ses 280 salariés, qui sont en grève depuis le 16 avril, est désormais entre les mains du tribunal de commerce de Bobigny (Seine-Saint-Denis). Leur lutte est remontée jusqu’aux ministres Bruno Le Maire et Roland Lescure, qui ont évoqué l’entreprise, ce lundi, lors d’une rencontre avec la filière automobile.

Hasard du calendrier, le gouvernement réunissait, ce lundi matin, les représentants de la branche automobile, pour parler voiture électrique, rayonnement mondial et « patriotisme industriel », selon l’expression que Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie a employée à l’issue de la rencontre.

Source et article complet : Le Parisien

La Gauche à Aulnay-sous-Bois soutient les salariés de MA France

Depuis le 17 avril, les salariés de l’entreprise MA France sont en grève, suite à la fermeture programmée du site d’Aulnay-sous-Bois.

MA France est une entreprise de 400 salariés dont 280 en CDI, située juste à côté de l’ancien site de PSA fermé en 2014.

MA France emboutit des pièces de carrosserie et de châssis pour les véhicules Peugeot Citroën et Renault. Cette usine travaille principalement pour l’entreprise STELLANTIS, ce qui représente 80 % de sa production et 20 % pour Renault.

A ce jour, MA France est sur le point de déposer le bilan, l’entreprise STELLANTIS remettant en question ses commandes à cette usine d’Aulnay-sous-Bois.

Nous, les élus et les militants socialistes d’Aulnay-sous-Bois

  • apportons notre soutien plein et entier aux salariés de MA France
  • demandons un dialogue transparent et respectueux des droits des salariés
  • exigeons le maintien de cette usine sur Aulnay et demandons que le Maire, Bruno BESCHIZZA prenne clairement position.
  • réclamons que le gouvernement prenne ses responsabilités en convoquant le PDG de STELLANTIS

Les Aulnaysiens , solidaires des salariés de MA France, ne peuvent se résoudre à voir partir une à une les usines de la ville et sont inquiets par la perte d’emplois de proximité.

Depuis 10 ans, les différents projets d’implantation d’entreprises ont échoué en grande partie. Nous attendons de la part du Maire et de son équipe une vraie volonté politique et des actions fortes pour favoriser la réindustrialisation du site et la création de nouveaux emplois.

Source : Oussouf SIBY et Guy CHALLIER, Conseillers municipaux socialistes d’Aulnay-sous-Bois