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L’ascenseur du 2 allée Dumont D’Urville à Aulnay-sous-Bois en panne à cause de la pluie

Un habitant du 2 allée Dumont d’Urville à Aulnay-sous-Bois (quartier de la Rose des Vents) nous informe que depuis maintenant deux semaines, l’ascenseur de son immeuble est en panne. Panne due à une infiltration d’eau dans le hall et dans la fosse de l’ascenseur.

Après chaque pluie, le même scénario se répète : panne, signalement à l’ascensoriste (en l’occurrence SCHINDLER), passage du technicien qui constate l’inondation de la fosse et qui se voit obligé de mettre l’ascenseur hors-service car il ne peut intervenir dans un milieu humide, signalement auprès de la loge qui commande le passage d’un prestataire pour pomper l’eau, rappel du technicien qui intervient dans un laps de temps disons satisfaisant si il n’y a pas de pièces à changer pour le rétablissement de l’ascenseur.

Pendant tout ce temps les locataires utilisent uniquement les escaliers y compris les personnes âgées encore en capacité de le faire. Celles qui ne le peuvent sont obligées de rester dans leur logement en attendant le rétablissement de cet équipement pourtant indispensable.

Cette situation est connue par les agents de 1001 Vies Habitat localement. Ceci depuis la réhabilitation de l’immeuble et de toute la résidence Vent d’AUTAN durant l’hiver 2017-2018. Malgré les diverses relances, les locataires constatent que rien n’a toujours été fait.

Les habitants font appel à l’association Force Citoyenne et Hadama Traoré pour faire bouger les choses.

Source : habitant du logement 2 allée Dumont d’Urville à Aulnay-sous-Bois

La galère des habitants d’une tour de 18 étages à Noisy-le-Sec, privés d’ascenseurs

Chaque jour pour cette résidente de la tour Verlaine, regagner son appartement au cinquième étage est une épreuve. Opéré d’un cancer du sein, elle doit éviter toute fatigue, mais les deux ascenseurs sont en panne depuis trois semaines. Encore plus angoissant, au 18ème étage. Une jeune maman de deux enfants doit accoucher dans les jours qui viennent. « J’ai peur de descendre les escaliers, car je peux être accouchée dans les escaliers, et là, c’est très risqué », confie-t-elle.

Source et article complet : FranceInfo

De qui se moque t-on à Aulnay-sous-Bois ?

FORCE OUVRIERE – SYNDICAT DES COMMUNAUX D’AULNAY SOUS BOIS – DE QUI SE MOQUE T’ON ?

Toujours pas d’ascenseur au 19/21, rue Jacques Duclos !

Toujours pas de service public pour les personnes handicapées et à mobilité réduite !!

De qui se moque t’on ??

Est-ce que les services publics de ce bâtiment seraient menacés ???

Situation inacceptable au 21 rue J. Duclos à Aulnay-sous-Bois avec électricité en panne dans les escaliers et ascenseur HS

PAS DE LUMIÉRE DANS LES ESCALIERS !!!  PAS D’ASCENSEUR !!!  LES USAGERS ET LES AGENTS DES SERVICES PUBLICS EN DANGER !!!

FORCE OUVRIÈRE dénonce l’inertie et l’irresponsabilité de la municipalité et du syndic de copropriété du bâtiment situé 21 rue Jacques Duclos à Aulnay-sous-Bois.

La Bourse du travail mais aussi l’Action Sociale, l’Aide au logement et le M.A.D.sont implantées sur ce site.

Depuis des mois la lumière des escaliers est en panne !!!

Seule une réparation de fortune a été effectuée. Des ampoules ont été branchées sur les blocs de secours, qui eux même disjonctent systématiquement, plongeant l’escalier dans le noir total !

C’est au tour de l’ascenseur d’être hors service depuis plusieurs jours !!!

Ce matin même, un agent de la ville qui est handicapé n’a pas pu se rendre sur son poste de travail !

Nous avons aussi dû aider une personne mal voyante qui devait se rendre au service d’Action Sociale. à monter au troisième étage !
Cette situation est inadmissible !!!

FORCE OUVRIÈRE exige que des réparations immédiates soient effectuées et demande que la Mairie fasse pression sur le syndic de copropriété afin que celui-ci prenne enfin ses responsabilités !

Attendent-ils un drame pour que les réparations soient enfin effectuées?

FORCE OUVRIÈRE se réservera le droit de déposer plainte contre le syndic de copropriété et la municipalité si un visiteur ou usager des Services Publics était victime d’une chute dans les escaliers !

FORCE OUVRIÈRE EXIGE LA REMISE EN ÉTAT IMMÉDIATE DES INSTALLATIONS ÉLECTRIQUES ET DE L’ASCENSEUR !

Source : communiqué FO Communaux d’Aulnay-sous-Bois

L’escalator de la place de la gare RER d’Aulnay-sous-Bois fermé pour 1 mois

11_Novembre_Aulnay_1La descente pentue du souterrain incite certaines personnes du centre gare nord ayant des difficultés à se déplacer et disposant d’un pass navigo ou d’un titre de transport de passer du nord au sud  en utilisant l’ascenseur de la rue du 11 Novembre. Celui-ci permet d’accéder à un couloir permettant de traverser le souterrain pour enfin aboutir à l’escalator. Cependant, cet ascenseur est désormais fermé pour un mois. Pour les plus courageux, il y a quand même une solution : l’ascenseur qui donne sur la voie du tram train qui permet de rejoindre la place de la gare.

Ce nouveau désagrément risque à coup sûr d’épuiser de nombreux usagers du RER B.

Quant au tunnel et ses travaux,  des retours d’insatisfaction quant aux marches par rapport aux mamans avec poussettes et personnes avec caddies parviennent jusqu’à nous.

Mise aux normes des ascenseurs

ascenseurC’est dans le cadre du « choc de simplification » que les règles établies par la loi Urbanisme et habitat de 2003 sont petit à petit détricotées : un décret paru vendredi dernier abroge une nouvelle disposition de la loi, celle qui concerne les dispositifs de protection « contre la vitesse excessive en montée ».
Petit rappel : l’article 79 de la loi Urbanisme et habitat (2 juillet 2003) fixait de nouvelles règles pour l’amélioration de la sécurité des ascenseurs. Dix-sept risques étaient identifiés et devaient être traités, selon un calendrier fixé par décret : trois échéances étaient définies pour effectuer les travaux, selon leur nature – ces échéances étant juillet 2008, 2013 et 2018.

Vu les retards accumulés, chacune de ces échéances a été retardée au fil du temps : celle de 2008 a été repoussée à 2010, celle de 2013 à 2014. Lors de cette dernière modification Cécile Duflot, alors ministre du Logement, en avait profité pour abroger une obligation de travaux : celle concernant la « précision d’arrêt » des cabines. Le manque de précision d’arrêt des ascenseurs – c’est-à-dire le fait que la cabine s’arrête, par exemple, un ou deux centimètres plus bas que la plateforme, générant ainsi une petite marche – est la cause la plus répandue d’accidents. Cette obligation de travaux a pourtant été supprimée, sauf pour les établissements recevant du public.

La nouvelle obligation abrogée vendredi dernier concerne « la vitesse excessive en montée ». La loi prévoyait initialement que d’ici juillet 2018, tous les ascenseurs installés avant août 2000 soient munis d’un dispositif empêchant une montée rapide et incontrôlée d’une cabine. Jean-Luc Detavernier, délégué général de la Fédération des ascenseurs, explique qu’il s’agit d’une question d’équilibre entre le poids de la cabine et celui du contrepoids. « On se représente facilement ce qui se passe en cas de rupture d’adhérence quand la cabine est en surcharge : elle tombe vers le bas. Mais il peut aussi arriver, lorsque le contrepoids est plus lourd que la cabine, que l’accident inverse se produise : en cas de rupture d’adhérence, la cabine part vers le haut, et le résultat est le même » – au lieu de heurter le sol, elle heurte le plafond de l’immeuble. Jean-Luc Detavernier reconnaît que c’est un accident très rare, mais néanmoins loin d’être impossible. « Et c’est le jour où un accident grave arrivera que l’on regrettera certaines décisions », ajoute-t-il.

En présentant les différentes mesures du « choc de simplification », le 25 juin dernier, Sylvia Pinel, qui a succédé à Cécile Duflot au ministère du Logement, avait parlé d’instituer un moratoire sur cette question de la vitesse excessive en montée. En moins de quatre mois, le moratoire est devenu abrogation. Avec l’espoir, explique-t-on au gouvernement, que la suppression de cette obligation participe à la relance de l’activité dans le bâtiment, secteur particulièrement touché par « l’inflation normative ».

Contrairement au précédent allégement, il n’est ici pas précisé que les ERP ne seraient pas concernés. C’est donc y compris dans ceux-ci que l’obligation d’installer ce dispositif de sécurité ne s’applique plus.

Source : Extrait AMF