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Elections municipales 2014 à Aulnay-sous-Bois : environ 400 personnes pour le grand meeting de Jacques Chaussat
Hier se tenait la dernière grande réunion publique du candidat Jacques Chaussat pour la liste « Aulnay Demain », soutenue par l’UDI, le Modem, le mNPR et Nouvelle Ecologie Démocrate. Environ 400 personnes, quasiment toutes Aulnaysiennes, avaient fait le déplacement.
Plusieurs personnalités départementales avaient fait le déplacement pour soutenir le candidat du rassemblement des Aulnaysiens, du Centre et de la Droite Républicaine, à savoir :
- Jean-Christophe Lagarde, Député-Maire de Drancy
- Vincent Capo-Canellas, Sénateur-Maire du Bourget
- Stéphane Salini, Conseiller Général et premier adjoint à Drancy
Jacques Chaussat a longuement fustigé le programme du maire sortant Gérard Ségura. Revenant sur la proposition du candidat socialiste sur la protection des zones pavillonnaires, Jacques Chaussat rétorque : « C’est l’hôpital que se fout de la charité !« .
D’autres propositions que certains jugent burlesques ont également été passées au crible. Jacques Chaussat est ensuite revenu sur sur 7 axes de proposition, mettant l’accent sur la sécurité, l’urbanisme et les finances de la ville.
Vincent Capo-Canellas a quant à lui critiqué la gestion du Maire sortant sur le dossier PSA, s’étonnant de sa proposition sur l’implantation d’usines aéronautiques en l’absence de pistes à Aulnay. Enfin, Jean-Christophe Lagarde s’est longuement exprimé sur le projet Métropole Grand Paris, indiquant la perte de pouvoir des maires sur l’urbanisme dès 2016, et son étonnement que le député Daniel Goldberg ait pu voter pour.
Elections municipales 2014 à Aulnay-sous-Bois : grand meeting de campagne de Jacques Chaussat salle Chanteloup le 12 mars
Jacques Chaussat, candidat du rassemblement des Aulnaysiens, du Centre et de la Droite Républicaine, organise avec son équipe son dernier grand meeting de campagne dans la salle Chanteloup (1 Avenue de Nonneville) le mercredi 12 mars, à partir de 20h00.
Le Député-Maire de Drancy Jean-Christophe Lagarde et le Sénateur-Maire du Bourget Vincent Capo-Canellas seront également présents.
Le Conseil constitutionnel censure le bonus/malus énergétique
La principale disposition de la loi « Brottes », visant à préparer la transition énergétique, vient d’être censurée par le conseil constitutionnel. Le principe de Bonus/Malus énergétique, visant notamment à sanctionner les ménages de résidences énergivores, ne sera donc pas appliqué. Le sénateur Sequano-Dyonisien Vincent Capo-Canellas nous indique, dans un communiqué, sa satisfaction sur cette censure, évoquant vitesse et précipitation, et une véritable usine à gaz dans ce dispositif.
Pour rappel, la France est très en retard sur l’isolement des habitations, si bien qu’en hiver, un foyer français consomme beaucoup plus d’énergie qu’un foyer Allemand. Nous devons ainsi importer de l’énergie lors des hivers rigoureux.
Vincent Capo-Canellas : JM AYRAULT clarifie les délais mais repart à zéro pour l’ensemble des études : un vrai recul !
« Le discours du Premier Ministre m’a largement laissé sur ma faim : il semblait découvrir le Grand Paris et les difficultés de transports que nous vivons. Plus gênant, la tonalité assez générale du propos renvoie beaucoup de sujets à des études à mener. On se croirait revenus trois ans en arrière. Heureusement le dossier de presse est plus fourni…
Sur le phasage qu’il contient, la partie Pleyel- Le Bourget et Le Bourget-Noisy Champs est indiquée « à l’horizon 2023 » dans les cartes et « avant 2025 » dans le texte ! Nous sommes dans la temporalité du rapport Auzannet.
Par contre, je suis extrêmement inquiet de voir que le Premier Ministre renvoie la définition du mode de transport à des « études ultérieures », avec des « appels d’offres sur performances » permettant de « définir le modèle ad hoc » !
C’est un recul scandaleux ! Le Premier Ministre jette au panier toutes les études menées par la SGP et on repart à zéro.
Le comble c’est que cela appellera vraisemblablement l’obligation de « modifier le schéma d’ensemble adopté par la SGP en Mai 2011 ». D’où des délais et la possibilité des nouveaux aléas juridiques.
Autant dire que nous voilà repartis à zéro.
Point positif : la liaison Le Bourget-Roissy revient dans le jeu mais en deux temps : Le Bourget Gonesse pour 2025 et Roissy pour 2027.
Au total, loin de lever les incertitudes, M Ayrault réussit à embrouiller plus encore l’horizon des transports : la clarification des calendriers cache une remise en cause totale des modes de transports.«
Source : Communiqué de Vincent Capo-Canellas, Sénateur-Maire du Bourget
Vincent Capo-Canellas, Sénateur de la Seine-Saint-Denis sur le Tarif unique pour le Pass Navigo : « C’est un cadeau empoisonné pour les usagers ! »
« Le Sénat a débuté aujourd’hui l’examen d’une proposition de loi visant à instaurer un tarif unique pour le Pass Navigo.
Vincent Capo-Canellas, sénateur de la Seine-Saint-Denis et maire du Bourget, s’étonne que cette question soit « importée au Parlement par le groupe communiste » alors qu’elle relève des compétences du STIF (Syndicat des Transports d’Ile de France) et du Conseil régional d’Ile de France.
« Aujourd’hui, vous nous demandez de solder un différend interne à l’actuelle majorité régionale. » affirme le sénateur, rappelant que cette proposition de loi est l’héritage d’un accord conclu au moment des élections régionales pour construire une majorité « rouge/verte/rose » autour de Jean-Paul Huchon.
Pour Vincent Capo-Canellas, la mise en place d’une tarification unique du Pass Navigo serait contre productive pour les usagers eux-mêmes.
En matière de transports en Ile-de-France, la priorité doit être accordée aux investissements dans le réseau et non dans le financement d’une mesure démagogique.
Réseau de plus en plus saturé, retards quotidiens, inconfort, avaries matérielles, manque d’information, de propreté, de sécurité pour les voyageurs… le constat est simple. La réponse, pour Vincent Capo-Canellas, l’est aussi : « L’urgence, c’est d’agir pour décongestionner les réseaux de transports collectifs franciliens. »
Or, en proposant la tarification unique, la majorité régionale, relayée par ses alliés au Sénat, condamne les Franciliens à voyager dans des rames bondées, dans des trains vétustes, qui tombent en panne et arrivent en retard… « C’est un cadeau empoisonné pour les voyageurs. »
Quant au financement, le sénateur regrette qu’on demande aux entreprises franciliennes de supporter le coût de cette promesse alors qu’elle devrait être prise en charge sur le budget du STIF.
L’harmonisation du taux du versement transport conduirait à prélever entre 500 et 800 millions d’euros de plus sur les entreprises franciliennes. « Augmenter le versement transport, ce serait encore alourdir la fiscalité des entreprises ! » déplore le sénateur. A l’heure où tout le monde s’accorde à vouloir favoriser la compétitivité de nos entreprises, « Ce serait un mauvais coup pour l’emploi en Ile-de-France ! »
Vincent Capo-Canellas conclut : « L’enjeu du Grand Paris Express est de favoriser l’attractivité de notre territoire et la croissance économique. Nous ne pourrons relever ce défi que si des investissements conséquents sont réalisés pour doter la métropole francilienne d’un réseau de transport performant. » »
Source : Communiqué de Vincent Capo-Canellas, Sénateur-Maire de la Seine-Saint-Denis