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Le pousseur du RER B qui a jeté une femme sur les voies et qui a été écrasée pourrait échapper à la prison
Cet homme est soupçonné d’avoir poussé sur les rails, le 14 juillet 2023 au matin, une femme portant un hijab, âgée de 52 ans, qui se trouvait sur un quai du RER B à la station Cité universitaire dans le 14e arrondissement de Paris. La victime s’est relevée mais n’a pas pu éviter le train, qui l’a percutée et mortellement blessée.
Placé en garde à vue, il avait rapidement été transféré en infirmerie psychiatrique, son état de santé étant « incompatible » avec « la poursuite de sa garde à vue« , avait expliqué le ministère public. Au moment de son interpellation, le suspect avait avoué être l’auteur des faits. Il avait aussi assuré aux policiers « être Dieu » et « devoir tuer des gens » en ciblant des « personnes faibles« , avait ajouté une source policière.
Source et article complet : France3
Un homme tué par balle en pleine rue dans le XXe arrondissement de Paris
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Le meurtre a eu lieu vers 15h40 sous les yeux de plusieurs témoins, devant un café. Selon de premiers éléments, une bagarre aurait éclaté entre la victime et son agresseur, avant que ce dernier ouvre le feu et ne prenne la fuite.
Un périmètre de sécurité a été installé et les policiers procèdent aux constatations. Une femme aurait été blessée par des éclats de verre au moment des faits, indique une source proche de l’affaire.
Source et article complet : Actu17
Karim B., meurtrier condamné, identifié comme le tué d’une balle dans la nuque à Aulnay-sous-Bois
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La piste de la vendetta ? Dans la nuit du 1er au 2 mai, vers 1h10 du matin, Karim B., 33 ans, a été abattu par balle en pleine rue, place Jupiter à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Un projectile unique, logé dans la nuque. Nos confrères de BFM, qui révèlent l’affaire, précisent qu’une équipe du Samu a tenté de le réanimer, en vain.
Selon le Parisien, le tueur a pris la fuite à bord d’une Austin Cooper munie de fausses plaques. Elle a été retrouvée brûlée peu après. Technique classique du banditisme pour effacer les traces compromettantes…
Source et article complet : Le Nouveau Détective
Tentative de meurtre au couteau dans le RER B au Bourget
Un homme a été grièvement blessé de plusieurs coups de couteau dans une rame du RER B, ce lundi 29 avril, a appris BFMTV.
Les forces de l’ordre sont intervenues aux alentours de 17h30 à la gare du Bourget (Seine-Saint-Denis). La victime, âgée de 30 ans, souffre de trois plaies profondes à la main, à une jambe et au niveau du thorax dans la région du cœur.
Source et article complet : BFM TV
Meurtre de Mathis à Châteauroux tué à coups de couteau par un Afghan pour un téléphone portable
Alors que des sociologues affirment haut et fort que la société Française et sa jeunesse ne sont pas plus violentes que dans les années 60 (en citant les blousons noirs par exemple), les agressions au couteau, les guet-apens violents pour voler des biens ou des passages à tabac par des bandes fleurissent dans nos faits-divers. Simple sentiment de violence ou transformation réelle de notre société ?
En tout cas, la mort de Mathis, 15 ans, par un Afghan mineur également, tend à prouver que, pour des futilités, des jeunes peuvent perdre la vie.
Selon les premiers éléments de l’enquête, ce jeune Afghan s’était spécialisé dans les guet-apens violents pour dérober des biens de valeur plus ou moins grande. Le procédé est simple est bien connu : donner rendez-vous à un endroit en particulier pour une transaction (du type Leboncoin) pour prendre à partie la victime et lui prendre le bien sans payer (ou parfois en volant l’argent en espèce).
Ce jeune Afghan avait déjà agressé violemment une victime la semaine précédant ce meurtre. Du fait de son âge, les juges ont décidé de le relâcher sous contrôle judiciaire. On ne sait pas si les juges qui ont pris cette décision seront entendus suite à ce drame qui aurait pu être évité.
Comment Mathis est mort ? Il semblerait qu’il se soit rebiffé, qu’il ait réussi à reprendre le téléphone que son bourreau avait tenté de voler. Voyant qu’il ne faisait pas le poids physiquement, l’agresseur aurait pris son couteau et lui aurait planté l’arme par 5 fois dans le coeur. Bien suffisant pour le tuer.
La mère du bourreau serait complice de cet acte (indirectement en tout cas). Elle a également été appréhendé.
Quid de la suite ? Marche blanche ? Bougies ? Rien ne ramènera à la vie le pauvre Mathis. Mais une chose est sûre : le jeune Afghan risque de s’en tirer à très bon compte du fait de son âge. Et comme l’Afghanistan n’est pas reconnu comme un pays sûr, il ne pourra pas être expulsé après la fin de son emprisonnement. La famille du pauvre Mathis pourrait même, dans 10 ans, le recroiser, sans qu’il ne soit certain qu’il retrouve le droit chemin…
A quelques semaines des élections Européennes, il ne fait nul que cela fera le jeu des partis situés sur le spectre de droite de l’échiquier politique, même s’il est peu probable, vu le drame, que ces partis surfent sur ce fait qui est tout sauf divers…
Marche blanche en hommage à Samson Joseph dit Sonny tué pour un accrochage au Bourget
Plus de 400 personnes étaient venues rendre hommage à Samson Joseph dit Sonny, 32 ans et père de deux enfants, lors d’une marche blanche hier au départ de la mairie du Bourget. Celui qui était apprécié pour sa gentillesse avait été tué devant une boite de nuit suite à un banal accrochage routier. Un chauffard est venu le percuter par vengeance.
Il laisse une famille dévastée, cette tragédie montrant qu’un rien peut tout faire basculer. Le meurtrier était sous l’emprise de l’alcool.
Celui qui a tué Joseph Samson surnommé Sonny au Bourget accusé pour meurtre en état d’ivresse
L’homme de 33 ans, qui avait provoqué une collision mortelle tuant Joseph Samson, surnommé « Sonny », 32 ans, est présenté ce dimanche matin à un juge d’instruction pour « meurtre en état d’ivresse », indique le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis), qui a requis son placement en détention provisoire. Le parquet a estimé que cet homme domicilié dans le Val-de-Marne avait volontairement percuté sa victime, rejetant la thèse de l’accident invoqué par le chauffard. En garde à vue, ce dernier aurait expliqué avoir agi sous le coup de la panique.
Source et article complet : Le Parisien
Quatre suspects interpellés après une tentative de meurtre à Aulnay-sous-Bois à coups de barres de fer
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Ils sont arrivés à pied et à trottinette, armés de barres de fer. Il était à peine 21 heures, ce dimanche soir, lorsque quatre jeunes hommes ont pénétré dans un pavillon de l’allée Lagier de Fontenay, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). L’occupant des lieux les a accueillis couteau à la main.
D’après les premiers éléments de l’enquête, celui-ci a frappé le premier en portant plusieurs coups de couteau à l’un des intrus. Ses comparses ont riposté à coups de barre de fer. Puis ils se sont enfuis laissant leur cible très sérieusement touchée. Les sapeurs-pompiers, appelés pour une « agression au couteau » ont été les premiers à se rendre sur les lieux. Ils ont découvert une victime très mal en point, présentant de graves blessures au crâne.
Source et article complet : Le Parisien
Meurtre d’un jeune à Aulnay-sous-Bois en mai 2022, douze personnes mises en examen
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Douze personnes ont été mises en examen dont neuf sont actuellement écrouées dans le cadre de l’enquête sur le meurtre, en 2022, d’un jeune homme de 18 ans à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), a indiqué mardi 31 octobre à l’AFP le parquet de Bobigny. Dans la nuit du 30 au 31 mai 2022, peu après minuit, une fusillade éclate au cœur de la cité des 3000 et un jeune homme de 18 ans est tué par balle.
Meurtre d’Eyoub à Aulnay-sous-Bois : onze hommes sous les verrous
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Un peu plus d’un an après cette tragique exécution, Faid, 26 ans, a été mis en examen, samedi à Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour « meurtre en bande organisée et association de malfaiteurs » avant d’être écroué. Ce garçon est soupçonné d’avoir participé à l’exécution d’un jeune homme de 18 ans, Eyoub, menée, durant la nuit du mardi 31 mai 2022, dans la cité des 3 000 à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Il est le onzième suspect mis en examen et écroué dans cette affaire qui, selon nos informations, semble être un règlement de comptes sur fond de concurrence pour le contrôle d’un point de deal.
Aulnaycap 